racisme au maroc

antiraciste

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DANS JEUNE AFRIQUE / L'INTELLIGENT

Installé dans le royaume depuis plus de quinze ans, l’auteur témoigne, à sa manière forcément subjective, de l’épaisseur du malentendu entre Marocains de souche et immigrés
d’Afrique noire.

Qird (singe), khanzir (cochon), zeïtoun (olive), choqlata (chocolat), sale nègre... Au Maroc, les termes insultants pour désigner les Subsahariens sont légion (voir encadré). Passe encore qu'un adulte vous gratifie de tels propos, mais lorsque, dans les bras de son père, un bambin vous traite effrontément de k'hal (« Noir »), c'est que, sans doute, il y a un problème. Bien sûr, l'enfant ne comprend pas ce qu'il dit et l'on n'y prêterait guère attention si les manifestations de ce racisme « innocent » étaient moins fréquentes dans le royaume. Que les Marocains soient très nationalistes n'a en soi rien d'anormal ou de choquant, mais quand ce nationalisme frôle le chauvinisme ou la xénophobie, il est temps de tirer la sonnette d'alarme.
Je suis arrivé à Casablanca à la fin des années 1980. La première fois que j'ai pris conscience du racisme, c'était à l'université, quand mon professeur de relations internationales, dans le dessein manifeste de me ridiculiser, prétendit que le voisin méridional du Burundi n'était pas, comme je le prétendais, le Zaïre (aujourd'hui, la RD Congo), mais... le lac Tanganyika ! Prenant à témoin les cinq cents étudiants présents, l'éminent professeur déplora que « même les Africains ne connaissent pas l'Afrique ». Je me posais, moi, une autre question : sur quel continent se trouve donc le Maroc ?

Cette anecdote me fit me souvenir d'une autre. Quelques semaines auparavant, je me trouvais à Rabat avec un groupe d'étudiants noirs africains. Nous étions chaque jour pris à partie par une nuée d'enfants nous demandant : ch'hal fi'ssaa - « quelle heure est-il ? ». Ils riaient à gorge déployée quand nous leur répondions. Parce qu'en regardant notre montre, nous regardions du même coup notre poignet couleur d'ébène... Ces mêmes garnements nous bombardaient de pierres sous le regard amusé des passants. Parfois, des adultes intervenaient pour les réprimander : « h'chouma » - « c'est honteux » [ce que vous faites]. Mais ils n'étaient pas nombreux.

De même, quand, dans un bus, il nous arrivait de céder notre place à une personne âgée, nous nous étions peu à peu rendu compte que notre geste n'était pas interprété comme une marque de respect, mais comme la manifestation d'un complexe d'infériorité ! Pour eux, c'était normal : « C'est ce qui se fait entre un maître et ses esclaves. » D'ailleurs, en descendant du bus, ceux à qui nous venions de rendre service s'empressaient de céder leur siège à d'autres Marocains.

À Rabat, Casa, Fès, Marrakech ou Tanger, les attitudes racistes sont aujourd'hui moins fréquentes, mais elles sont loin d'avoir disparu. Cela va du crachat au coup de bâton lancé à partir d'une voiture en marche, en passant par les onomatopées censées imiter le parler « africain ». Il arrive que des automobilistes fassent mine de foncer sur un malheureux passant à la peau noire en vociférant quelque insulte bien sentie. La nuit, la victime est parfois poursuivie jusque sur le trottoir... Certains Marocains refusent catégoriquement de répondre au salut d'un Noir, de le servir en premier ou de le charger dans leur taxi. C'est bien connu, n'est-ce pas, ils ont tous des maladies ! Un mendiant peut fort bien se croire autorisé à invectiver un Noir qui lui refuse une pièce de monnaie ou ne se montre pas assez généreux : Allah ya'tîk...

Comment expliquer la persistance de ce phénomène ? D'abord, sans doute, par le souvenir d'un passé lointain mais toujours présent dans les esprits : il y a les maîtres et il y a les esclaves. Mais force est de reconnaître que les médias n'ont pas toujours joué un rôle très positif. TVM et 2M International, les deux chaînes de télévision marocaines, ont largement contribué à donner de l'Afrique subsaharienne une image catastrophiste. Il n'y est jamais question que de conflits armés (Éthiopie, Somalie, Liberia...), de famines, d'épidémies et d'endettement « chronique ». Et la presse écrite, notamment le très progouvernemental Matin du Sahara, n'ont jamais été en reste. Il n'est pas interdit d'y voir une sorte de vengeance politique : affaire du Sahara, retrait du Maroc de l'Organisation de l'unité africaine, en 1984... Mais il s'agit d'une vengeance aveugle, dont les peuples sont les uniques victimes. Le Sénégal est le seul pays à bénéficier d'une image plutôt positive : il passe pour « le plus riche » et « le plus civilisé d'Afrique », noire bien sûr. La Guinée, le Gabon, le Cameroun (à cause du football), le Kenya (à cause de l'athlétisme), le Congo-Brazza, la RDC, la Guinée équatoriale et Madagascar (où Mohammed V fut bien accueilli lors de son exil) s'en tirent sans trop de dommages, mais le reste... Le reste, c'est la jungle, ou peut s'en faut.

Lors de notre arrivée au Maroc, nous nous sommes retrouvés totalement livrés à nous-mêmes. Comme dans la jungle, justement. Certains d'entre nous n'avaient même pas accès à la cité universitaire. L'interdiction des antennes paraboliques, auxquelles seule une poignée de privilégiés avait droit, s'ajoutant aux difficultés rencontrées par les Marocains pour se rendre à l'étranger, n'était pas de nature à contribuer à l'ouverture du pays sur le monde. Au début des années 1990, l'interdiction a été levée, mais une taxe d'un montant élevé (5 000 DH, 455 euros) sur l'achat des paraboles a été instaurée. Ce n'est qu'en 1993 que cette taxe a été supprimée. Et que les choses ont commencé à s'améliorer.

Le changement s'est accentué après l'accession au trône de Mohammed VI. Le nouveau roi s'est rendu à plusieurs reprises au sud du Sahara, ainsi que ses Premiers ministres (Abderrahmane Youssoufi et Driss Jettou) et plusieurs membres de son gouvernement. Peu à peu, une certaine prise de conscience des réalités négro-africaines est apparue. Réalités que le « petit peuple » a du mal à accepter, après des décennies de désinformation sur le Bilad Essoud, le pays des Noirs. Les seuls Marocains avec lesquels il est possible de discuter de ces questions sont les techniciens et les ingénieurs qui ont été amenés à travailler au Sud du Sahara ou les commerçants fassis qui ont ouvert des boutiques ou des restaurants à Dakar, Abidjan, Bamako, Conakry ou Libreville. En revanche, la majorité des intellectuels, dont les regards sont obstinément tournés vers le Nord, manifeste une méconnaissance du reste de l'Afrique assez stupéfiante. L'un de mes amis marocains, pourtant d'un très bon niveau intellectuel, m'a un jour demandé si mon pays (le Mali) possède une frontière commune avec le sien !

Les médias atteignent parfois des sommets dans la désinformation. Il y a quelques années, par exemple, Rissâlat al-Oumma, le journal de l'Union constitutionnelle, avait accusé, sans aucune vérification, « des Africains » d'avoir mangé un bébé à Takaddoum, un quartier populaire de la capitale. Très vite, une partie de la presse avait démenti l'information, mais le mal était fait. D'autant que des accusations de cannibalisme, totalement infondées, bien sûr, étaient périodiquement colportées par la rumeur publique. Même Le Journal, qui n'est pas le moins objectif des organes de presse marocains, se laisse parfois aller à véhiculer, peut-être sans mauvaise intention, certains stéréotypes. Un exemple ? Dans un reportage - très incomplet - qu'ils ont récemment consacré aux immigrés clandestins réfugiés dans la forêt de Ben Younech, deux journalistes s'effaraient : « Trois cents mètres plus loin, c'est le choc. Nous sommes en Afrique, dans un vrai village africain. » Comme si le Maroc n'était pas lui-même en Afrique ! Dans le même numéro, l'un des signataires de l'article utilisait, dans une chronique, le terme de jou' à propos de ces mêmes clandestins. De son propre aveu, le mot « signifie, au sens propre, faim », mais aussi, parfois, « avidité, rapacité ou bassesse ». « Mais pas ici, bien sûr », précisait-il. Comment s'étonner d'entendre si fréquemment dans la bouche du Marocain moyen, et même de certains intellectuels, l'expression inda houm ajjou' - « il y a la famine chez eux » ?

Le 15 juin 2003, Aujourd'hui le Maroc donnait la parole a un chercheur estimant que « le Maroc a parfois une approche raciste du problème de l'immigration clandestine ». Ce qui n'empêchait pas le journal de titrer à la une : « Le Maroc débordé par les Subsahariens », et de dénoncer ces clandestins « prêts à tout, y compris à mourir, pour améliorer leurs conditions de vie ».

Côté pouvoirs publics, rien n'a apparemment été fait pour ouvrir le pays aux cultures des peuples d'Afrique noire. Ni en matière d'éducation ni en matière d'intégration. En revanche, sur le plan culturel, des efforts considérables ont été entrepris pour accueillir des étudiants subsahariens. Le problème est que ceux-ci se sentent souvent mal à l'aise dans un système éducatif marqué par un nationalisme frôlant le chauvinisme. Le Maroc est systématiquement présenté, sans preuve, comme le premier en Afrique pour toutes les choses positives. Et le dernier pour toutes les choses négatives. Ce qui contribue à alimenter les préjugés. Je connais des jeunes nés de père « africain » et de mère marocaine, qui, la trentaine venue, se refusent obstinément à se rendre en « Afrique ». Possédant la nationalité de leur père, ils bénéficient pourtant de bourses d'études et de titres de voyage gratuits.

On n'en finirait plus d'illustrer l'ampleur du malentendu. Très mal informé des réalités béninoises, un célèbre intellectuel marocain me confiait récemment, croyant stigmatiser la dictature : « Nous ne sommes pas au Bénin de Mathieu Kérékou ! » Comme si ce pays n'était pas, depuis plus d'une décennie, l'un des plus démocratiques du continent ! Autre exemple, il y a quelques années, à Rabat, devant la cité Souissi I où sont hébergés des étudiants étrangers pendant les vacances d'été. Un motocycliste arrête son véhicule et apostrophe, en arabe, une Cap-Verdienne accompagnée de son ami nigérian : pourquoi fait-elle la qahba (« #### ») avec les Noirs ? Son insistance devenant pénible, plusieurs étudiants ont dû lui faire comprendre que la jeune femme était blanche, sans doute, mais nullement marocaine. Et qu'elle ne parlait pas un mot d'arabe.

La vérité est que de nombreux Marocains nourrissent un complexe de supériorité par rapport aux Noirs « d'Afrique » - et d'Amérique. Et un complexe d'infériorité par rapport aux Occidentaux blancs. La tentative, aujourd'hui abandonnée, du royaume d'adhérer à l'Union européenne s'inscrivait sans doute dans cette logique. Dans ces conditions, on comprend que le récent échec de sa candidature à l'organisation de la Coupe du monde de football 2010 - et la victoire de l'Afrique du Sud - aient été douloureusement ressentis ici. Depuis, comme par manière de vengeance, on voit refleurir certaines expressions très désobligeantes à l'endroit des Noirs africains : moûl'essîda (« sidéen »), par exemple. Beaucoup semblent oublier que les membres africains du comité exécutif de la Fifa ont tous, ou presque, voté pour le Maroc !

À la veille du voyage que Mohammed VI doit faire au sud du Sahara, sans doute est-il temps de rappeler aux autorités, à la société civile et aux médias que le développement du royaume passe par le resserrement de ses liens millénaires avec les peuples d'Afrique noire.
 
waou!

C'est un secret de polichinel

tt le monde sait qu'il y a un fort racisme anti-noir au maroc! mais tt le monde ferme les yeux!
 
Salut,

De toute façon cela a toujours (malheureusement) existé et ce n'est pas non plus propre au Maroc c'est comme partout et dans toute communauté il y a des bons et des mauvais, on refera pas le monde, on peux juste essayer de bousculer les idéo mais bon faut s'accrocher!!!!
Wa salam
Souss a écrit :
waou!

C'est un secret de polichinel

tt le monde sait qu'il y a un fort racisme anti-noir au maroc! mais tt le monde ferme les yeux!
 
Salam aytma isetam,

Il faut s'intérroger sur l'opportunité de cet article?

L'autheur de ces lignes a certainement des comptes à régler avec le Maroc ou qu'il a été recruté pour effectuer ce travail, et il a employé une tactique forte et grave, car il utilise de temps en temps des termes et des expressions en arabe pour donner l'impression qu'il connaît bien le Maroc.

Ce qu'il a écrit sur le comportement des marocains à l'égard des africains de l'afrique subsaharienne est grave et dénué de tout fondement et toute son histoire tourne autour du comprtement de certains badauds ou certains agissements isolés de quelques individus manquant de coscience.

Les leçons qu'il prétend nous donner à propos des relations avec ses compatriotes, on les a apprises il ya 1400 ans grâce à l'islam qui place la foi en Dieu au dessus de toutes autres considérations et qu'il n'ya pas de distinction entre les individus que par le degré de croyance.

Encore faudra-il lui rappeler que le comportement à l'égard des africains est le même par tout y compris entre les subsahariens eux-mêmes.

Actuellement, le seul pays au monde où ces africains peuvent se sentir libre et en sécurité est bien le Maroc, d'ailleurs, la plupart des villes marocains abritent les africains réguliers (étudiants) ou clandestins qui pratiquent la mendicité par tout en toute quiétude et personne ne les dérangent et ce, au moment où on les européens les renvoient chez eux.
 
salam
j'arrive pas à comprendre pourquoi vous essayez de dire n'importe quoi sur notre pouple et notre pays le maroc , il y'a pas de racisme hamdoulillah déjà dans ma famille mon oncle est mariée en france avec une femme noire de tata (c'est mon oncle qui lui a fais ces papies) , en plus je connais des gens à souss qui sont mariées avec des couleurs déférents , je sens que dans ce site vous essayez d'alumer le feu entre les déférents habitants des maroc alors arrêter vous svp et parler d'autre chose , et je crois si mieu si vous occupez d'autre chose ça sera mieu :-x
et pour vous antiraciste je vous dis c'est de la honte ce que tu fais et franchement va......
et pour sous je dis au lieu d'effacer mes forums sur l'irak efface les forums qui touche notre pays ya hasra tu es marocain je crois!!!????
[ Edité par bnadme le 6/7/2004 17:09 ]

[ Edité par bnadme le 6/7/2004 17:11 ]
 
y`a t-il de racisme au maroc?Bien sur,entre gens de tribus differentes,entre arabes et amazighs, entre les gens de regions differentes et evidemment contre les noirs et les juifs [bien marocains ceux la].
ce racisnme prend-il la forme de chasse aux sorcieres digne de Ku klux klan comme pourrait le laisser penser l`article?Je ne le crois pas,en tout cas je n`ai jamais assiste a des scenes comme celles decrites dans l`article, peut-etre que la region de ourzazate d`ou je suis issu fait exception en raison de la presence d`une minorite tres importante ,il n`ya pas un village qui ne compte qcq familles d`origine subsharienne [ je ne dis pas africaine car nous sommes tous des africains], en tout cas ces noirs sont bien marocains eux, leur fidelite a l`egard de la patrie ne fait aucun doute on aimerait en dire autant de certains.
 
Je trouve que la personne qui a écrit cet article a fait dans l'exagération.
Il fait des cas une généralité.
En tout à Agadir il y a pas mal d'étudiants d'origine sub saharienne, et franchement je n'ai jamais vu une différence de traitement.
L'auteur ce cet article est aller jusqu'à parler de la différence de traitement selon le pays d'origine, comme si la nationnalité était marquée sur le front des ces gens.
En plus l'auteur dis avoir vécu au Maroc plus de 10 ans, à mon avis si le rascisme est flagrant comme il l'a décrit, je ne vois pas pourquoi il est resté ????
Il y a trop d'exagération.
 
Je peux me tromper mais cet article (qui n'est pas récent) me semble avoir été écris à l'époque de l'attribution de la coupe du monde ...

He Bnadem ! Calme tes nerfs un peu, arrête de raconter n'importe quoi. (et arrête de vouloir diviser le peuple marocain avec la question irakienne :-D...tout est bon à diviser chez celui-là)
 
salam tout le monde!!
franchement vous aller pas me dire ke vs ne croyez pas au rascisme au maroc?? :-?
ben moi jpense qui en a et partout d'ailleurs déja on voit ske ca donne ds notre oumma!de musulmans!

les schleuhs font pas parti du top!!au maroc!
jsuis trés fiére ds etre une ;-) malheureusement entre ns déja c la pagaille!kon soit amazigh assokille...ya du rascisme!
et entre marocain alors la!! :-x

encore une fois chacun en son ame et conscience c kil é bon de ne pas diviser les gens par les stéréotypes et les apparences car pour ALLAH SOBHANAHO les apparences ne compte pas!!!
:)
Allah y haoune :)
 
oullah ta grave réson ma soeur
nous lé cheulhs!
 
brahimdebouzerz a écrit :
Je trouve que la personne qui a écrit cet article a fait dans l'exagération.
Il fait des cas une généralité.
En tout à Agadir il y a pas mal d'étudiants d'origine sub saharienne, et franchement je n'ai jamais vu une différence de traitement.
L'auteur ce cet article est aller jusqu'à parler de la différence de traitement selon le pays d'origine, comme si la nationnalité était marquée sur le front des ces gens.
En plus l'auteur dis avoir vécu au Maroc plus de 10 ans, à mon avis si le rascisme est flagrant comme il l'a décrit, je ne vois pas pourquoi il est resté ????
Il y a trop d'exagération.
toujours est til ko maroc com ailleur il y a du racisme , moi je sui etudiante et je vi en residence universitaire , je connais bocou de "noir" ki on commencer leur etudes sup o maroc est ki on casi ts ete victime a u moment ou a un autre de racisme , ke se soit a agadir rabat ou ailleurs ! et si malgre ts ca il reste o maroc , c'est parce kil espere obtenir des diplome pour retourner chez eux et y travailler ( jen connais pa mal ki lon fait !!!!
 
L'auteur de cet article est un journaliste qui a vécu au Maroc depuis plus de 15 ans. Il connaît trés bien le Maroc et les marocains.
Il faut reconnaître ce fléau et au lieu de le nier faire quelque chose pour que ça change.
 
Afin qu'il n'y est pas confusion, veux tu changer de pseudo, car le mien est TOUFITRI, et pas mal de mes amis risque de faire confusion.
Merci
 
antiraciste a écrit :
L'auteur de cet article est un journaliste qui a vécu au Maroc depuis plus de 15 ans. Il connaît trés bien le Maroc et les marocains.
Il faut reconnaître ce fléau et au lieu de le nier faire quelque chose pour que ça change.

personne ne nie l`existence de racisme au maroc ,malheureusement c`est une triste realite et ce racisme a souvent lieu entre marocains eux memes.Mais je ne suis pas d`accord avec la presentation exageree qui en est faite dans l`article ,a le lire on pourrait croire qu`il y`a chaque jours des pogroms .
 
azul
le maroc a bien une histoire du racisme ce racisme ne cesse de croitre grace a une idiologie d obscurantisme tout a donner une culture de racisme
que lorsque les gents l exerce ils ne se rendent pas compte que cette act est un vice
la sotution est le retoure aux racine de notre culture
staymate
 
:-x je vais dire Mr le journaliste bazhaaa , si le maroc ne te plaît pas sort et quitte nos téritoire personne à besoin d'un mec comme toi chez nous , et pour te dire c'est pas les journalistes qui manque chez nous on accer alors va faire quelque chose d'autre et c'est toi t'as vecu 15 ans au maroc moi j'ai vecu 24 ans , alors va.... avant que je oublie dis à ceux qui t'on envoyé que il y'a rien a faire personne ne peut détruite notre unio nous sommes tous des marocains je peux dire que tu es du poulisario toi alors retourne de là ou tu viens :-x :-x :-x
antiraciste a écrit :
L'auteur de cet article est un journaliste qui a vécu au Maroc depuis plus de 15 ans. Il connaît trés bien le Maroc et les marocains.
Il faut reconnaître ce fléau et au lieu de le nier faire quelque chose pour que ça change.

[ Edité par bnadme le 9/7/2004 9:26 ]

[ Edité par bnadme le 9/7/2004 9:29 ]
 
bnadme, s'il te plaît réagis sans employer les stéréotypes nationalistes qui ont bourré les crânes marocains.

1/ Le polisario n'a rien à voir dans cette histoire.

2/ Ce n'est pas parce que l'on parle du racisme au Maroc que l'on veut diviser le peuple. Où est le rapport ?!!
 
écoute moi agerzam tu crois ce mec qui essaye de faire ça n'as pas quelque chose dans sa tête , alors .....en plus pourquoi il a pas repondu il été en ligne??? bon en plus regarde il dit qu'ils connait bien les marocains ça veut dire que c'est pas un marocain déjà , en plus il a vecu où au maroc pour généraliser commça??? :-?
agerzam a écrit :

bnadme, s'il te plaît réagis sans employer les stéréotypes nationalistes qui ont bourré les crânes marocains.

1/ Le polisario n'a rien à voir dans cette histoire.

2/ Ce n'est pas parce que l'on parle du racisme au Maroc que l'on veut diviser le peuple. Où est le rapport ?!!

[ Edité par bnadme le 9/7/2004 9:38 ]
 
il a simplement posté un texte qui évoque un problème qui existe réellement au Maroc.
Je ne pense pas qu'il faille y voir quelque chose de louche.
 
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