Les conditions douteuses dans lesquelles est conclu le contrat de coproduction de 30 films entre la SNRT et Ali'n fait encore jaser le milieu de la production. La fuite en avant du régulateur n’arrange pas les choses. Quant aux tournages, ils s'accélèrent au rythme d’un téléfilm tous les quinze jours.
Le 18 avril 2006, Nabil Benabdellah, ministre de la Communication, Fayçal Laâraïchi, PDG de la SNRT et Nabyl Ayouch, DG d'Ali'n Production, ont annoncé officiellement avoir conclu un contrat tripartite, portant sur la coproduction de 30 films dont une bonne partie est en tachelhit, dix en arabe doublés en tachelhit, tarifit et tamazigh. Le tout pour une enveloppe globale de 36 millions de Dhs. L'annonce a été un véritable coup de massue pour les producteurs. Ce projet, baptisé "Film Industry", fait encore couler beaucoup d'encre, notamment sur les conditions douteuses de l'attribution de ce marché à Ali'n Production. Et c'est loin d'être fini.
suite : http://www.lejournal-hebdo.com/sommaire/culture/lindustrie-cocotte-minute.html
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