Yeccuameksa
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Il est des hommes et des femmes tellement serviles qu’ils sont devenus invertébrés. Certains sont prêts à vendre leurs parents pour avoir la bénédiction et les largesses de la monarchie. D’autres, ont hérité de la servitude et de la servilité. Ils ont baissé l’échine et le pantalon depuis « l’indépendance ». Ils sont experts en la matière et ils le montrent sans scrupule.
Pour s’en rendre compte, il suffit de lire l’«éditorial» ordurier de la patronne d’un canard boiteux, à savoir «le monde amazigh», un journal édité par deux esclaves de la monarchie. La dénommée Amina Ibn Cheikh, indigente sur le plan intellectuel et moral, fille de Feu Lhaj Tagdourt, ex-caïd corrompu de Tafraout sous Mohamed V y’avait signé un «éditorial» qui lui a été dicté sûrement par sa mauvaise conscience et sa volonté de plaire aux ennemis du peuple amazighe.
Dans son «article», la pseudo journaliste dénigre les étudiants du MCA. Lesquels étudiants, rappelle-t-on, subissent ces jours-ci les assauts du pouvoir qui nourrit la pseudo journaliste qui a vendu son âme aux arabes. Elle se place du mauvais côté, celui des agresseurs et des assassins déguisés en moutons. Elle appelle même les étudiants amazighes à faire comme elle et comme ses amis de l’Ircam (lkuri n ighwyal) en baissant leur pantalon au pouvoir. Elle donne même la parole au dénommé Ahmed Asid, un arabiste notoire et philosophe raté. Je reviendrai sur ce sujet dans un autre article.
Tout le monde connaît parfaitement que la dénommée Amina, atteinte de misérabilisme aigu, n’a jamais écrit quoi que se soit. Elle ne sait pas aligner une phrase simple. Ses billets insensés et nauséabonds écrits en arabe littéraire lui sont dictés par ses collaborateurs qui les signent à sa place. Elle pousse même son arrivisme très loi. Suivez moi. Il y a deux ans, cette femme malhonnête intellectuellement, et ignare, avait volé et signé (avec son chéri bien sûr) une enquête faite par deux journalistes de son canard sur le Rif. Ils voulaient gagner le Prix national de la presse (catégorie Reportage) sur le dos de deux journalistes payés 1.500 dirhams. Quelle amazighité !
La femme du paille n’a pas de temps pour écrire puisqu’elle arpente le pays pour lécher les bottes aux représentants du pouvoir (et leurs couilles aussi disent les mauvaises langues) et semer les grains de l’arrivisme et de la mesquinerie dans les cœurs des Imazighens.
A défaut de pouvoir vendre ses parents, déjà vendus, elle a vendu la cause de tout un peuple. Au lieu d’œuvrer pour développer la cause amazighe, elle en profite. Elle l’a prostitue sans scrupule.
Dans ce billet, la pseudo journaliste, très simpliste, schizophrène et animée d’une haine viscérale contre tout ceux qui ne pensent pas comme elle (par ce qu’elle arrive de panser ! ), s’attaque aux étudiants amazighes qui se battent contre le pouvoir assassin et ses suppliants corrompus (Ircam). Elle veut que tout le monde baisse son pantalon comme elle l’avait fait et comme elle le fera pour toujours. Et invite les militants à entrer dans les écuries de la monarchie. Elle dit que tout au Maroc est makhzénien. Figurez-vous. Même son cul n’échappe pas à la règle. Alors les étudiants ?
Elle s’est même érigée en donneuse de leçons de la dernière pluie. Quel courage. Une esclave de Mohamed 6 qui donne des conseils. Elle invite en fait les étudiants à ne pas s’impliquer dans des questions de nature à les détourner de leurs études. Elle dénonce même leur instrumentalisation sans nous dire par qui et pour quelle raison. Amina Ibn Cheilh est née au cœur de la servitude. Elle est servile. Esclave même. Regardez sa gueule si vous ne me croyez pas. Elle est instrumentalisée par l’Ircam, la monarchie et Madame BMCE et par je ne sais pas qui d’autre. La pauvre croit que tout le monde l’est.
Détrompe-toi petit épouvantail, Imazighen, les vrais, sont toujours debout. Ni votre «lkuri n ighwyal», ni ton torchon malsain, ni tous les Mohamed du monde ( en passant par Mohamed 6) n’auront raison d’eux.
Un philosophe avait dit « l’Homme est un animal qui a trahi, l’histoire est sa sanction». Les schizophrènes et les pseudo militants comme toi, finissent dans les poubelles de l’histoire.
Personne ne se souviendra d’eux. Même pas Dieu !
Un dernier mot à tous les Imazighen, boycottez ce torchon qui vous insulte. Et le combat continue.
Par: Yeccu Ameksa
Pour s’en rendre compte, il suffit de lire l’«éditorial» ordurier de la patronne d’un canard boiteux, à savoir «le monde amazigh», un journal édité par deux esclaves de la monarchie. La dénommée Amina Ibn Cheikh, indigente sur le plan intellectuel et moral, fille de Feu Lhaj Tagdourt, ex-caïd corrompu de Tafraout sous Mohamed V y’avait signé un «éditorial» qui lui a été dicté sûrement par sa mauvaise conscience et sa volonté de plaire aux ennemis du peuple amazighe.
Dans son «article», la pseudo journaliste dénigre les étudiants du MCA. Lesquels étudiants, rappelle-t-on, subissent ces jours-ci les assauts du pouvoir qui nourrit la pseudo journaliste qui a vendu son âme aux arabes. Elle se place du mauvais côté, celui des agresseurs et des assassins déguisés en moutons. Elle appelle même les étudiants amazighes à faire comme elle et comme ses amis de l’Ircam (lkuri n ighwyal) en baissant leur pantalon au pouvoir. Elle donne même la parole au dénommé Ahmed Asid, un arabiste notoire et philosophe raté. Je reviendrai sur ce sujet dans un autre article.
Tout le monde connaît parfaitement que la dénommée Amina, atteinte de misérabilisme aigu, n’a jamais écrit quoi que se soit. Elle ne sait pas aligner une phrase simple. Ses billets insensés et nauséabonds écrits en arabe littéraire lui sont dictés par ses collaborateurs qui les signent à sa place. Elle pousse même son arrivisme très loi. Suivez moi. Il y a deux ans, cette femme malhonnête intellectuellement, et ignare, avait volé et signé (avec son chéri bien sûr) une enquête faite par deux journalistes de son canard sur le Rif. Ils voulaient gagner le Prix national de la presse (catégorie Reportage) sur le dos de deux journalistes payés 1.500 dirhams. Quelle amazighité !
La femme du paille n’a pas de temps pour écrire puisqu’elle arpente le pays pour lécher les bottes aux représentants du pouvoir (et leurs couilles aussi disent les mauvaises langues) et semer les grains de l’arrivisme et de la mesquinerie dans les cœurs des Imazighens.
A défaut de pouvoir vendre ses parents, déjà vendus, elle a vendu la cause de tout un peuple. Au lieu d’œuvrer pour développer la cause amazighe, elle en profite. Elle l’a prostitue sans scrupule.
Dans ce billet, la pseudo journaliste, très simpliste, schizophrène et animée d’une haine viscérale contre tout ceux qui ne pensent pas comme elle (par ce qu’elle arrive de panser ! ), s’attaque aux étudiants amazighes qui se battent contre le pouvoir assassin et ses suppliants corrompus (Ircam). Elle veut que tout le monde baisse son pantalon comme elle l’avait fait et comme elle le fera pour toujours. Et invite les militants à entrer dans les écuries de la monarchie. Elle dit que tout au Maroc est makhzénien. Figurez-vous. Même son cul n’échappe pas à la règle. Alors les étudiants ?
Elle s’est même érigée en donneuse de leçons de la dernière pluie. Quel courage. Une esclave de Mohamed 6 qui donne des conseils. Elle invite en fait les étudiants à ne pas s’impliquer dans des questions de nature à les détourner de leurs études. Elle dénonce même leur instrumentalisation sans nous dire par qui et pour quelle raison. Amina Ibn Cheilh est née au cœur de la servitude. Elle est servile. Esclave même. Regardez sa gueule si vous ne me croyez pas. Elle est instrumentalisée par l’Ircam, la monarchie et Madame BMCE et par je ne sais pas qui d’autre. La pauvre croit que tout le monde l’est.
Détrompe-toi petit épouvantail, Imazighen, les vrais, sont toujours debout. Ni votre «lkuri n ighwyal», ni ton torchon malsain, ni tous les Mohamed du monde ( en passant par Mohamed 6) n’auront raison d’eux.
Un philosophe avait dit « l’Homme est un animal qui a trahi, l’histoire est sa sanction». Les schizophrènes et les pseudo militants comme toi, finissent dans les poubelles de l’histoire.
Personne ne se souviendra d’eux. Même pas Dieu !
Un dernier mot à tous les Imazighen, boycottez ce torchon qui vous insulte. Et le combat continue.
Par: Yeccu Ameksa