Le conte berbère

Re : Le conte berbère

Merci pour le lien, je collecte un peu partout des contes imazighen pour le site que j'ai mis en ligne, cela peu m'aider.
Beaucoup de temps perdu au design du siteweb, presque trois heures, je ne suis pas un as du net, on apprend sur le tare...
 
Re : Le conte berbère

Je peux te dire de mémoire que le site Tamurth.net a une rubrique consacré à nos contes, toutes composantes tamazight confondue. Mais a priori c'est sur Gallica, le visualisateur de la BNF, que tu trouveras le plus d'ouvrages, la plupart étant des traductions rapportées de l'époque coloniale: http://gallica.bnf.fr/
 
Re : Le conte berbère

:) Oui, je suis passé sur le site de Tamurth il y a quelques temps, j'y ai pris quelques contes libres de droits, car le problème, c'est qu'en français, les sources pour les contes imazighen libre de droits sont très rares, il semble que beaucoup de berberisant ou d'auteurs du maghreb s'accaparent les sources, et si tu as envie de les publiés sur un site, vlam! Tu reçois des menaces, heureusement, j'utilise des sources libres de droit, comme celle offerte justement sur Gallica, spécialement les oeuvres de R. Basset, dommage que le fond d'archives de rené roux qui compte beaucoup de documents intéressant soit thésaurisé par le berberisant Stroomer!
Comme j'aime beaucoup l'esthétisme, j'ai pensé que les contes méritaient un meilleur habillage, plutot que de les publié sur le net sur fond blanc triste et avec une police de caractère neutre, genre time new roman, j'opte pour la couleur et les images, si tu passes dans le site que j'ai mis en ligne tu verra de quoi je parles.
J'ai pioché sur le net pour déniché sur les sites américains de peintres orientalistes les illustrations qui garnissent les différents contes, je suis nul en dessin, alors je fait avec ce que j'ai sous la main.

Problème pour les documents de Gallica, a contrario des biblio anglo-saxonnes sur le net, c'est que leurs documents sont en PDF numérisé au format image, au format texte eut plus aisé, car je doit retranscrir les documents PDF au format texte, et cela me prend une heure pour un conte! Je ne suis pas rapide en dactylo.
:)
 
Re : Le conte berbère

Il faudra bien légiférer un jour sur le problème de la protection des compositions issues de la tradition orale et des revendications de propriété.
Moi je dis qu'elles nous appartiennent et qu'une fois flaggé comme retranscription d'une tradition orale, une oeuvre ne peut être l'objet d'une appropriation.

Effectivement, je l'ai déjà visité hier, et la charte graphique est agréable.

En effet, Gallica permet d'extraire les docs au format PDF image. Malgré tout, je peux te dire qu'il existe un add-in qui permet de PDF-iser les documents de type .doc (Word).
L'add-in fonctionnellement réciproque doit donc aussi exister. Sinon, il y a l'alternative de l'OCR, la reconnaissance de caractères, mais il faut un scanner, et les résultats sont très moyens. Mais de toute façon dans ton cas, tu as un travail de retranscription (en Anglais) qui t'oblige de toute façon à réediter la plupart des textes que tu trouveras sur gallica.
 
Re : Le conte berbère

Oui, il est vraiment intolérable que des personnes s'apropris les traditions orales, pourquoi une langue serait-elle la proprieté d'un seul individu? C'est idiot non? Certes, il y a le travail d'écriture, mais à un certain niveau, c'est le problème de tous ce qui est publié en français, les éditeurs en fait ne publient pas beaucoups de nouveautés, en fait, les éditeurs français ne font que republié des oeuvres classiques, c'est incroyable qu'il faille payé pour un livre de victor hugo alors que tu peux le trouvé gratuit sur internet.

Pour les contes en anglais du site que j'ai mis en ligne, j'ai la chance de pratiqué l'anglais et de surfer sur le net, et c'est sur la bibliothèque Gutenberg que j'ai déniché un petit bijou de livre éléctronique au format HTML et TXT écrit au début du 20ième siècle, vraiment sans lui, je n'aurais pas pu trouvé tous ces contes, car je n'ai publié sur le site que la moitié, le reste suivra bientôt. Si ce n'était pas gutneberg project, j'aurais du pioché dans les ouvrages de Stroomer, chose que je répugne à faire, je ne veux pas me faire attaqué en justice, en plus Stroomer lui-même ne se prive pas de pioché chez R. Basset ou René Roux!
J'essai modestement de fair existé nos contes sur le net, si j'avais le temps, je traduirais ces contes en espagnole et en italien, mais j'ai déjà beaucoup de boulot avec le versant anglais et français, je crois que je vais mettre le lien sur wikipedia.
 
Re : Le conte berbère

Tu as parfaitement raison, et ça fait déjà quelques années que je télécharge ça et là la plupart des romans et autres ressources que je lis. Les droits d'auteur ont une durée et c'est bien cette caractéristique qui embellit aujourd'hui Internet de projet comme le projet Gutenberg.
J'y ai moi même trouvé tellement de ressources, et c'est en plus multi-formats (pdf, MS reader, .txt).
D'un point de vue stratégique et médiatique, je partage ton choix de l'anglais: communiquer sur notre culture en anglais, c'est la mettre à une portée mondiale (et historiquement moins biaisée).

Bonne continuation en tout cas! :)
 
Re : Le conte berbère

Je trouve aussi que nos contes chleuh sont sous représentés sur le net, aussi loin que je puisse cherché sur le net, je ne trouve qu'une poignée de contes chleuh en français par exemple, c'est une chance qu'au siècle dernier des anthropologue ou des orientalistes aient collectés ici et là des contes, je pense aux contes en open source du capitaine justiniard, j'ai retranscrit quelques uns des contes chleuh qu'il a réussit à collecté, mettre sur le net nos contes est comme dirait une façon de les perrainisés pour qu'ils ne se perdent pas et qu'ils soient accessibles au plus grand nombre.

Pour l'anglais c'est exactement la demarche que je suit, j'essai de recolté un plus grand nombre de contes amazigh pour les diffusés, et j'espère que d'autres en feront de même, il me manque une seule chose, c'est la préface, j'ai traduit un petit article trouvé sur tamurth je crois, qui explique l'ancienneté des contes, j'hésite à la mettre sur la page d'acceuil, car je crains d'avoir commis quelques fautes en anglais...

J'ai dû avalé des couleuvres dans un forum de BD amateurs pour chercher un dessinateur succeptible de m'aider à illustré les contes, mais malheureusement j'ai échoué, ce qui m'à poussé à utilisé des sources libres comme le sont des tableaux orientalistes, je suis peut-être nul en dessin, mais j'ai beaucoup d'imagination, c'est encore heureux!
Je met à jour le site des contes, et je vais y placé dans la page de présentation quelques liens comme celui menant vers le forum.

Salut!


salut!
 
Re : Le conte berbère

Salut,

Autant mettre la dite préface, et ensuite recueillir les remarques des lecteurs sur ce forum pour corriger d'éventuelles fautes. De toute façon, les anglophones ont une tolérance aux erreurs grammaticales qui ne perturbent pas leurs compréhensions du texte ... jusqu'à un certain degré bien entendu.

Et pour la promotion du site, ce peut être utile de l'afficher sur des forums littéraires anglophones.
 
Re : Le conte berbère

Salut !

J'ai inclus la préface en anglais, et j'espère comme tu l'as dit que les visiteurs ne se formaliseront pas.
Pour la promotion du site, j'ai déjà mis le lien sur wikipedia.org, je cherche un peu partout les sites anglophones spécialisés dans les contes, j'en connais pas mal et je crois être en bonne voie.
 
Re : Le conte berbère

Conte du pays Chleuh : Les tapis du fils du négociant

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C'est l'histoire d'un négociant qui avait amassé une grosse fortune et qui avait un fils. Un jour, sur le point de mourir, il lui dit :
- Sois prudent, sinon ta fortune s'épuisera et tu resteras sans rien. Mais il ne tint pas compte du conseil de son père car il pensait que sa fortune était si grande que jamais elle ne s'épuiserait. Il épousa une femme, qui, quoi qu'elle demandât d'apporter tel jour, le lendemain il lui fallait autre chose. Et voilà la fortune dissipée, seul Dieu est éternel !

La femme dit alors à son mari :
- Nous ne pouvons pas continuer à vivre dans cette ville où tout le monde nous connaît.
- A toi de décider, répondit-il, où que tu veuilles aller nous irons.

Ils déménagèrent donc dans une grande ville et s'y installèrent.
- Dis-moi, demanda la femme à son mari, tu dois connaître quelques amis de ton père ici ?
- J'en connais, dit-il.
- Eh bien, il faudrait que tu ailles trouver l'un d'eux pour qu'il te donne cent dirhams et que tu me les rapportes.

Le mari se rendit chez un ami de son père, échangea avec lui le salut et lui dit :
- Je voudrais que tu m'avances une centaine de dirhams.

L'autre les lui donna et il les apporta à sa femme qui lui indiqua ce qu'il devait acheter comme laine et comme teinture. Quand elle lui eut bien indiqué, en détail, ce qu'il devait lui rapporter, il s'en alla chercher ce qu'elle voulait.

Elle en fit un tapis qui était une merveille et demanda à son mari :
- Porte le au Pacha de la ville.

Il le porta au pacha qui l'accueillit avec empressement car le tapis lui plaisait beaucoup. Il lui demanda de qui il était le fils. Le mari lui répondit et le pacha, comprenant qu'il était le fils d'un riche négociant, le traita avec largesse puis prit aimablement congé en lui disant :
- Que Dieu bénisse la femme qui a tissé ce tapis!" Il ne lui vint pas à l'esprit que son visiteur s'attendait à autre chose. Il pensait simplement que le fils du riche négociant lui faisait un cadeau.

- Et alors ? demanda la femme à son mari de retour.
- Le pacha, lui répondit-il, te donne sa bénédiction et te souhaite une bonne santé : tu ne seras jamais plus malade. Quant à ce dont nous avons tant besoin, il n'en a pas été question.
- Entendu, lui dit-elle, retourne chez l'ami de ton père pour qu'il te donne cents autres dirhams.
- Est-ce que tu ne vas pas bientôt me laisser tranquille ?" lui demanda-t-il furieux.
- Va, lui dit-elle, ne te fais pas de souci : cette affaire ne concerne que moi ; elle ne te regarde plus."

Il réitéra sa démarche et rapporta les cent dirhams. Sa femme lui demanda d'aller lui chercher exactement les mêmes fournitures que la fois précédente. Le fils du négociant fit ce que sa femme lui demandait et elle fabriqua un tapis semblable au premier puis elle demanda à son mari :
- Porte celui-ci au cadi.

Or le cadi avait vu le tapis du pacha et lui avait demandé: « Qui vous l'a apporté ? ».

Et le pacha lui avait répondu que c'était le fils d'un négociant de ses amis. Le cadi lui avait encore demandé à quel prix il l'avait acheté et le pacha lui avoué qu'il lui en avait fait cadeau Lorsque le mari apporta le second tapis au cadi, celui-ci l'accueillit chaleureusement et il lui demanda :
- Est-ce vous le fils de l'ami du pacha ?
- C'est bien moi.

Alors le cadi fut aux petits soins pour lui. Quand son hôte eut mangé et bu, il lui demanda :
- Qui vous a tissé ce bel ouvrage ?
- C'est ma femme qui l'a tissé elle-même.
- Eh bien, dites-lui que je lui adresse toutes mes félicitations.

Le visiteur sortit de chez le cadi, décidément ce dernier s'imaginait aussi qu'il s'agissait simplement d'un cadeau.

- Et alors, lui demanda sa femme lorsqu'il rentra.
- Toi, tu peux remercier Dieu, lui répondit son mari, tu ne seras plus jamais malade : le cadi te donne sa bénédiction en te souhaitant une bonne santé, mais ce dont nous avons besoin, il n'en a pas été question.

Elle reprit :
- Il faut que tu ailles me chercher cent autres dirhams.
- Moi, lui répondit-il, je n'irai plus

Elle insista :
- Il faut absolument que tu y ailles encore cette fois.

Il alla donc et rapporta cent autres dirhams. On croyait toujours qu'il était riche, puis il acheta les mêmes fournitures qu'auparavant. La femme tissa un troisième tapis et lui dit :
- Celui-ci, porte-le au ministre du roi.

Or le ministre avait vu le tapis du pacha. Il lui avait demandé son prix et le pacha lui avait confié : « C'est le fils d'un riche négociant qui me l'a donné » Aussi, lorsque le mari entra avec son tapis ; il se montra fort attentionné avec lui. L'autre alors déposa son fardeau ; le ministre en fut ravi. Quand son visiteur eut mangé et bu, il lui demanda :
- C'est bien, comme on m'a dit, votre femme elle-même qui a tissé cette merveille ?
- Parfaitement, Excellence !
- Eh bien ! Faites-lui tous mes compliments, dit le ministre, voilà comme on doit travailler.

Il le reconduisit aimablement, sans manifester nulle intention de lui donner quoi que ce soit.
- Et alors ? lui demanda sa femme à son retour.
- Toujours la même chose, on te bénit et on forme des vœux pour ta santé.
- Tu vas retourner chez l'ami de ton père pour qu'il te donne un habit de négociant. Le jour de la criée, tu ne quitteras pas le port avant d'avoir acheté la cargaison de trois navires de marchandises. N'arrête pas de renchérir jusqu'à ce qu'elle soit à toi, à n'importe quel prix.
- Et pour le paiement ?
- Va, lui dit-elle, quand tu l'auras achetée. je t'indiquerai qui devra payer.

Il partit en revêtant l'habit de négociant et, le jour de la criée, il resta sur le port à faire monter les enchères jusqu'à ce qu'il ait acquis la cargaison de trois navires. Puis il rentra chez sa femme et lui annonça :
- Eh bien, voilà qui est fait maintenant !
- N'aie pas le moindre souci, lui dit-elle, et va chercher un endroit où décharger la marchandise.

C'est ce qu'il fit. Un jour, l'homme qui lui avait vendu la cargaison des trois navires vint le trouver pour se faire payer.
- Déguerpissez ! lui dit le fils du négociant. Au bout d'une semaine l'homme revint et le mari alla trouver sa femme.
- L'homme qui m'avait vendu la cargaison des trois navires est revenu, il ne repartira pas sans avoir reçu son argent.
- Ne lui donne rien ! répondit sa femme, et s'il te dit quelque chose, tu lui répondras : "Que Dieu te donne la santé !"

Quand le vendeur comprit qu'il n'aurait rien, il assigna le fils du riche négociant en justice et celui-ci à nouveau alla trouver sa femme.
- Va, dit-elle, accompagne-le chez le roi. Là, laisse-le présenter sa requête, puis tu diras au roi :
" Pardon, Monseigneur, moi je ne suis qu'un étranger. Ce que j'ai vu les gens utiliser comme monnaie d'échange dans ce pays, je m'en suis servi pour payer cet homme." Si le roi te demande alors des explications, tu lui exposeras toute l'affaire comme elle est.

Quand ils furent arrivés chez le roi, le vendeur remit la liste de tout ce qu'il avait vendu au fils du négociant, le roi la lut et comprit de quoi il retournait. Il s'adressa à l'autre :
- Qu'avez vous à répondre ?
- Pardon Monseigneur commença-t-il moi je ne suis qu'un étranger. J'ai acheté à cette compagnie sa marchandise ; et ce que les gens de ce pays utilisent comme monnaie d'échange je m'en suis servi pour payer l'armateur.

Le roi s'adressa au demandeur :
- Avec quoi cet homme vous a-t-il payé ?
- Monseigneur, répondit l'autre, il n'y a eu aucun paiement. Je me suis présenté à lui et je l'ai prié de me régler. Il m'a dit : "Que Dieu te donne une bonne santé."
- Est-ce bien cela ? demanda le roi.
- Parfaitement, Monseigneur, dit l'autre.
- Et qu'est-ce que cela signifie ? reprit le roi.
- Monseigneur, commença notre homme, j'ai vendu un tapis au pacha de la ville, et il m'a dit : "Que Dieu vous donne une bonne santé, à vous et à la femme qui l'a tissé." J'ai recommencé Monseigneur poursuivit-il, en vendant un autre tapis au cadi ; il m'a payé avec un " Que Dieu vous donne une bonne santé, à vous et à la femme qui l'a tissé". J'en ai vendu un troisième au ministre : il m'a payé avec un "Que Dieu vous donne une bonne santé, vous et à celle qui l'a tissé !" Alors, Monseigneur, conclut-il, j'ai acheté les marchandises de cet homme avec un « Que Dieu vous donne une bonne santé !" A vous de juger maintenant. »

Le roi envoya une convocation au pacha et une au cadi. Ils comparurent. Il fit appeler le ministre.
- Cet homme, demanda-t-il, vous a bien vendu des tapis ?

Ils répondirent :
- Monseigneur, il ne nous a rien vendu. Les tapis, il nous les a apportés sans que nous lui donnions quoi que ce soit.
- Alors, dit le roi, chacun de vous devra payer la cargaison d'un des navires du plaignant.

Conté par Abelassam ou Lahcen n id-Braïm. Novembre 1950

Contes berbères du Grand Atlas recueillis par Alphonse Leguil.

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Re : Le conte berbère


s ufella

"Je trouve aussi que nos contes chleuh sont sous représentés sur le net, aussi loin que je puisse cherché sur le net, je ne trouve qu'une poignée de contes chleuh en français par exemple, c'est une chance qu'au siècle dernier des anthropologue ou des orientalistes aient collectés ici et là des contes, je pense aux contes en open source du capitaine justiniard, j'ai retranscrit quelques uns des contes chleuh qu'il a réussit à collecté, mettre sur le net nos contes est comme dirait une façon de les perrainisés pour qu'ils ne se perdent pas et qu'ils soient accessibles au plus grand nombre.

Pour l'anglais c'est exactement la demarche que je suit, j'essai de recolté un plus grand nombre de contes amazigh pour les diffusés, et j'espère que d'autres en feront de même, il me manque une seule chose, c'est la préface, j'ai traduit un petit article trouvé sur tamurth je crois, qui explique l'ancienneté des contes, j'hésite à la mettre sur la page d'acceuil, car je crains d'avoir commis quelques fautes en anglais...

J'ai dû avalé des couleuvres dans un forum de BD amateurs pour chercher un dessinateur succeptible de m'aider à illustré les contes, mais malheureusement j'ai échoué, ce qui m'à poussé à utilisé des sources libres comme le sont des tableaux orientalistes, je suis peut-être nul en dessin, mais j'ai beaucoup d'imagination, c'est encore heureux!
Je met à jour le site des contes, et je vais y placé dans la page de présentation quelques liens comme celui menant vers le forum.

Salut!"

SANDOKAN


 
Re : Le conte berbère

personnellement je ne mettrai pas de contes chleuhs sur internet, il faut faire l'effort de bouquiner( c'est mon avis)
je dis cela car j'ai chez moi un petit livre de poche de contes du maroc avec des histoires berberes!
ces histoires ont ete raconté par un marocain à un anglais et qu'est-ce qu'il a fait , il a eu l'idée de les publier.


ce sont des histoires toutes bêtes et simple à comprendre.

où lieu de les mettre sur le net, à la porter facile de tout le monde, j'aimerai vos lire sur des livres écris par par vous les chleuhs.... c'est merveilleux et je vous conserverai dans ma bibliothèque dans une étagère spécialement pour ça ;-)

sinon les "autres" se chargeront de le faire.
 
Re : Le conte berbère

L'avenir de la culture amazigh passe par les moyens modernes de diffusions, tel que Internet, il est plus facile de publié sur le net un texte qui sera plus accessible à un large publique que de le publier, dans publier c'est plus histoire de courir le risque de ne pas etre publié, si tu possède un livre de contes berbères, tu serais gentille de le scanné et de posté ici les contes histoire de propagé notre culture comme le font beaucoups ici.

Merci.
 
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