massinissa79 said:
J'invite sur ce post les internautes de souss.com pour se poser cette question qui me laisse perplexe: les andalous sont present en effet a 90% dans le pausage clturel et mediatique marocain et c'est pas normal.
Que ce soit dans le cinema(a part pour le cinema amazigh) ou dans la peinture ou dans les arts la presse la television, la publicité ces gens la sont partout et sont a l'origine de tous l'argent qui tourne dans ces domaine, je vous demande donc de réagir face a ce fleau par au moin votre participation a ce forum.
salut Massinissa
Je crois quand deja traité ce sujet
Car quand on traite L ideologie , les mensonges , les "mecanismes" avec quoi ces " andaloux" ont eu le pouvoir au Maroc juste avant et apres le faux_Indepndance
Donc on a d une maniere indirecte traité ce sujet culturel :
Car qui a le pouvoir Va imposer sa facon de voir la "culture" et va essayer de "nier" l autre vison de la culture et meme l alangue qui porte cette culture en soi
J aime tjs traité chaque sujet mais avec des peruves : des archives , des documents ..ou bien avec des temoignages . ces derniers ( temoingages ) mieux qu ils soient des gens ( Marocains ou etrangers ) qui donnent la preuve ce que les "militants" et Intelctuels" amazighes disent avant
Je vous presente ce temoigange . vous allez lire et comprendre ces gens qui ont pris le " Maroc" avec leurs " protecteurs" francais et comment ces "Andaloux" regardent les autres " marocains" ( Imazighen ou autres : les 3roubias , les Jbalas ...)
regadez nos "compatriotes" "andaloux" : cette Vermine que "Dieu a donné au Maroc
le texte :
18 septembre 1959, à Oujda
« [je suis allé] au bureau du gouverneur. Lui aussi était à Meknès avec le roi, et son katib se montra poli mais peu coopératif. Sa juridiction s'étendait bien jusque chez les Béni Snassen, il en convenait, mais à la vérité, les Béni Snassen ne faisaient absolument pas de musique. En fait, déclara-t-il, ils louent les musiciens aux Béni Uriaghel, lorsqu'ils veulent de la musique. Rien d'autre.
« Et à Figuig? proposai-je.
- Il n'y a pas de musique à Figuig, dit-il calmement. Vous pouvez y aller. Mais vous n'y trouverez aucune musique. Je vous le garantis. »
Je compris qu'il s'arrangerait pour que nous n'en ayons pas. Je commençais à sentir monter la colère et je me dis qu'il était plus prudent de sortir rapidement de son bureau. Je le remerciai et retournai me coucher. Ce katib correspond à un type qui n'est pas rare, celui du jeune Marocain, à moitié instruit, pour qui le progrès matériel a pris une telle valeur de symbol e qu'il serait prêt à sacrifier la religion, la culture, le bonheur et même la vie de ses compatriotes pour en avoir, ne serait-ce qu'une petite part. Peu d'entre eux sont aussi francs dans leur conviction que ce fonctionnaire de Fez qui me déclara :
«Je déteste toutes les musiques populaires, et en particulier celle de chez nous, ici au Maroc. On dirait des bruits de sauvages.
Pourquoi vous aider à exporter ce que nous essayons de détruire? Vous recherchez de la musique tribale. Il n'y a plus de tribus. Nous les avons dissoutes. Alors, ce mot ne veut plus rien dire. Et, de toute façon, il n'y a jamais eu de musique tribale, seulement du bruit. Non, monsieur, je ne suis pas d'accord avec votre projet. »
En réalité, la politique du gouvernement est beaucoup moins extrême que l'opinion de cet homme. La musique n'a pas été trop modifiée : seuls les chants l'ont été, qui sont maintenant gagnés par des sentiments patriotiques. Pratiquement, toutes les grandes fêtes offic ielles sont accompagnées par des groupes de musiciens populaires venus de tout le pays. Le gouvernement leur paie le voyage et les frais de déplacement, et ils jouent pour des auditoires immenses. La conséquence est qu'ils ont un style de plus en plus commercial, et que les formules prolongées disparaissent au profit de versions tronquées, dépourvues de tout sens musical. »
Extrait du carnet de voyages de Paul Bowles : leurs mains sont bleues
P. Bowles est né en 1910 aux USA, il a longtemps voyagé avant de s’installer quasi définitivement à Tanger dès 1948 (il y meurt en 1999). Dans ce roman, il relate ses récits de voyage dont une expérience singulière dans le Rif, où pendant quasi 1 mois (29 aout-22 sept. 1959), il a procédé à des enregistrements de musiques autochtones, avec des instruments traditionnels (notamment le zammar et le ghaïta).
Notons que cette initiative financée par la fondation Rockfe ller et soutenue à l’époque par l’ambassade US à Rabat a connu beaucoup de réticences de l’administration marocaine. Elle a d’ailleurs été rejetée en octobre 1959 par le MAE marocain jugeant le projet « inopportun » !
Ps : ce texte m a couté une Journée pour le troover. Alors Souss.com doit le garder comme Pieces de convictions
D ailleurs j ai perdu un autre temoignage d un Oujdi qui a vecu la periode des années 50 et 60 oú il paralit de Boumedienne et Bouteflika quand ils etaient á Oujda et ses regions ET dans ce temoigange CET OUJDI a parlé de cette vermine "ANdaloux " . il avait dit : ils avaient de peids avec le colonisateur et l autre peids avec les " nationalistes"