amazigh etait differant,menotté par l'interieur
sa douce folie avait pris des tangentes insoupçonnées
rien a faire pour l'en liberer,pour le consoler.
Au debut,il avait crié,hurlé et meme pleuré
puis le silene avait pris toute la place
il avait accepté son sort a contre raison.
Il s'etait bailloné les yeux pour oublier
sa condition inconditionnelle;
sa decision sans choix,sans voix
Dans un monde parallele il s'etait muré.
Un monde a lui ou en tenant la tete baissée
il arrivait à etouffer l'insoutenable.
La douleur de n pas etre aussi libre que souhaité,
l'infame mobilité de l'etre,
L'etroit corridor de la pensée castrée.
Un jour,amazigh avait tenté de s'evader,
Il croyait avoir tout planifié,
chaque minute devait compter dans sa quete de liberté
Mais ses chaines etaient plus solides,
Ses gardiens moins endormis qu'ils le pretendaient
et son courage moins violent que sa rage.
Il ne comptait plus les jours ni meme les mois.
Parfois par la lumiere du contre jour
Il lui arrivait de deviner la lune pleine de rondeur.
maghzen venait periodiquement le voir,
l'interroger,le questionner,occulter son ame,
eprouver les maillons de ses chaines,de son desordre.
amazigh etait prisonnier de sa propre pensée,
condamné sans sursis a tourner en rond dans son esprit.
Juge,geolier et comdamné.
NE SOMMES NOUS PAS TOUS A DES HEURES PLUS OU MOINS DIFFERENTES MENOTTES DE L'INTERIEUR....DANS DES TROUS NOIRS?
POUR LA MAJORITE DE NOUS L'ETAT NE DURE PAS....MAIS POUR D'AUTRES....!!!!!!!!
sa douce folie avait pris des tangentes insoupçonnées
rien a faire pour l'en liberer,pour le consoler.
Au debut,il avait crié,hurlé et meme pleuré
puis le silene avait pris toute la place
il avait accepté son sort a contre raison.
Il s'etait bailloné les yeux pour oublier
sa condition inconditionnelle;
sa decision sans choix,sans voix
Dans un monde parallele il s'etait muré.
Un monde a lui ou en tenant la tete baissée
il arrivait à etouffer l'insoutenable.
La douleur de n pas etre aussi libre que souhaité,
l'infame mobilité de l'etre,
L'etroit corridor de la pensée castrée.
Un jour,amazigh avait tenté de s'evader,
Il croyait avoir tout planifié,
chaque minute devait compter dans sa quete de liberté
Mais ses chaines etaient plus solides,
Ses gardiens moins endormis qu'ils le pretendaient
et son courage moins violent que sa rage.
Il ne comptait plus les jours ni meme les mois.
Parfois par la lumiere du contre jour
Il lui arrivait de deviner la lune pleine de rondeur.
maghzen venait periodiquement le voir,
l'interroger,le questionner,occulter son ame,
eprouver les maillons de ses chaines,de son desordre.
amazigh etait prisonnier de sa propre pensée,
condamné sans sursis a tourner en rond dans son esprit.
Juge,geolier et comdamné.
NE SOMMES NOUS PAS TOUS A DES HEURES PLUS OU MOINS DIFFERENTES MENOTTES DE L'INTERIEUR....DANS DES TROUS NOIRS?
POUR LA MAJORITE DE NOUS L'ETAT NE DURE PAS....MAIS POUR D'AUTRES....!!!!!!!!