que feriez vous si tout le bled des amazighs est infesté par

antiboutagant

New Member
on parle de cultures,de tachelhits,de tamazirtes,mais qui vraiment prend conscience de la pagaille que fous le sanglier dans les terres de nos ancetres,des troupeaux de 15a30 tetes se baladent ds le souss sans que personne ne les touchent car on a biensure peur de boughaba qui a accepter leur presence et qui a mit la vie de 100 de pauvres gens en danger avec cet animal qui ne sert a rien sauf a faire des degats,les gens ne veulent meme plus cultiver leurs terres parce que le boutagant detruit tous ce qui se mange,enfin c a vous de voir?si vous aimez vos ancetres,amiez vos terres ,et si vous aimez vos terres ne les laissez pas au boutagant.)
 
il ya pire que ça , des terres arrachés aux berberes pour rien , par exemple le complexe Immi ouaddar(la plage ) à Agadir realisé par l'IRAC SUD qui a acheté la terre 30 dh le metre ( par force : trit ur trit !) et elle est vendu 1500 dh le metre ! ,
 
je comprends enfin ton pseudo antiboutagant :)

Et bien, moi je n'étais même pas au courant !

Tu as bien fait d'introduire le sujet, il est surtout intéressant du point de vue des rapports à l'autorité?

Qui et où oblige les gens à laisser des alfan (id boutagant) sacager leurs terres ?!
Est-ce pour pouvoir eux-mêmes les chasser ?!

Si tu as plus d'infos, n'hésite pas !!

:-az
 
:-x :-x
exactement ce qui aime ces ancetres il faut qu'il s'attache a sa terre,s'est boutagant la on en veut plus,des batons manupiler par l'etat :-x :-x :-x :-x :-( :-x
 
En effet, l'alfan (le sanglier) est vraiement une calamité surtout dans les vallées de la région montagnarde de Tiznit, mais aussi, je présume dans plusieurs autres régions. Même dans le rif parait-il.
Mais ce que je sais, c'est c'est vers le milieu des années 70 que ces phacochères ont été introduits dans la région. Au début, il se contentaient de vivre dans les forêts, et s'approchaient rarement dans douars. Mais à mesure que le sècheresse sévisse dans ces régions et dans tout le pays, le sanglier qui se dépalce souvent par hordes de plusiuers unités, mais rarement d'une manière individuelle, a commencé s'approcher peu à peu des terres habitées.
Aujoud'hui, dans mon douar natal à Ida Oussemlal, mes parents qui y vivent toujours et presque tous les autres habitants de cette vallée, ont renoncé, il y a déjà plusieurs années, à leur carrés de légumes qu'il cultuivaient pour assurer une partie de leur sibsistance.
Pour garder ces mésirables petits carrés, il fallait livrer une rude batalle au sanglier. Bataille que ces pauvres gens ont fini par perdre. Et pour cause, l'animal déjà connu par sa force et sa robustesse compte un allié de talle: boughaba. Toute atteinte à cet animal est en effet sanctionnée par une lourde amende. Il y a quelques années toute personne coupable d'avoir tué un saglier est sommée de payer une amende de 500 Dh, soit le budget mesuel de plusieurs familles de la région.
Le sanglier indtroduit dans la région est excluivement reservé à la chasse.
 
Il faut garder espoir, au début les Indiens n'avaient pas non plus beaucoup de droits dans leurs réserves....dans leurs réserves, les Amazighes n'ont pasencore tous leurs droits, mais un jour cela viendra sûrement.
 
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