Tout le monde connaît Abu Nawas, ses frasques sexuelles, sa poésie magnifique et son amour pour le vin et les éphèbes.
Haroun Errachid se plaint un jour à son amant Abu Nawas de la positon classique et ennuyeuse avec laquelle il fait l’amour à sa femme tous les soirs. Le poète conseilla au Calife de sodomiser sa femme histoire de changer un peu. Le soir venant, le sultan demanda à sa femme de se retourner. Choquée, cette dernière, sachant qu’une idée perverse comme celle-là ne peut venir que d’Abu Nawas, elle décida de la chasser de Bagdad.
Accompagnée de quatre sbires, la femme du calife demanda au poète de ramasser ses affaires et de quitter la capitale.
Abu Nawas, malin et rusé, se mit alors à ramasser ses effets et à les mettre dans un seul coffin de la selle de son cheval. Avec le poids et le déséquilibre, la selle ne cesse de tomber. La première dame impatience, hurla : mais bon Dieu tu ne peux pas utiliser les deux trous et en finir ? Et Abu Nawas de rétorquer : n’est-ce pas qu’à cause des deux trous que tu me chasse de la ville ?
:-D :-D :-D :-D
Haroun Errachid se plaint un jour à son amant Abu Nawas de la positon classique et ennuyeuse avec laquelle il fait l’amour à sa femme tous les soirs. Le poète conseilla au Calife de sodomiser sa femme histoire de changer un peu. Le soir venant, le sultan demanda à sa femme de se retourner. Choquée, cette dernière, sachant qu’une idée perverse comme celle-là ne peut venir que d’Abu Nawas, elle décida de la chasser de Bagdad.
Accompagnée de quatre sbires, la femme du calife demanda au poète de ramasser ses affaires et de quitter la capitale.
Abu Nawas, malin et rusé, se mit alors à ramasser ses effets et à les mettre dans un seul coffin de la selle de son cheval. Avec le poids et le déséquilibre, la selle ne cesse de tomber. La première dame impatience, hurla : mais bon Dieu tu ne peux pas utiliser les deux trous et en finir ? Et Abu Nawas de rétorquer : n’est-ce pas qu’à cause des deux trous que tu me chasse de la ville ?
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