Je l'ai encore lu hier soir, alors voici quelques remarques :
- Lorsqu'on dit "traduction du Coran en Tamazight", il serait plus précis de dire "Coran en Tachelhit". En effet l'auteur a suivi une démarche pratique et non linguistique.
Je m'explique : il a choisi souvent un vocabulaire le plus proche possible de la pratique sans rechercher une pureté de la langue (sauf pour les notions où il ne pouvait pas faire autrement).
Un exemple, pour FEU, il emploie LAAFIT qui est une berbérisatio nde LAAFYA, alors que d'autres mots existent pour dire FEU.
Idem pour ELEPHANT, il emploie LFIL (de l'arabe) alors qu'en Tamazight c'est ILLU.
Enfin i ls'agit bien d'une version Tachelhit dans sa grammaire. Les Rifains non familiers avec le Tachelhit seraient perdus ! (Je dis non familier car plus qu'un apprentissage c'est bien d'une familiarisation dont l'on peut parler lorsque l'on passe d'un parler à l'autre).
- Ensuite, il ne s'agit pas d'une traduction à proprement parlé. Jouhadi n'a pas (d'après ce que je lis) essayé de faire un pur travail de traduction mot à mot.
Comme son titre l'indique, il s'agit bien d'une INTERPRETATION DES SENS DU CORAN.
L'ouvrage est plus sous forme d'explication, avec souvent des phrases deux fois plus longues que le verset d'origine, des sens des versets.
Ce n'est pas plus mal, celui qui veut réciter mot à mot le fera en arabe, cetet version en Tachelhit aidera à comprendre ce qu'il récite.
Enfin, un reproche à faire, j'ai trouvé 2 sourates qui avaient le même nom et 3 autres aussi !
Je ne sais pas si l'erreur vient de l'auteur ou de l'imprimeur mais c'est assez grave (peut-être unique dans l'histoire).
Si cela vient de l'auteur, il y a eu un gros manque là.
- Lorsqu'on dit "traduction du Coran en Tamazight", il serait plus précis de dire "Coran en Tachelhit". En effet l'auteur a suivi une démarche pratique et non linguistique.
Je m'explique : il a choisi souvent un vocabulaire le plus proche possible de la pratique sans rechercher une pureté de la langue (sauf pour les notions où il ne pouvait pas faire autrement).
Un exemple, pour FEU, il emploie LAAFIT qui est une berbérisatio nde LAAFYA, alors que d'autres mots existent pour dire FEU.
Idem pour ELEPHANT, il emploie LFIL (de l'arabe) alors qu'en Tamazight c'est ILLU.
Enfin i ls'agit bien d'une version Tachelhit dans sa grammaire. Les Rifains non familiers avec le Tachelhit seraient perdus ! (Je dis non familier car plus qu'un apprentissage c'est bien d'une familiarisation dont l'on peut parler lorsque l'on passe d'un parler à l'autre).
- Ensuite, il ne s'agit pas d'une traduction à proprement parlé. Jouhadi n'a pas (d'après ce que je lis) essayé de faire un pur travail de traduction mot à mot.
Comme son titre l'indique, il s'agit bien d'une INTERPRETATION DES SENS DU CORAN.
L'ouvrage est plus sous forme d'explication, avec souvent des phrases deux fois plus longues que le verset d'origine, des sens des versets.
Ce n'est pas plus mal, celui qui veut réciter mot à mot le fera en arabe, cetet version en Tachelhit aidera à comprendre ce qu'il récite.
Enfin, un reproche à faire, j'ai trouvé 2 sourates qui avaient le même nom et 3 autres aussi !
Je ne sais pas si l'erreur vient de l'auteur ou de l'imprimeur mais c'est assez grave (peut-être unique dans l'histoire).
Si cela vient de l'auteur, il y a eu un gros manque là.