les organismes internationaux continuent a appeler les AMAZIGHES des"arabes??

tinji

New Member
la Renaissance de l'Amazighe
L'ONU fête la culture pour la paix avec “ la Renaissance de l'Amazighe”
Publié le : 15.11.2006

L e siège des Nations unies à New York a abrité jeudi dernier une importante cérémonie commémorative pour célébrer la Décennie internationale de la Culture, de la paix et de la non-violence en faveur des enfants du monde.

Cette manifestation internationale a rassemblé, dans un moment de forte communion, les hauts responsables et représentants de l'Onu, les ambassadeurs des Etats membres, les représentants des ONG, ainsi que les responsables d'organismes multimédia à l'échelle mondiale, dont l'agence marocaine Dounia Productions.

La cérémonie a été marquée notamment par une conférence, suivie d'un débat et d'un échange croisé. Au panel des discussions, le représentant de la République populaire de Chine, le Haut représentant de l'Unesco et trois représentants de la société civile, en provenance d'Afrique du Nord, d'Europe et d'Amérique, sont intervenus.
Le choix de ces trois régions géographiques répond à un souci de comparaison d'expériences et de créations modèles.

Lors de cette journée, trois films ont été projetés et présentés à l'assemblée : un premier film japonais, un second chinois et le troisième enfin marocain, produit par la société Dounia Productions et réalisé par Jacques Renoir. Intitulé " Renaissance amazighe ", ce film a été tourné au Maroc en 2005 pour le compte de la Fondation BMCE Bank dans le but de promouvoir la lutte contre l'analphabétisme et la pauvreté et de renforcer aussi la renaissance de la langue amazighe.

Intervenant lors de la cérémonie de présentation , Dounia Benjelloun, présidente de Dounia Productions, a mis en exergue le pluralisme culturel du Royaume du Maroc et, partant, la place qu'y occupe depuis des millénaires la langue amazighe, comme aussi la mise en œuvre depuis quelques années d'un enseignement diversifié.
A ce titre, elle a mis en évidence les réalisations exemplaires du programme medersat.com, consistant en la création et la prise en charge directe de leur gestion de plusieurs dizaines et dispensant l'apprentissage de langue amazighe et de son alphabet multimillénaire, le tifinagh.

Avec des propos teintés de grande émotion, où se mélangent fierté et détermination, Dounia Benjelloun a affirmé : " Etant moi-même à moitié berbère, la réalisation de ce film et l'imprégnation en moi de la civilisation et de la culture berbères m'ont plongée dans une réelle fascination. J'en suis d'autant plus fière, parce qu'il s'agit là d'une part importante de mon héritage, de mon vécu et aussi celle du peuple marocain. "
 
agerzam said:
Où vois-tu la mention "arabe" ?:rolleyes:

;;;;;;;;;;;
; tous c'eux que ce revendiquent de moitie arabe , sonts completement : zaglen: de la realité et ils sonts encappable de citér les prénoms de leurs ariere grand pére ,??????
, manik ad skern aylligh ssen is gan uzgen n wa3rab;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;
 
Mme Ben xoxo

Oui, je suis d'accord avec Butkira pour dire wue cette dame, aussi pleine de bonne volonté, n'admet toujours pas la réalité : à savoir qu'elle est à 100% amazighe !
 
Bon, comme Agerzam je ne vois pas où Dounia Benjelloun revendique une quelconque identité arabe exclusive; bien au contraire cette dame que je ne connais pas renforce le combat identitaire amazighe, puisque sa production tourne autour de ce sujet.
Mais il est vrai que les organismes internationaux, les journalistes, l'opinion publique internationale continue à accoler les termes " arabe", " oriental", s' agissant de la culture, la politique et de la civilisation, la reliion à tout ce qui touche l' afrique du Nord. On est étiquetés " arabes" qu' on le veuille ou non et cela nous créé un vrai problème identitaire qui reste encore posé à nos jours.

Quand j' entends le mot " arabe" concernant l' Afrique du Nord, je précise toujours qu' il s' agit d' Amazighe. Quand on m' applique le mot " oriental" concernant ma culture et mon patrimoine culturel je m' insurge: géographiquement, historiquement, linguistiquement, l' afrique du nord est à l' extrême ouest de l' Orient culturel, humainement Imazighens sont atlassiques, méditerranéens et sahariens.

Mais alors pourquoi tout le monde continue à nous accoler les adjectifs " arabes" et " oriental"?

Est- ce à cause des choix politiques et idéologiques de nos gouvernements et partis? Oui, le makhzen, les partis politiques se sont touujours référés à l' orient et se sont même montrés amazighophobes. Il y a tout un long exposé à faire la dessus.

A cause de la langue arabe? Oui, la langue arabe l' a emporté politiquement et socialement sur tamazight et même dans l' usage elle continue à éradiquer tamazight: les nord africains continuent de plus en plus à s' arabiser linguistiquement, socialement par l' urbanisation, l' accès au travail, l' école, la télé, la chanson, etc. Même la majorité des intellectuels amazighes continuent à écrire, à penser en arabe.

A cause de l' Islam? Ce n' était pas le cas jusque dans les années 1980. Depuis les déchirements politiques du Moyen orient, la défaite des arabes face à Israel en 1967 même Imazighens se reconnaissent dans les problèmes politiques du moyen orient, palestine, Iraq, etc. La résurgence du fondamentalisme fait beaucoup d' adeptes parmi Imazighens, qui préfèrent s' identifier à l' Islam radical et à l' arabité plus qu' à leur propre identité et à leur islam traditionnel.

Si l' exemple de notre ami Tinji est mal chosi la question de son post soulève une vraie problématique.
 
Moi je me pose la question de ce qu'il se passe dans le cinéma.

Hier j'ai été voir le film Babel qui se passe en partie à Tazarine et les montagnes environnantes. Et bien du petit berger à la paysane en passant par la vieille femme ou le vétérinaire, tous absolument tous parlaient darija. Il y a un effacement, une élimination quasi systématique du fait amazighe dans l'image que le Maroc est sensé renvoyer en dehors des dépliants publicitaires.

Idem pour le film "Indigènes", le film prend le parti defaire parler les acteurs en darija pour plus de réalisme, mais les acteurs sensés représenter les goumiers Ayt Seghrouchen parlent darija tout le film ! Et les exemples de ces manipulations ne manquent pas.

Alors moi je me pose la question :

A quelle niveau cette dissimulation, cette interdiction de la présence amazighe est-elle décidée ?

- Le scenario ?
- Le réalisateur ?
- Des conseillers marocains ?
- Les acteurs mis à dispositions ?
- ...

Je ne sais pas...:rolleyes:
 
agerzam said:
Moi je me pose la question de ce qu'il se passe dans le cinéma.

Hier j'ai été voir le film Babel qui se passe en partie à Tazarine et les montagnes environnantes. Et bien du petit berger à la paysane en passant par la vieille femme ou le vétérinaire, tous absolument tous parlaient darija. Il y a un effacement, une élimination quasi systématique du fait amazighe dans l'image que le Maroc est sensé renvoyer en dehors des dépliants publicitaires.

Idem pour le film "Indigènes", le film prend le parti defaire parler les acteurs en darija pour plus de réalisme, mais les acteurs sensés représenter les goumiers Ayt Seghrouchen parlent darija tout le film ! Et les exemples de ces manipulations ne manquent pas.

Alors moi je me pose la question :

A quelle niveau cette dissimulation, cette interdiction de la présence amazighe est-elle décidée ?

- Le scenario ?
- Le réalisateur ?
- Des conseillers marocains ?
- Les acteurs mis à dispositions ?
- ...

Je ne sais pas...:rolleyes:

Indigènes je n'ai pas été le voir pour cette raison!

J'en ai un autre c'est le dessin animé de Michel Ocelot, Azur et Asmar...
Bien que ce n'est pas précisé dans quel pays se passe le film, on remarque que c'est le Maroc par les bijoux portés par les femmes! Des bijoux amazighes du sud du Maroc!
Mais les personnages, du simple mendiant à la princesse, tous parlent un arabe littéraire qui fait tâche avec la fluidité des gestes de certains personnages. On dirait qu'ils parlent en "pause"!
Mais en même temps aucune association (censé parlait au nom des Imazighens ici en France) ne se plaind auprès des réalisateurs! Il faut leur montrer que les prochaines fois on n'irait pas voir leurs films s'ils continuent à nous oublier dans leurs scripts.
 
Chers amis!
Vous ne connaissez pas le sentiment d un acculture.celui qui aperdu le sens de ses origines.Personnellement je connais les cas au maroc qui ne savent meme pas ce qu ils sont.
les CITATINS en general sont des accultures..........Ils savent qu ils viennent d etelle ou telle tribu amazighe mais ont une honte de se reclamer de telle ou telle tribu.Pourquoi?
la il faut faire une etude sociologique.
les personnes comme Benjelloun qui a OSE se reclamer etre MOITIE amazighe et moitie arabe est deja un grand pas en avant..........Bientot on verra des fassis declarer leur demi -origine............
Les gens ont toujours PEUR quand ils sont dans des postes sociaux visibles............
Mais qu importe la prise de conscience doit continuer......
Sur ce forum j ai CONVERTI des Branes ,Ghiyata et Tsoul a leur vraie origine.par ce forum des centaines de personnes qui m ont contacte pour affirmer que c est grace a ce forum qu ils ont compris qu ils sont amazighes..............
Il faut continuer a montrer aux marocains leurs vraies origines.............et si on arrive a faire admettre par les CITADINS leur DEMI AMAZIGHITE j estime qu on a fait un grand pas en avant car auparavant ils etaient 1005 arabe.
 
.............
idir said:
I have just heard during a interview with Latifa Ah'rar that she helped with the translation to Tamazight and also the pronouncement of sentences in Tamazight in the film "Les indigènes" . Heb je de film gezien Agerzam?
......................


agerzam said:
Moi je me pose la question de ce qu'il se passe dans le cinéma.

Hier j'ai été voir le film Babel qui se passe en partie à Tazarine et les montagnes environnantes. Et bien du petit berger à la paysane en passant par la vieille femme ou le vétérinaire, tous absolument tous parlaient darija. Il y a un effacement, une élimination quasi systématique du fait amazighe dans l'image que le Maroc est sensé renvoyer en dehors des dépliants publicitaires.

Idem pour le film "Indigènes", le film prend le parti defaire parler les acteurs en darija pour plus de réalisme, mais les acteurs sensés représenter les goumiers Ayt Seghrouchen parlent darija tout le film ! Et les exemples de ces manipulations ne manquent pas.

Alors moi je me pose la question :

A quelle niveau cette dissimulation, cette interdiction de la présence amazighe est-elle décidée ?

- Le scenario ?
- Le réalisateur ?
- Des conseillers marocains ?
- Les acteurs mis à dispositions ?
- ...

Je ne sais pas...:rolleyes:

Ja idir, dat was Samy Naseri die een man van Ayt Seghroechen was, absoluut geen tamazight.
 
le devoir de chacun

Adrar-n-illouz said:
Chers amis!
Vous ne connaissez pas le sentiment d un acculture.celui qui aperdu le sens de ses origines.Personnellement je connais les cas au maroc qui ne savent meme pas ce qu ils sont.
les CITATINS en general sont des accultures..........Ils savent qu ils viennent d etelle ou telle tribu amazighe mais ont une honte de se reclamer de telle ou telle tribu.Pourquoi?
la il faut faire une etude sociologique.
les personnes comme Benjelloun qui a OSE se reclamer etre MOITIE amazighe et moitie arabe est deja un grand pas en avant..........Bientot on verra des fassis declarer leur demi -origine............
Les gens ont toujours PEUR quand ils sont dans des postes sociaux visibles............
Mais qu importe la prise de conscience doit continuer......
Sur ce forum j ai CONVERTI des Branes ,Ghiyata et Tsoul a leur vraie origine.par ce forum des centaines de personnes qui m ont contacte pour affirmer que c est grace a ce forum qu ils ont compris qu ils sont amazighes..............
Il faut continuer a montrer aux marocains leurs vraies origines.............et si on arrive a faire admettre par les CITADINS leur DEMI AMAZIGHITE j estime qu on a fait un grand pas en avant car auparavant ils etaient 1005 arabe.

azul flak agma

je suis tout a fait d accord avec toi, les forums mais aussi les associations jouent un role tres vital dans ce sens , c est pour ca d ailleurs que le makhzen n accorde pas facilement le droit a la creation de ce genre d unite culturelle.
donc j estime que malgre que le resultat est encore mediocre, il ne faut pas baisser les bras, il faut continuer, perseverer, car c est un devoir national et humain d aider les citoyens de tamazgha de decouvrir leurs vraie identite. personnelement je suis la meme voie, et ca donnee des resultats. je me rappelle encore au debut de sa carriere d artiste mr amouri mbarek l a bien dit lors d un concert : Tifawt tlla michan tagoug.

tanmirt et tamouzgha soufla
 
Le Maroc de «Babel»

...Le tournage a eu lieu dans le village de Taguenzaït, dans les gorges rocheuses de la vallée du Draâ. Le regard sur cette région et ses habitants se veut fidèle au possible à la réalité. Par petites touches, Inárritu dépeint un Maroc pauvre mais néanmoins hospitalier. Un Maroc où les chikhates squattent la télévision, où les footballeurs habillent les murs d’une modeste demeure et où le kif soulage les peines.
Il présente le Maroc et ses habitants bien plus qu’il ne les décrit, et évoque parallèlement l’emballement de l’ambassade américaine et de la presse qui crient d’emblée au terrorisme suite à cette fameuse balle perdue. La police est aussi violente physiquement que verbalement mais, dans un autre volet de “Babel”, elle est peut-être plus polie mais pas moins odieuse. Au Maroc toujours, les touristes en prennent aussi pour leur grade. Si ceux-ci se déplacent dans un pays étranger, pas question pour autant de se passer de climatisation, de manger trop gras ou de rester dans un village qui semble pour certains relever plus du coupe-gorge que de la charmante carte postale. Courageux visiteurs d’un pays étranger, sécurisés par les vitres d’un car de touristes, oui. Téméraires, non.
Ce souci de réalisme explique sans doute pourquoi le réalisateur a tenu à enrichir le casting d’acteurs non professionnels. Inárritu trouvait que les acteurs marocains professionnels «ne ressemblaient pas aux habitants du désert, parce que leur peau était trop douce, leur look trop travaillé». À grand renfort de haut-parleurs de mosquées, les annonces ont attiré des centaines de candidats au tournage. “La meilleure décision du film” selon Alejandro González Inárritu. L’action a failli se situer en Tunisie, mais Inárritu a finalement opté pour le Maroc où il avait effectué un voyagé à 17 ans, un périple marquant où il s’était déjà juré d’y tourner un film. C’est désormais chose faite.

source : http://www.lejournal-hebdo.com/sommaire/culture/critique-babel-la-preuve-par-quatre.html
 
agerzam said:
Le Maroc de «Babel»

...Le tournage a eu lieu dans le village de Taguenzaït, dans les gorges rocheuses de la vallée du Draâ. Le regard sur cette région et ses habitants se veut fidèle au possible à la réalité. Par petites touches, Inárritu dépeint un Maroc pauvre mais néanmoins hospitalier. Un Maroc où les chikhates squattent la télévision, où les footballeurs habillent les murs d’une modeste demeure et où le kif soulage les peines.
Il présente le Maroc et ses habitants bien plus qu’il ne les décrit, et évoque parallèlement l’emballement de l’ambassade américaine et de la presse qui crient d’emblée au terrorisme suite à cette fameuse balle perdue. La police est aussi violente physiquement que verbalement mais, dans un autre volet de “Babel”, elle est peut-être plus polie mais pas moins odieuse. Au Maroc toujours, les touristes en prennent aussi pour leur grade. Si ceux-ci se déplacent dans un pays étranger, pas question pour autant de se passer de climatisation, de manger trop gras ou de rester dans un village qui semble pour certains relever plus du coupe-gorge que de la charmante carte postale. Courageux visiteurs d’un pays étranger, sécurisés par les vitres d’un car de touristes, oui. Téméraires, non.
Ce souci de réalisme explique sans doute pourquoi le réalisateur a tenu à enrichir le casting d’acteurs non professionnels. Inárritu trouvait que les acteurs marocains professionnels «ne ressemblaient pas aux habitants du désert, parce que leur peau était trop douce, leur look trop travaillé». À grand renfort de haut-parleurs de mosquées, les annonces ont attiré des centaines de candidats au tournage. “La meilleure décision du film” selon Alejandro González Inárritu. L’action a failli se situer en Tunisie, mais Inárritu a finalement opté pour le Maroc où il avait effectué un voyagé à 17 ans, un périple marquant où il s’était déjà juré d’y tourner un film. C’est désormais chose faite.

source : http://www.lejournal-hebdo.com/sommaire/culture/critique-babel-la-preuve-par-quatre.html
;;;;;;;;;
; je viens d'apprendre de la part d'un hypocrite sur 2M qui se dit historien ; que ayt isnasen ( bani isnasen ) sont des arabes venue de yemen ,,,, mais aprés lui un autres historien et etrepologue nous a presenter des cranes decouvert sur place qui datent de plus de dix mille ans ,,, l'emmission se nomme ; abwab almadina ( les portes de ville ))))
------------------------------------- tikrkas ar manaku -----------------------------------
 
Re : les organismes internationaux continuent a appeler les AMAZIGHES des"arabes??

Je crois que l'arabe dialectal est déjà une première étape car il incarne la fusion linguistique marocaine spécifique au Maroc. Cependant, il est vrai qu'il faut détruire les préjugés qui à la Huntington (le gars du livre intitutlé le choc des civilisations) classent les régions allant du Maroc à la Malaisie en monde arabo-musulman.
Pour cela je pense que la musique, les forums et les multiples revendicationss ont un rôle à jouer sur la longue durée.
Pour les historiens de 2M, ils sont capables de dire tout et n'importe quoi (surtout la deuxième hypothèse) devant les caméras.
 
Re : les organismes internationaux continuent a appeler les AMAZIGHES des"arabes??

Je suis ni marocaine, ni arabe, ni tamazight, alors vous allez peut-être penser que je me mèle de ce qui ne me regarde pas. Mais j'aimerais expliquer que je suis allée en vacances au Maroc pour la première fois l'année passée. J'y ai découvert la culture amazigh ainsi que l'accueil chaleureux des gens de la région d'Adagir. Lors de la réservation de ce voyage, j'étais persuadée d'aller dans un pays arabe car effectivement c'est ainsi qu'il est présenté à l'étranger et ce ne sont pas les agences de voyage (pourtant çà devrait être leur boulot) qui disent le contraire. J'ai été attristée de me rendre compte que tout une culture est occultée alors quelle semble être si riche, mais à mon retour j'ai réalisé que la diaspora est nombreuse et se sent vraiment concernée. Bonne chance.
 
Back
Top