azul
Les souffrances des femmes dans les sociétés d obscurantisme ou des filles parce qu'elle avaient été violées,ou tombées amoureuses se transforment en torche vivante sous la décision d un "conseil de famille"
Le (crime d'honneur) une coutume répandue dans les sociétés patriarcales du Moyen-Orient. Peu à peu, elle lève le voile sur un sujet tabou et découvre que des milliers de femmes, suspectées -généralement à tort- d'avoir fauté et donc d'avoir «sali» l'honneur familial, sont sacrifiées chaque année sur l'autel d'une tradition indigne.
Egorgées, empoisonnées, brûlées vives, fusillées, poignardées, étranglées par un père, un frère, un mari, un cousin qui pourra, lui, dormir en paix une fois son forfait accompli.
Comment expliquer pareille clémence? Il faut savoir que le crime d'honneur fait partie des moeurs dans les pays où il sévit; c'est ce qu'on appelle le droit coutumier. Afin d'exercer ce droit, certaines familles n'ont pas hésité à dépenser les épargnes de toute une vie pour faire tuer leur fille - 5, 10 ou 20 ans plus tard - évadée dans un autre pays. Ainsi, une Kurde a subi ce traitement en Suède, puis une autre au Canada. Une Marocaine réfugiée en Corse y a été assassinée, tandis qu'une jeune fille évadée du Yémen a été tuée en France. Elles se croyaient sans doute à l'abri, dans leur nouveau pays...
Dans les territoires occupés, dont la Cisjordanie, un premier sondage sur le sujet vient d'être rendu public. Parmi les résultats qui surprennent, signalons que près de la moitié des hommes (44 %) et du tiers des femmes (32 %) croient qu'il est normal qu'une femme ayant sali l'honneur de sa famille paie de sa vie. Même sans preuves, et même quand le fautif est un homme.
staymate
Les souffrances des femmes dans les sociétés d obscurantisme ou des filles parce qu'elle avaient été violées,ou tombées amoureuses se transforment en torche vivante sous la décision d un "conseil de famille"
Le (crime d'honneur) une coutume répandue dans les sociétés patriarcales du Moyen-Orient. Peu à peu, elle lève le voile sur un sujet tabou et découvre que des milliers de femmes, suspectées -généralement à tort- d'avoir fauté et donc d'avoir «sali» l'honneur familial, sont sacrifiées chaque année sur l'autel d'une tradition indigne.
Egorgées, empoisonnées, brûlées vives, fusillées, poignardées, étranglées par un père, un frère, un mari, un cousin qui pourra, lui, dormir en paix une fois son forfait accompli.
Comment expliquer pareille clémence? Il faut savoir que le crime d'honneur fait partie des moeurs dans les pays où il sévit; c'est ce qu'on appelle le droit coutumier. Afin d'exercer ce droit, certaines familles n'ont pas hésité à dépenser les épargnes de toute une vie pour faire tuer leur fille - 5, 10 ou 20 ans plus tard - évadée dans un autre pays. Ainsi, une Kurde a subi ce traitement en Suède, puis une autre au Canada. Une Marocaine réfugiée en Corse y a été assassinée, tandis qu'une jeune fille évadée du Yémen a été tuée en France. Elles se croyaient sans doute à l'abri, dans leur nouveau pays...
Dans les territoires occupés, dont la Cisjordanie, un premier sondage sur le sujet vient d'être rendu public. Parmi les résultats qui surprennent, signalons que près de la moitié des hommes (44 %) et du tiers des femmes (32 %) croient qu'il est normal qu'une femme ayant sali l'honneur de sa famille paie de sa vie. Même sans preuves, et même quand le fautif est un homme.
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