analyse ADN et les Pheniciens ...

Re : analyse ADN et les Pheniciens ...

Azul fellawen(t) !

voici un article sur le propagation des phéniciens dans le pourtour de la méditerranée :

BBC NEWS | Science & Environment | DNA legacy of ancient seafarers

peut être que cela va changer l'avis de certains anti test-ADN
le test ne fera que dévoiler les vérités que les historiens (surtout arabistes et pro-arabistes adorent falsifier.

tudert i tmazi&t s tidet (avec la vérité)

amayas
il est juste dommage qu'ils ne mettent pas les détails de l'étude.
si les phéniciens ont laissé leur trace dans le patrimoine génétique des populations méditerrannéennes et qu'il soit possible de l'identifier, imaginer alors pour les arabes dont les migrations furent beaucoup plus importantes.
je reste persuadé qu'avec un peu d'éffort des laboratoires pourraient étudier l'impact démographiques des invasions arabes, encore faudrait il briser certains tabous.
 
Re : analyse ADN et les Pheniciens ...

il est juste dommage qu'ils ne mettent pas les détails de l'étude.
si les phéniciens ont laissé leur trace dans le patrimoine génétique des populations méditerrannéennes et qu'il soit possible de l'identifier, imaginer alors pour les arabes dont les migrations furent beaucoup plus importantes.
je reste persuadé qu'avec un peu d'éffort des laboratoires pourraient étudier l'impact démographiques des invasions arabes, encore faudrait il briser certains tabous.

Azul Mohand,

je suis tout à fait d'accord avec toi. Cette étude sur imazighen ou même sur les invasions arabes du 7e et du 11e sont possibles.
ce qui nous faut c'est un lobby ou des chercheurs intéressés par cette étude.
sinon chacun tire la couverture de son coté, et nous imazi&en, il ne nous reste que les résultats des autres que nous essayons de décortiquer et d'appliquer a notre cas.

car je crois si il n'y a pas une intervention sur le terrain de personnes motuvées et avisées les résultats peuvent montrer n'importe quoi

exemple : dans notre confédération ath irathen en Kabylie, tout le monde se prend pour un fier amazi& de souche alors qu'il y a des familles qui sont connues d'être originaire d'ailleurs 'espagnole, turque, arabe, esclaves ramenés de la Mecque ...) si un chercheur prend des volontaires au hasard, il peut tomber sur n'importe qui comme étant amazigh ! bien sur statistiquement on peu trouver le gène amazi&, mais on pourra dire que l'amazi& est originaire de la et de la, alors que ces nouveau gènes sont vraiment récent !

je ne sais pas si je me suis bien exprimé ...

tudert i tmazi&t

amayas
 
Re : analyse ADN et les Pheniciens ...

Cela prouve une seule chose c est que les PHENICIENS( un terme reserve par les Grecs de Sicile uniquement aux Nord africains) prenaient des epouses dans les territoires ou ils ouvrent les comptoirs.Mais de toute facon Tanger ne peut pas representer tout le Maroc.
Il ya une concurence entre les lobby juifs sionistes et les lobby chretiens syro-libanais qui s arrachent le passe des CITES dites pheniciennes.L archeologie livre des artefacts et des epigraphies dites phenicienne ou carthaginoise ,mais aussi des epigraphies libyco-puniques retrouves en palestine Egypte, espagne et autres contrees de la mediterrannee.
Il est alors possible comme pour ce projet de tracer l ADN amazighe a tarvers les sites ou ces epigraphies ont ete relevees.
Il faut peut etre attendre pour voir comment les " scientifiques" ont pu arreter leur methode de travail et surtout le critere de descrimination du flux phenicien des autres peuples levantins.
 
Re : analyse ADN et les Pheniciens ...

Cela prouve une seule chose c est que les PHENICIENS( un terme reserve par les Grecs de Sicile uniquement aux Nord africains) prenaient des epouses dans les territoires ou ils ouvrent les comptoirs.Mais de toute facon Tanger ne peut pas representer tout le Maroc.
Il ya une concurence entre les lobby juifs sionistes et les lobby chretiens syro-libanais qui s arrachent le passe des CITES dites pheniciennes.L archeologie livre des artefacts et des epigraphies dites phenicienne ou carthaginoise ,mais aussi des epigraphies libyco-puniques retrouves en palestine Egypte, espagne et autres contrees de la mediterrannee.
Il est alors possible comme pour ce projet de tracer l ADN amazighe a tarvers les sites ou ces epigraphies ont ete relevees.
Il faut peut etre attendre pour voir comment les " scientifiques" ont pu arreter leur methode de travail et surtout le critere de descrimination du flux phenicien des autres peuples levantins.

si je ne m'abuse le critère est la présence de l'haplogroupe J2 (qui est une signature génétique du chromosome Y).
on retrouve cet haplogroupe en europe continentale ou il est attribué la diffusion de l'agriculture au néolithique en provenance du croissant fertile.
on retrouve aussi de fortes densités de cette haplogroupe sur les cotes de la méditerrannée: maroc, tunisie, sicile, espagne, liban.
 
Re : analyse ADN et les Pheniciens ...

Moi tout ce que je sais, c'est que le terme "phénicien" recouvre un peut tout et n'importe quoi.

L'étude s'est contentée d'étudier des échantillons d'endroits où il y a eu des colonies phéniciennes.

On ne connaît pas tous les détails mais ca veut dire aussi qu'ils passent à la trappe tous les mouvements de populations qu'il y a eu dans ces endroits depuis les Phéniciens.

Et c'est quoi un ADN phénicien ? Un ADN du Liban ? Ils y ont étudié l'impact des croisades ? des mouvements de populations araméennes, hittites et autres ?

Il y a eu de l'eau qui est passée sous les ponts entre les faits hétérogènes sur lesquels on plaque le mot "phénicien" et cette étude.
 
Re : analyse ADN et les Pheniciens ...

L’étude du généticien Pierre Zalloua fait la lumière sur l’histoire des Levantins, depuis la Syrie jusqu’à la Palestine: près de 30 % des Libanais de toutes confessions possèdent le gène phénicien
par Anne-Marie EL-HAGE


Il est désormais établi que près de 50 % des Libanais de toutes confessions habitent le Liban depuis 10 000 ans et qu’environ 30 % de l’ensemble des Libanais sont bel et bien les descendants des Phéniciens. Ces hommes de la mer, grands navigateurs et commerçants ont habité, il y a 4 000 ans, soit bien avant l’apparition des religions chrétienne et musulmane, le littoral méditerranéen et notamment les côtes libanaise, syrienne, palestinienne, tunisienne, espagnole, maltaise et anatolienne. Il est aussi démontré que les Libanais possèdent principalement le gène levantin, cananéen ou phénicien J2, indépendamment de leur appartenance communautaire et religieuse, même si certaines différences minimes ou au contraire certaines ressemblances apparaissent d’une communauté à l’autre, mais aussi d’une région à une autre. Cette caractéristique génétique, également retrouvée dans une grande proportion chez les Cananéens, peuple qui vivait dans les régions littorales, permet d’assimiler les Phéniciens aux Cananéens.
C’est à ces conclusions qu’a abouti le généticien libanais Pierre Zalloua, de la Lebanese American University (LAU), à l’issue de son étude sur le thème « Qui étaient les Phéniciens ? ». Une étude qui apporte désormais une réponse à la question que se posent de nombreux Libanais depuis bien longtemps : « Les Libanais sont-ils les descendants des Phéniciens ? »

Entamée en 2002 par le docteur Pierre Zalloua, également passionné d’histoire, en collaboration avec le généticien et anthropologue américain Spencer Wells, cette étude menée sur un échantillon de 2 500 personnes au Levant, dont un important nombre de pêcheurs de Saïda, Tyr et Jbeil, et près de 3 000 personnes dans d’autres régions méditerranéennes, avait pour objectif de confirmer une évidence : celle que les Phéniciens ont effectivement semé leurs gènes dans les régions par lesquelles ils sont passés. Cette étude, financée par la National Geographic Research and Exploration Society, avait fait l’objet d’une publication dans le National Geographic Magazine. Elle avait même été le sujet d’un documentaire télévisé qui a été diffusé sur la chaîne internationale National Geographic, après avoir été diffusé en prime time aux États-Unis.

Deux grands groupes génétiques
Quant au procédé utilisé par le généticien, il a consisté, à partir de prises de sang, à étudier les gènes de l’échantillon, exclusivement de sexe masculin. Ces gènes ont été comparés à l’ADN d’échantillons de dents phéniciennes remontant à près de 4 000 ans fournis par des archéologues libanais, ainsi qu’à des échantillons de dents et de peau de la momie phénicienne King Tabnet (le roi des Phéniciens de Saïda), qui lui ont été fournis par la Turquie. Pierre Zalloua rappelle par ailleurs que deux raisons l’ont poussé à choisir un échantillon essentiellement masculin : la première explication, scientifique, est que « le chromosome sexuel masculin, transmis par l’homme à son fils, ne subit aucun croisement et ne change pas par mutation aléatoire ». On retrouve donc ce chromosome dans toute la descendance mâle. La seconde raison est que « ce sont les hommes qui ont voyagé et qui ont donc semé leurs gènes dans les pays où ils se sont installés ».
C’est en identifiant une caractéristique génétique, « le J2, commune à près de 30 % des Libanais, mais aussi aux populations levantines, issues d’une partie de la Syrie et de la Palestine », que Pierre Zalloua a tiré ses conclusions. « Il est aussi clair et net que les régions méditerranéennes, notamment Malte, Chypre, la Sicile et la péninsule Ibérique, regorgent de populations qui ont des origines levantines et qui présentent les caractéristiques génétiques J2 », constate le docteur Zalloua.
En fait, le généticien tient à préciser qu’« il a été possible de retracer la présence de deux grands groupes génétiques qui se sont installés au Liban depuis 10 000 à 18 000 ans environ, mais à 5 000 ans d’écart, et donc bien avant l’apparition des religions » : le gène principal étant le J2, caractéristique cananéenne ou phénicienne. Quant à l’autre grand groupe génétique, il s’agit du gène J1. Quoique moins important en nombre que le J2, ce gène retrace le premier groupe moyen-oriental qui a habité le littoral levantin et qui est venu du Yémen, de la Péninsule arabique et de la Mésopotamie (Bilad ma beyn el-Nahreyn).
Bien plus tard, le Liban sera le lieu de nombreuses invasions et la population libanaise sera génétiquement marquée par trois conquêtes, celle des croisés, qui répandront le gène R1B (de nombreux Libanais sont blonds aux yeux bleus, notamment à Tripoli et à Saïda, qui ont directement subi la présence des croisés), celle des Ottomans et celle des peuples de la Péninsule arabique, qui répandront le gène J1, déjà présent au Liban. « Mais ces influences génétiques n’ont pas réussi à noyer le génotype phénicien J2, qui demeure toujours la principale caractéristique génétique retrouvée parmi la population libanaise », tient à remarquer le généticien. Il observe d’ailleurs que « le pourcentage de ce gène atteint 50 % dans certaines régions, notamment sur le littoral et dans la montagne de Jbeil ».

Des similitudes entre les communautés
Pierre Zalloua refuse de donner de plus amples détails, notamment concernant les différences significatives qu’il a constatées au niveau de l’existence du gène phénicien dans les groupes communautaires. Il se contente de remarquer qu’il existe beaucoup de similitude entre toutes les communautés. « Mon seul message est un message de paix qui s’adresse à tous les Libanais, tient-il à dire. Nos ancêtres ont vécu sur ce territoire il y a 10 000 à 18 000 ans. Qu’ils soient devenus par la suite chrétiens, sunnites, chiites, ou druzes, ils ont tous en commun des origines communes, mais aussi cet attachement très fort à ce petit morceau de territoire à l’histoire si compliquée. La connaissance de leur passé pourrait aujourd’hui aider les gens à avancer et à s’entendre », observe-t-il encore, avant d’ajouter : « Notre patrimoine est très riche. C’est à travers le Moyen-Orient et le Levant que le monde a été peuplé. »
Le généticien ne peut cependant s’empêcher de déplorer « le manque d’intérêt des Libanais à leur histoire ». En effet, si les personnes qui font partie de l’échantillonnage ont participé avec fierté à l’étude, celle-ci semble avoir été fraîchement accueillie dans certains milieux confessionnels et politiques. « Les gens ont peur d’ouvrir des portes qui touchent aux minorités », observe-t-il. Mais cette réticence n’empêche pas le généticien de se fixer de nouveaux objectifs, malgré « le manque de fonds » et « l’absence de généticiens spécialisés pour l’assister dans ses recherches au Liban ». Après avoir finalisé son étude sur les Phéniciens, qu’il envisage de publier dans une revue scientifique, il fait le projet d’entamer une nouvelle étude sur les civilisations arabes, mais aussi d’« aller sur les traces des Phéniciens », par le biais d’un second documentaire.
Dans l’espoir que des considérations politico-confessionnelles ne viendront pas entraver les travaux scientifiques du chercheur qui cherche par-dessus tout à prouver que la présence des populations sur le littoral levantin remonte à des milliers d’années.
 
Re : analyse ADN et les Pheniciens ...

Mwai, en gros les conclusions de Zalloua sont purement politiques, il semble vouloir lesfaire intervenir dans les querelles ethniques libanaises.

Dire "gène phénicien" n'a vraiment aucun sens.

Voici autre chose :

Haplogroup J is mostly found in South-East Europe, especially in central and southern Italy, Greece and Romania. It is also common in France, and in the Middle East. It is related to the Ancient Romans, Greeks and Phoenicians (J2), as well as the Arabs and Jews (J1). Subclades J2a and J2a1b1 are found mostly in Greece, Anatolia and southern Italy, and are associated with the Ancient Greeks.





J1 (M267) Typical of populations of Dagestan, Mesopotamia, the Levant, Arabia, and Semitic-speaking populations of North Africa and Northeast Africa, with a moderate distribution throughout Southwest Asia






J2 (M172)Typical of populations of Southern Europe, Turkey, northern Iraq, Iran, and the Caucasus, with a moderate distribution throughout Southwest Asia, Central Asia, South Asia, and North Africa



Haplogroup J1 is most frequent in Northeast Caucasian populations of Dagestan (Avars 67%, Lezgins 58% (Yunusbaev et al.)) and Arabs of the southern Levant, i.e. Palestinian Arabs (38.4%) (Semino et al.) and Arab Bedouins (62% and 82% in Negev desert Bedouins). It is also very common among other Arabic-speaking populations, such as those of Algeria (35%), Syria (30%), Iraq (33%), the Sinai Peninsula, and the Arabian Peninsula. The frequency of Haplogroup J1 collapses suddenly at the borders of Arabic countries with mainly non-Arabic countries, such as Turkey and Iran, yet it is found at low frequency among the populations of those countries, as well as in Cyprus, Sicily and the Iberian Peninsula. It entered Ethiopia in the Neolithic with the Neolithic Revolution and spread of agriculture, where it is found mainly among Semitic speakers (e.g. Amhara 33.3%). It spread later to North Africa in historic times (as identified by the motif YCAIIa22-YCAIIb22; Algerians 35.0%, Tunisians 30.1%)




Haplogroup J2 is thought to have originated in Anatolia (Turkey) or northern Mesopotamia and to have subsequently spread to other Middle Eastern areas, Europe, Central Asia, and South Asia. Subclades of Haplogroup J2 are commonly found in Turkey, the Levant, Mesopotamia, the South Caucasus (Georgia, Armenia, Azerbaijan), Iran, Central Asia, and South Asia: for example, Muslim Kurds (28.4%), Central Turks (27.9%), Georgians (26.7%), Iraqis (25.2%), Lebanese (25%), Ashkenazi Jews (23.2%), Sephardi Jews (28.6%), Iranians (23.3%), Tajiks (18.4%), and Pakistanis (14.7%). Haplogroup J2 is also common among Turkic peoples of the North Caucasus, such as Balkars (25%) and Kumyks (25%). J2 is not regularly found in Semitic-speaking populations of Africa, such as the Amhara and Tigrinya in Ethiopia (Semino et al. 2004). However, J2 has been found to encompass several subhaplogroups (22 subhaplogroups, including 5 that have high frequencies) that originated in or expanded into different regions: the Iberian Peninsula, Southern Italy, the Balkans, the Aegean, Anatolia (Turkey and Kurds), the Caucasus (Georgia), and Somalia (Sanchez et al. 2005). Haplogroup J2 used to be considered a genetic marker of Anatolian Neolithic agriculturalists. It is also very frequent in the Balkans (Greeks 20.6%, Albanians 19.6%) and in Iberia (16.7-29.1%). Its frequency rapidly drops in the Carpathian basin (Ukrainians 7.3%, Croatians 6.2%, Hungarians 2.0%) and in Southeastern Iranian-speaking areas (Pashtuns 5.2%, Pamiris 6.1%).




Haplogroup J2 is found mainly in the northern Fertile Crescent, the Mediterranean (including Southern Europe and North Africa), the Iranian plateau and Central Asia.[1], in Greece and Italy and the Iberian Peninsula[6], and more frequently in Province of Kurdistan 28% of the population (semino et al),Iraq 25% of the population,, in Lebanon 25% of the population, in Jordan, in Syria , Israel in [2], in Turkey [1], and in the southern Caucasus region


According to Semino et al and the National Geographic Genographic Project, the frequency of haplogroup J2 generally declines as one moves away from the Northern fertile crescent. Haplogroup J2 is carried by 6% of Europeans and its frequency drops dramatically as one moves northward away from the Mediterranean. Sephardic Jews have roughly twice as much J2 as J1 and Ashkenazi Jews have a near equal proportion of J1 and J2 haplogroup markers. (Behar et al.) J2 subclades are also found in the South Caucasus (Georgia, Armenia, Azerbaijan), Iran, Central Asia, and South Asia.





In Italy, J2 is found in about 23% of southern Italians, and 17% of central-north Italians[11]. Turkey is one of the countries with major J2 population. 24% of Turkish men are J2 according to a recent study [1], with regional frequencies ranging between 10% and 31%. Combined with J1, one third of the total population of Turkish people belongs to Haplogroup J. In neighboring Greece, as in Italy J2 is also common, with regional frequencies ranging between 11% and 46%.
Typically, modern populations of the southern Middle East (especially Arabic-speaking ones) have a higher frequency of the related haplogroup J1, whereas the great majority of Haplogroup J representatives among the populations of the Northern Middle East, Lebanon, Europe, and India belong to the subclade J2. Haplogroup J2 has been shown to have a more northerly distribution in the Middle East when compared to its brother haplogroup, J1, which has a more southerly distribution. This suggests that, if the occurrence of Haplogroup J among modern populations of Europe, Central Asia, and South Asia does reflect Neolithic demic diffusion from the Middle East, the source population is more likely to have originated from Anatolia, the Levant or northern Mesopotamia than from regions further south





The data on the DNA of Turkish people suggests that a human demographic expansion occurred sequentially in the Middle East, through Anatolia, and finally to the rest of Europe. The estimated time of this expansion is roughly 50,000 years ago, which corresponds to the arrival of anatomically modern humans in Europe.[64] During antiquity Anatolia was a cradle for a wide variety of numerous indigenous peoples as Armenians, Assyrians, Hattians, Hittites, Hellenes, Pelasgians, Phrygians, Thracians, Medes and others. It is concluded that aboriginal Anatolian groups (older than 2000 BCE) may have given rise to present-day Turkish population.[65] DNA results suggests the lack of strong genetic relationship between the Mongols and the Turks despite the close relationship of their languages and shared historical neighborhood.[66] Anatolians do not significantly differ from other Mediterraneans, indicating that while the ancient Asian Turks carried out an invasion with cultural significance (language), it is not genetically detectable.[67] Recent genetic research has suggested the local, Anatolian origins of the Turks and that genetic flow between Turks and Asiatic peoples might have been marginal.[68]
 
Re : analyse ADN et les Pheniciens ...

Au vu de ce texte, aller prétendre que dès qu'on trouve un J2 quelque part, cela veut dire qu'un Phénicien serait venu planter sa petite graine, cela parraît vraiment tendancieux.
 
Re : analyse ADN et les Pheniciens ...

L'étde génétique fait en collaboration avec le Maroc semble intéressante mais elle semble contenir tout et son contraire.
 
Re : analyse ADN et les Pheniciens ...

Au vu de ce texte, aller prétendre que dès qu'on trouve un J2 quelque part, cela veut dire qu'un Phénicien serait venu planter sa petite graine, cela parraît vraiment tendancieux.
je n'ai pas encore lu cette étude, mais je doute que cela soit aussi simple.
en fait les Y-haplogroupe sont une signature génétique du chromosome Y. cependant il existe des sub-haplogroupe, c'est a dire des mutation génétiques particulieres au sein même des haplogroupes.
en fait on peut toujours aller plus loin dans le détail.
je pense que si l'étude a été sérieuse, elle a du faire une estimation de la séparation entre des haplogroupes J2 que l'on retrouve au quatre coins de la méditerranée.
bref, c'est un peu plus compliqué que trouvez un J2 quelque part et dire voila les descendants des phéniciens !
 
Re : analyse ADN et les Pheniciens ...

Mwai, en gros les conclusions de Zalloua sont purement politiques, il semble vouloir lesfaire intervenir dans les querelles ethniques libanaises.

Dire "gène phénicien" n'a vraiment aucun sens.

Voici autre chose :

Haplogroup J is mostly found in South-East Europe, especially in central and southern Italy, Greece and Romania. It is also common in France, and in the Middle East. It is related to the Ancient Romans, Greeks and Phoenicians (J2), as well as the Arabs and Jews (J1). Subclades J2a and J2a1b1 are found mostly in Greece, Anatolia and southern Italy, and are associated with the Ancient Greeks.





J1 (M267) Typical of populations of Dagestan, Mesopotamia, the Levant, Arabia, and Semitic-speaking populations of North Africa and Northeast Africa, with a moderate distribution throughout Southwest Asia






J2 (M172)Typical of populations of Southern Europe, Turkey, northern Iraq, Iran, and the Caucasus, with a moderate distribution throughout Southwest Asia, Central Asia, South Asia, and North Africa



Haplogroup J1 is most frequent in Northeast Caucasian populations of Dagestan (Avars 67%, Lezgins 58% (Yunusbaev et al.)) and Arabs of the southern Levant, i.e. Palestinian Arabs (38.4%) (Semino et al.) and Arab Bedouins (62% and 82% in Negev desert Bedouins). It is also very common among other Arabic-speaking populations, such as those of Algeria (35%), Syria (30%), Iraq (33%), the Sinai Peninsula, and the Arabian Peninsula. The frequency of Haplogroup J1 collapses suddenly at the borders of Arabic countries with mainly non-Arabic countries, such as Turkey and Iran, yet it is found at low frequency among the populations of those countries, as well as in Cyprus, Sicily and the Iberian Peninsula. It entered Ethiopia in the Neolithic with the Neolithic Revolution and spread of agriculture, where it is found mainly among Semitic speakers (e.g. Amhara 33.3%). It spread later to North Africa in historic times (as identified by the motif YCAIIa22-YCAIIb22; Algerians 35.0%, Tunisians 30.1%)




Haplogroup J2 is thought to have originated in Anatolia (Turkey) or northern Mesopotamia and to have subsequently spread to other Middle Eastern areas, Europe, Central Asia, and South Asia. Subclades of Haplogroup J2 are commonly found in Turkey, the Levant, Mesopotamia, the South Caucasus (Georgia, Armenia, Azerbaijan), Iran, Central Asia, and South Asia: for example, Muslim Kurds (28.4%), Central Turks (27.9%), Georgians (26.7%), Iraqis (25.2%), Lebanese (25%), Ashkenazi Jews (23.2%), Sephardi Jews (28.6%), Iranians (23.3%), Tajiks (18.4%), and Pakistanis (14.7%). Haplogroup J2 is also common among Turkic peoples of the North Caucasus, such as Balkars (25%) and Kumyks (25%). J2 is not regularly found in Semitic-speaking populations of Africa, such as the Amhara and Tigrinya in Ethiopia (Semino et al. 2004). However, J2 has been found to encompass several subhaplogroups (22 subhaplogroups, including 5 that have high frequencies) that originated in or expanded into different regions: the Iberian Peninsula, Southern Italy, the Balkans, the Aegean, Anatolia (Turkey and Kurds), the Caucasus (Georgia), and Somalia (Sanchez et al. 2005). Haplogroup J2 used to be considered a genetic marker of Anatolian Neolithic agriculturalists. It is also very frequent in the Balkans (Greeks 20.6%, Albanians 19.6%) and in Iberia (16.7-29.1%). Its frequency rapidly drops in the Carpathian basin (Ukrainians 7.3%, Croatians 6.2%, Hungarians 2.0%) and in Southeastern Iranian-speaking areas (Pashtuns 5.2%, Pamiris 6.1%).




Haplogroup J2 is found mainly in the northern Fertile Crescent, the Mediterranean (including Southern Europe and North Africa), the Iranian plateau and Central Asia.[1], in Greece and Italy and the Iberian Peninsula[6], and more frequently in Province of Kurdistan 28% of the population (semino et al),Iraq 25% of the population,, in Lebanon 25% of the population, in Jordan, in Syria , Israel in [2], in Turkey [1], and in the southern Caucasus region


According to Semino et al and the National Geographic Genographic Project, the frequency of haplogroup J2 generally declines as one moves away from the Northern fertile crescent. Haplogroup J2 is carried by 6% of Europeans and its frequency drops dramatically as one moves northward away from the Mediterranean. Sephardic Jews have roughly twice as much J2 as J1 and Ashkenazi Jews have a near equal proportion of J1 and J2 haplogroup markers. (Behar et al.) J2 subclades are also found in the South Caucasus (Georgia, Armenia, Azerbaijan), Iran, Central Asia, and South Asia.





In Italy, J2 is found in about 23% of southern Italians, and 17% of central-north Italians[11]. Turkey is one of the countries with major J2 population. 24% of Turkish men are J2 according to a recent study [1], with regional frequencies ranging between 10% and 31%. Combined with J1, one third of the total population of Turkish people belongs to Haplogroup J. In neighboring Greece, as in Italy J2 is also common, with regional frequencies ranging between 11% and 46%.
Typically, modern populations of the southern Middle East (especially Arabic-speaking ones) have a higher frequency of the related haplogroup J1, whereas the great majority of Haplogroup J representatives among the populations of the Northern Middle East, Lebanon, Europe, and India belong to the subclade J2. Haplogroup J2 has been shown to have a more northerly distribution in the Middle East when compared to its brother haplogroup, J1, which has a more southerly distribution. This suggests that, if the occurrence of Haplogroup J among modern populations of Europe, Central Asia, and South Asia does reflect Neolithic demic diffusion from the Middle East, the source population is more likely to have originated from Anatolia, the Levant or northern Mesopotamia than from regions further south





The data on the DNA of Turkish people suggests that a human demographic expansion occurred sequentially in the Middle East, through Anatolia, and finally to the rest of Europe. The estimated time of this expansion is roughly 50,000 years ago, which corresponds to the arrival of anatomically modern humans in Europe.[64] During antiquity Anatolia was a cradle for a wide variety of numerous indigenous peoples as Armenians, Assyrians, Hattians, Hittites, Hellenes, Pelasgians, Phrygians, Thracians, Medes and others. It is concluded that aboriginal Anatolian groups (older than 2000 BCE) may have given rise to present-day Turkish population.[65] DNA results suggests the lack of strong genetic relationship between the Mongols and the Turks despite the close relationship of their languages and shared historical neighborhood.[66] Anatolians do not significantly differ from other Mediterraneans, indicating that while the ancient Asian Turks carried out an invasion with cultural significance (language), it is not genetically detectable.[67] Recent genetic research has suggested the local, Anatolian origins of the Turks and that genetic flow between Turks and Asiatic peoples might have been marginal.[68]

est ce du wikipedia ?
 
Re : analyse ADN et les Pheniciens ...

" Mwai, en gros les conclusions de Zalloua sont purement politiques, il semble vouloir lesfaire intervenir dans les querelles ethniques libanaises. "

le liban a ete toujours un refuge pour minorités venant de partout ...

d'ailleurs les pheniciens est un vieux peuple ( 4000 -2000 ans ): ses genes aurait surement mutés pendant tous ce temps en supposant que les consequences des pestes et autres epedimies etaient nulle !!!

l'homme sedentaire de l'antiquité et le moyen age n'avait aucune parade contre les epedemies : des regions finissent par se depeupler en entier, des nomades viennent
et les colonisent : est ce qu'il y a une parenté genetique entre les vieux sedentaires
et les nouveaux sedentaires c'est la question !
 
Re : analyse ADN et les Pheniciens ...

" Mwai, en gros les conclusions de Zalloua sont purement politiques, il semble vouloir lesfaire intervenir dans les querelles ethniques libanaises. "

le liban a ete toujours un refuge pour minorités venant de partout ...

les pheniciens est un vieux peuple ( 4000 -2000 ans ): ses genes aurait surement mutés pendant tous ce temps en supposant que les consequences des pestes et autres epedimies etaient nulle !!!

l'homme sedentaire de l'antiquité et le moyen age n'avait aucune parade contre les epedemies : des regions finissent par se depeupler en entier, des nomades viennent
et les colonisent : est ce qu'il y a une parenté genetique entre les vieux sedentaires
et les nouveaux sedentaires c'est la question !
 
Re : analyse ADN et les Pheniciens ...

" Mwai, en gros les conclusions de Zalloua sont purement politiques, il semble vouloir lesfaire intervenir dans les querelles ethniques libanaises. "

le liban a ete toujours un refuge pour minorités venant de partout ...

d'ailleurs les pheniciens est un vieux peuple ( 4000 -2000 ans ): ses genes aurait surement mutés pendant tous ce temps en supposant que les consequences des pestes et autres epedimies etaient nulle !!!

l'homme sedentaire de l'antiquité et le moyen age n'avait aucune parade contre les epedemies : des regions finissent par se depeupler en entier, des nomades viennent
et les colonisent : est ce qu'il y a une parenté genetique entre les vieux sedentaires
et les nouveaux sedentaires c'est la question !

ce n'est pas ainsi qu'opèrent les scientifiques pour évaluer un lien entre deux populations.
en fait le principe est relativement simple, les gènes évoluent avec des mutations.
si l'on trouve deux populations qui partagent un même pool génétique on peut estimer leur divergence.
je pense que c'est en estimant cette divergence que les scientifiques ont pu confirmer que certaines régions de méditerrannée avait recu un apport démographique significatif au cours de l'expansion phénicienne.
 
Re : analyse ADN et les Pheniciens ...

" un apport démographique significatif au cours de l'expansion phénicienne. "

dans le littoral maghrebin a part carthage , les pheniciens se sont contenté de comptoires par contre les grecs et les juifs ensuite , l'histoire en a enregistré des colonisations et des migration ...

et les grec et les juifs etaient les vecteur de propagation du J2 ( ce dernier meme a ete
baptisé le haplogroup des cohens , ils pretendent descendre de aron frere de mois
donc d'abraham .... le prophete mohamed descend lui aussi d'abraham : je suppose que
le haplogroup des chorffa est J2 ???????????
 
Re : analyse ADN et les Pheniciens ...

" un apport démographique significatif au cours de l'expansion phénicienne. "

dans le littoral maghrebin a part carthage , les pheniciens se sont contenté de comptoires par contre les grecs et les juifs ensuite , l'histoire en a enregistré des colonisations et des migration ...

et les grec et les juifs etaient les vecteur de propagation du J2 ( ce dernier meme a ete
baptisé le haplogroup des cohens , ils pretendent descendre de aron frere de mois
donc d'abraham .... le prophete mohamed descend lui aussi d'abraham : je suppose que
le haplogroup des chorffa est J2 ???????????
oui mais une signature génétique peut etre plus précise qu'un haplogroupe.
sinon concernant le projet des chorfas, moi je suis persuadé que l'haplogroupe du prophete (psl) est G2 (et non pas J2) car on retrouve cet haplogroupe chez un prince hachémite et chez des participants chorfas du yémen.
par contre les autres participants (majoritairement maghrébins, indiens, pakistanais) ne sont pas tout a fait de cet avis.
 
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