MA3 présidée par une bèrbère

ikhtfou

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Sur www.leschleuhs.com
MA3 reste une annexe du groupe, ART, avec des films egyptiens et des émissions qui n'ont rien à voir avec notre culture.
Une chaine médiocre, qui fait du remplissage.
Qui la regarde?
 
AZUL

je l ai jamais vu Mais je crois que c est une annexe de chaines de petrodollards


AHHHHHHHHHH c est pour quand une chaine Amazighe !!!!!!? :-(
 
Tout à fait Igider. D'ailleurs, en quoi le fait que la présidente amazighe de cette chaîne concerne les Amazighes? Rien! C'est vrai que c'est une Amazighe, mais elle préside une chaîne baâthiste.

Je vous signale que Jettou est amazighe, M est à moitié amazighe. Mais cela ne les empêche d'être les plus grands défenseurs de l'arabité du Maroc.

Ce n'est pas parce que qqn a une origine amazighe qu'il est forcément conscient de son amazighité.
 
effectivement c'est une tamazighte la femme qui a creer ma3
avant l'ouverture de cette chaine, j'avais entendu que ça serait une chaine pour les imazighen..mais c avec deception que j'ai constater que c'est une chaine "pourrie" avec plus de film en noir et blanc qui datnt de tataouine qu'autre chose...dommage
 
des gens comme elle y en a bcp. tiens, saad dine le âtemani qui préside le PJD, c'est un amazigh d'origine mais un panarabiste convaincu
la liste est longue chers amis
 
Cette chaine n'est pas crée par une amazighe,madame benaddi n'en est que la directrice des programme.Cette chaine appartient aux saoudiens ,au prince al walid precisement et fait parti de groupe art (arab radio television).
elle n'a rien d'amazigh par son contenu et meme rien de marocain ; ses programmes sont nuls (encore plus nuls que ceux de la rtm) et dangereux puisque une discrete mais efficace promotion de wahhabisme y'est continuellement faite.
 
comment cette brave berbere de figuig a eu les largesses du cheïk al walid ? mystèrrrrrrrre cette affaire
 
La femme est d'origine amazigh '(de naissance) ok!(ça s'arrète là!) comme la moitié du Maroc qui s'est fait arabisé par une petite poignée d'arabe, cette chaîne n'est que de la poudre au yeux, comme l'ircam, et l'enseignement de tamazight dans les écoles (sois disant) seulement pour dissimulé une arabisation en forte progression et pour noyer le poisson.
En tant que femme amazight, je ne donnerais aucun prix à mon âme, elle n'est pas à vendre, et encore moins pour cette place de collaboratrice.

Je boycotte cette chaîne, et tte celle du Maroc d'ailleurs.
:-zer :hammer: :evil: :-x

on ne lobotomisera pas mon cerveau avec cette soupe qu'ils doivent servir à longueur de journée à la population marocaine.
 
Chaîne chimerique
Fatim-Zohra Benaddi rêvait grand. à l'origine simple productrice d’émissions télévisées, elle voulait créer sa propre chaîne. Elle développe le concept d’une antenne dédiée aux Marocains résidant à l’étranger, mais elle a besoin de financement et de soutien logistique. Dallah Al Baraka lui promet de mettre à sa disposition un studio, un contenu adapté à sa cible et une contribution de 1 million d’euros. Une fois en France, elle découvre que le studio en question n’existe pas. Elle doit payer de sa poche pour aménager un studio dans les locaux d’ART France, pourtant contrôlés par Dallah Al Baraka. Cela ne lui met pas la puce à l’oreille. Elle fonce tête baissée. Deuxième signal : le groupe retarde le versement de l’argent de plus de six mois. Elle s’accroche davantage à son bébé et ouvre l’antenne. Troisième signal : les produits livrés par ART sont vieux et inadaptés. Elle croit à une mauvaise coordination et multiplie les correspondances avec Saleh Kamel, président du groupe. Ses réponses sont toujours les mêmes : "Je n’étais pas au courant. Je donnerai mes instructions pour que notre engagement soit respecté". Ses répliques donnent l’illusion que c’est l’entourage du patron de groupe qui lui veut du mal. "Je n’ai jamais cru à la mauvaise foi de Saleh Kamel". Quand le groupe lui verse son premier chèque de 100.000 DH, il trouve l’astuce pour les récupérer. Benaddi l’explique : "Le manque de matériel m’obligeait à louer auprès de prestataires de services alors que c’est ART qui devait fournir la logistique. Au lieu de traiter directement avec la société de location, j’étais obligée de passer par ART France qui, elle, me facturait. Après un moment, j'ai découvert que le matériel appartenait au groupe et au lieu d’en disposer comme le stipulait le contrat, il me le louait de manière déguisée". Au lieu de verser de l'argent aux filiales, le groupe les pressure pour assurer son équilibre fragile, quitte à les ruiner dès la naissance. Benaddi ne l’a pas compris à temps. Elle a continué à produire des émissions au Maroc et à ses frais jusqu’à ce que Saleh Kamel décide de couper le signal. Fatim-Zohra croyait à l’erreur jusqu’au 30 novembre 2004. La patronne de MA3 a eu vent de la tenue d’une conférence de presse de Saleh Kamel à Marrakech. Elle se pointe sans invitation et prend la gifle de sa vie : le patron de Dallah Al Baraka venait juste de déclarer que son groupe avait soutenu la chaîne mais que l’incapacité de la directrice à drainer des annonces publicitaires (donc des liquidités) l’avait contraint à arrêter les frais. Depuis ce fameux soir, elle est fixée sur son sort. Et elle n’était pas la seule.
 
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