Echanges artistiques : heureux mariage entre musique amazighe et danse chinoise
La Chine, le Maroc, deux cultures séparées par des montagnes des Océans, et pourtant…
Grâce à notre musicologue et compositeur Belaïd Akkaf, le grand danseur chinois, maître Gang Peng découvre la musique amazighe, il a tout de suite été saisi par un rythme diamétralement opposé à tous ceux qui lui étaient familiers, une évidence qui frappe le dedans du corps, bouleverse les sens, éveille l'instinct.
A l'issue de la première phase de recherche musicale commune entre maître Belaïd Akkaf et maître Gang Peng, ce dernier s'est arrêté sur les instruments principaux de la musique amazighe «Loutar et Ribab» joués par deux musiciens virtuoses Abdallah Annid et Ali Akkaf qui ont accompagné Belaïd Akkaf dans sa musique…
Chaque son qu'ils dégagent fait vibrer le corps autant que l'esprit du danseur chinois.
Les caractéristiques sonores de la musique amazighelui parlent de son énergie et de sa nostalgie de ces peuples qui vivent sur une terre jaune. Elles évoquent aussi ces peuples de l'Atlas et des peuples vivant sur les steppes de la Mongolie, et même jusqu'à la frontière tibétaine.
Si loin, si près et une pièce pour un danseur et trois musiciens autour de la musique amazighe. Le spectacle s'est déroulé ,le samedi 7 février à 20h30 à la cathédrale «Sacré-Cœur» de Casablanca, il a eu un succès fou grâce à la présence d'un public connaisseur, assoiffé à ce genre de spectacle de haut niveau, qui n'a pas arrêté d'applaudir…
C'est dans cette splendide cathédrale atypique et imposante que les deux maîtres Gang Peng et Belaïd Akkaf ont créé des espaces rythmés par des musiques, des silences, des fusions de styles et des dépouillements des formes pour convier à un voyage sensible au cœur des humanités rassemblées ici.
Sans oublier l'aimable collaboration d'une équipe artistique française composée de Rémi Nicolas : metteur en scène et scénographe Stephane Olinjnyk :
vidéaste, Marjolaine Zurfluu : assistante chorégraphe, Anne Peligrry : directrice de production, sans oublié le soutien de la Fondation Roberto Cimetta pour la mobilité des artistes professionnels du spectacle en Méditerranée. La musique amazighe et la danse chinoise vibrent dans le silence de nos êtres, éveillent les traces de nos histoires sur nos corps d'aujourd'hui.
AMAZIGH
Source: le-Matin du Maroc
La Chine, le Maroc, deux cultures séparées par des montagnes des Océans, et pourtant…
Grâce à notre musicologue et compositeur Belaïd Akkaf, le grand danseur chinois, maître Gang Peng découvre la musique amazighe, il a tout de suite été saisi par un rythme diamétralement opposé à tous ceux qui lui étaient familiers, une évidence qui frappe le dedans du corps, bouleverse les sens, éveille l'instinct.
A l'issue de la première phase de recherche musicale commune entre maître Belaïd Akkaf et maître Gang Peng, ce dernier s'est arrêté sur les instruments principaux de la musique amazighe «Loutar et Ribab» joués par deux musiciens virtuoses Abdallah Annid et Ali Akkaf qui ont accompagné Belaïd Akkaf dans sa musique…
Chaque son qu'ils dégagent fait vibrer le corps autant que l'esprit du danseur chinois.
Les caractéristiques sonores de la musique amazighelui parlent de son énergie et de sa nostalgie de ces peuples qui vivent sur une terre jaune. Elles évoquent aussi ces peuples de l'Atlas et des peuples vivant sur les steppes de la Mongolie, et même jusqu'à la frontière tibétaine.
Si loin, si près et une pièce pour un danseur et trois musiciens autour de la musique amazighe. Le spectacle s'est déroulé ,le samedi 7 février à 20h30 à la cathédrale «Sacré-Cœur» de Casablanca, il a eu un succès fou grâce à la présence d'un public connaisseur, assoiffé à ce genre de spectacle de haut niveau, qui n'a pas arrêté d'applaudir…
C'est dans cette splendide cathédrale atypique et imposante que les deux maîtres Gang Peng et Belaïd Akkaf ont créé des espaces rythmés par des musiques, des silences, des fusions de styles et des dépouillements des formes pour convier à un voyage sensible au cœur des humanités rassemblées ici.
Sans oublier l'aimable collaboration d'une équipe artistique française composée de Rémi Nicolas : metteur en scène et scénographe Stephane Olinjnyk :
vidéaste, Marjolaine Zurfluu : assistante chorégraphe, Anne Peligrry : directrice de production, sans oublié le soutien de la Fondation Roberto Cimetta pour la mobilité des artistes professionnels du spectacle en Méditerranée. La musique amazighe et la danse chinoise vibrent dans le silence de nos êtres, éveillent les traces de nos histoires sur nos corps d'aujourd'hui.
AMAZIGH
Source: le-Matin du Maroc