Ahmed Soultan.
Soul polyglotte
Ahmed Soultan aurait pu être traducteur. C’est la première chose à laquelle on pense lorsqu’on écoute Tolérance, son précédent album trilingue, sorti en 2005. Mais pour son nouvel album, intitulé Code, prévu pour le mois de Ramadan, Soultan a encore élargi son spectre liguistique : en plus de chanter en arabe, en français et en anglais, il s’essaie cette fois-ci au tamazight. “Avec mon premier album, je me suis rendu compte que le public a apprécié d’écouter de la soul en darija. Je me suis dit alors : pourquoi ne pas essayer la même chose en berbère ?”, explique-t-il. Achkide, le premier single de l’album, tourne déjà sur les ondes, et son vidéoclip, tourné dans la région de Ouarzazate, est fin prêt. Ahmed Soultan reste donc fidèle au Sud marocain, région dans laquelle il habite tout au long de l’année, et où il a enregistré l’intégralité des morceaux de Code. “Je me suis offert un studio chez moi, ce qui me permet de travailler tranquillement, à mon propre rythme”, explique celui qui tient également un commerce d’huile d’argan dans la région d’Agadir. Côté influences, l’album sera teinté de sonorités urbaines, soul, gnaouies, et bien sûr berbères. Une world music qui s’inscrit dans la continuité de Tolérance, “avec un zeste de maturité en plus”, analyse le chanteur qui préfère ne pas en dire plus. Une tournée est prévue après la sortie de l’album, mais aucune date n’est encore fixée.
Soul polyglotte
Ahmed Soultan aurait pu être traducteur. C’est la première chose à laquelle on pense lorsqu’on écoute Tolérance, son précédent album trilingue, sorti en 2005. Mais pour son nouvel album, intitulé Code, prévu pour le mois de Ramadan, Soultan a encore élargi son spectre liguistique : en plus de chanter en arabe, en français et en anglais, il s’essaie cette fois-ci au tamazight. “Avec mon premier album, je me suis rendu compte que le public a apprécié d’écouter de la soul en darija. Je me suis dit alors : pourquoi ne pas essayer la même chose en berbère ?”, explique-t-il. Achkide, le premier single de l’album, tourne déjà sur les ondes, et son vidéoclip, tourné dans la région de Ouarzazate, est fin prêt. Ahmed Soultan reste donc fidèle au Sud marocain, région dans laquelle il habite tout au long de l’année, et où il a enregistré l’intégralité des morceaux de Code. “Je me suis offert un studio chez moi, ce qui me permet de travailler tranquillement, à mon propre rythme”, explique celui qui tient également un commerce d’huile d’argan dans la région d’Agadir. Côté influences, l’album sera teinté de sonorités urbaines, soul, gnaouies, et bien sûr berbères. Une world music qui s’inscrit dans la continuité de Tolérance, “avec un zeste de maturité en plus”, analyse le chanteur qui préfère ne pas en dire plus. Une tournée est prévue après la sortie de l’album, mais aucune date n’est encore fixée.