<table border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" width="555"><tbody><tr height="126"><td height="126" valign="top">Ils sont Soussis et viennent de signer un premier album d'une étonnante maturité. Retenez bien leur nom, Amarg Fusion, parce qu'on n'a pas fini d'entendre parler d'eux.
En amazigh, “Amarg” signifie à la fois poésie et nostalgie. Un nom pareil, ça se mérite. Alors rassurons-nous tout de suite : Amarg Fusion, porté par sept musiciens aux parcours singuliers, porte bien son nom. Tout y est. Nostalgie (chants des Rwayes du Souss) et fusion (jazz, reggae, blues africain) s'y côtoient avec un bonheur égal. Et rare.
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</td> </tr> </tbody></table> <table border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" width="555"><tbody><tr><td>Né en 2002, le groupe est construit, tant humainement que musicalement, sur une certaine idée du melting-pot. “Nous sommes un mélange de sensibilités artistiques différentes, contrastées, c'est peut-être là que réside le secret de notre créativité”, explique Abderrahim Moustaîne, le guitariste du groupe. Les Amarg ont aussi un dénominateur commun, fédérateur : une réelle passion pour le patrimoine amazigh, qui a servi de canevas à leur premier album, “Agadir Ifawn”.
</td></tr></tbody></table>
suite : http://www.telquel-online.com/251/arts2_251.shtml
En amazigh, “Amarg” signifie à la fois poésie et nostalgie. Un nom pareil, ça se mérite. Alors rassurons-nous tout de suite : Amarg Fusion, porté par sept musiciens aux parcours singuliers, porte bien son nom. Tout y est. Nostalgie (chants des Rwayes du Souss) et fusion (jazz, reggae, blues africain) s'y côtoient avec un bonheur égal. Et rare.
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suite : http://www.telquel-online.com/251/arts2_251.shtml