Chant de la Tassaout
Hayet Ayad
Genre : Chants et poésie
Compagnie : Hayet Ayad
Avec et par : : Hayet Ayad
Le spectacle : En Haute-Tassaout, vallée du bout du monde, vivait autrefois une jeune berbère du nom de Mririda n’Aït Attik. « Égarée sur le chemin de la vie », elle avait dû s’éloigner des siens et était devenue une hétaïre du souk d’Azilal. À la tombée de la nuit, elle se revêtait de drap fin et de brocart, de parfum au jasmin et de toute la flamme de son lyrisme, et chantait, puisant son inspiration dans son amour pour le Mont Atlas. Personne ne prêtait attention à son talent jusqu’à l’arrivée d’un Français : fasciné tant par le personnage que par ses poèmes, l’écrivain retranscrivit minutieusement ses chants, proches des ballades et rondeaux de notre Moyen-Age… Ce sont ces poèmes, issus de d’une âme généreuse et des traditions animistes de l’une des plus belles régions du Maroc, que lit et chante Hayet Ayad. Seule sur scène, a capella ou accompagnée de percussions, elle ressuscite les émotions et le combat de la jeune fille devenue courtisane : des mélopées d’un autre temps racontant la montagne, les mœurs, les hommes et l’amour. Il n’existe aucune trace de la musique de Mririda ; Hayet Ayad l’a composée. Peut-être l’a-t-elle simplement trouvée en elle… Sa voix grave et envoûtante en rapporte toute la magie. Le lien mystérieux qui unit ces deux femmes, par-delà le temps et les montagnes, puise aux mêmes sources : chanter comme le seul moyen d’exprimer sa révolte et sa force. Pour l’une comme pour l’autre, s’élever, par l’art et l’inspiration, et tendre vers la verticalité
HAYET AYAD:
http://www.culture-alsace.org/rubrique.php3?id_rubrique=22&id_compagnie=5864
Hayet Ayad
Genre : Chants et poésie
Compagnie : Hayet Ayad
Avec et par : : Hayet Ayad
Le spectacle : En Haute-Tassaout, vallée du bout du monde, vivait autrefois une jeune berbère du nom de Mririda n’Aït Attik. « Égarée sur le chemin de la vie », elle avait dû s’éloigner des siens et était devenue une hétaïre du souk d’Azilal. À la tombée de la nuit, elle se revêtait de drap fin et de brocart, de parfum au jasmin et de toute la flamme de son lyrisme, et chantait, puisant son inspiration dans son amour pour le Mont Atlas. Personne ne prêtait attention à son talent jusqu’à l’arrivée d’un Français : fasciné tant par le personnage que par ses poèmes, l’écrivain retranscrivit minutieusement ses chants, proches des ballades et rondeaux de notre Moyen-Age… Ce sont ces poèmes, issus de d’une âme généreuse et des traditions animistes de l’une des plus belles régions du Maroc, que lit et chante Hayet Ayad. Seule sur scène, a capella ou accompagnée de percussions, elle ressuscite les émotions et le combat de la jeune fille devenue courtisane : des mélopées d’un autre temps racontant la montagne, les mœurs, les hommes et l’amour. Il n’existe aucune trace de la musique de Mririda ; Hayet Ayad l’a composée. Peut-être l’a-t-elle simplement trouvée en elle… Sa voix grave et envoûtante en rapporte toute la magie. Le lien mystérieux qui unit ces deux femmes, par-delà le temps et les montagnes, puise aux mêmes sources : chanter comme le seul moyen d’exprimer sa révolte et sa force. Pour l’une comme pour l’autre, s’élever, par l’art et l’inspiration, et tendre vers la verticalité
HAYET AYAD:
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