Les monstrueux attentats de Madrid ont été conçus de façon à faire le plus de victimes possible. Contrairement aux attentats du 11 Septembre, ils ne visaient pas un symbole de la puissance économique ou de l'état. Cette fois, ils visaient délibérément une cible populaire: des habitants de la banlieue de Madrid qui se rendaient à leur travail. Les 10 bombes qui ont explosé simultanément dans 4 trains ont fait 198 morts et près de 2.000 blessés. Ce type d'action est caractéristique d'une organisation fasciste qui n'accorde aucune valeur aux vies humaines jugées inférieures. Al Qaïda correspond à cette définition. Pour cette organisation, les inférieurs à éliminer sont les "mécréants" et les "croisés" (en langage clair, les Occidentaux).
911 jours exactement après le 11 Septembre 2001, les attentats du 11 Mars à Madrid portent la marque d'Al Qaïda, avec des attaques simultanées et parfaitement synchronisées de façon à amplifier au maximum "le choc et l'effroi", comme dit George Bush.
Al Qaïda a mis a exécution ses menaces de frapper les alliés des USA dans l'occupation de l'Irak. Les espagnols ont payé très cher le soutien de José Maria Aznar à une guerre à laquelle le peuple espagnol était opposé à 90%. Ce que quelques uns ont gagné sous forme d'honneurs chez l'Oncle Sam et de contrats juteux pour la reconstruction de l'Irak, des centaines de citoyens espagnols innocents auront du le payer de leur vie et de leur sang.
On comprend alors pourquoi José Maria Aznar et son ministre de l'intérieur se sont empressés de désigner immédiatement l'ETA, et à persister malgré la revendication d'Al Quaida et malgré le démenti formel de l'organisation basque. On a pu aussi noter la façon dont les médias et le gouvernement français ont relayé la manipulation d'Aznar, contre l'évidence des faits. A trois jours des élections générales espagnoles, Aznar sait que les électeurs risquent maintenant de lui faire payer son soutien à Bush.
911 jours exactement après le 11 Septembre 2001, les attentats du 11 Mars à Madrid portent la marque d'Al Qaïda, avec des attaques simultanées et parfaitement synchronisées de façon à amplifier au maximum "le choc et l'effroi", comme dit George Bush.
Al Qaïda a mis a exécution ses menaces de frapper les alliés des USA dans l'occupation de l'Irak. Les espagnols ont payé très cher le soutien de José Maria Aznar à une guerre à laquelle le peuple espagnol était opposé à 90%. Ce que quelques uns ont gagné sous forme d'honneurs chez l'Oncle Sam et de contrats juteux pour la reconstruction de l'Irak, des centaines de citoyens espagnols innocents auront du le payer de leur vie et de leur sang.
On comprend alors pourquoi José Maria Aznar et son ministre de l'intérieur se sont empressés de désigner immédiatement l'ETA, et à persister malgré la revendication d'Al Quaida et malgré le démenti formel de l'organisation basque. On a pu aussi noter la façon dont les médias et le gouvernement français ont relayé la manipulation d'Aznar, contre l'évidence des faits. A trois jours des élections générales espagnoles, Aznar sait que les électeurs risquent maintenant de lui faire payer son soutien à Bush.