Publié par Morocco World News - 19 janvier 2024
Environ 200 citoyens marocains touchés par le séisme d'Al Haouz sont descendus dans la rue pour exprimer leur frustration face au retard dans le versement de l'aide financière. L'aide est destinée à aider les personnes concernées à reconstruire ou à réparer leurs propriétés.
Les manifestants ont marché jeudi depuis leurs villages vers le gouvernorat de la province d'Al Haouz pour dialoguer avec les responsables locaux et d'autres autorités. Ils cherchaient des réponses concernant le retard dans la réception de l'aide financière, bien qu'ils aient été préalablement identifiés par les commissions techniques de contrôle chargées du dossier.
Avant la manifestation d'hier, d'autres citoyens frappés par le séisme ont organisé une manifestation dans la ville de Talat N'Yaaqoub sur le même sujet. La ville était extrêmement proche de l'épicentre de la catastrophe.
Cependant, un nombre important de manifestants auraient retiré leur protestation après avoir reçu leurs codes d'aide financière, engageant rapidement les procédures nécessaires à la reconstruction ou à la réparation de leurs propriétés concernées.
Des rapports convergents attribuent le retard dans le versement de l'aide financière à la charge de travail écrasante à laquelle sont confrontées les commissions chargées de traiter les demandes. Ils auraient reçu un grand nombre de demandes émanant de centaines de citoyens de diverses régions, même celles les moins touchées par le séisme.
Le tremblement de terre, survenu le 8 septembre, a provoqué de graves destructions dans diverses régions, notamment Al Haouz, Taroudant, Chichaoua, Marrakech, Ouarzazate, Youssoufia, Tinghir, Azilal et Agadir.
La catastrophe a coûté la vie à près de 3 000 personnes et en a blessé des milliers d’autres. Elle a laissé une série de destructions, affectant particulièrement les petits villages isolés disséminés dans la région montagneuse du Maroc, dans l'Atlas.
De nombreuses populations sinistrées se sont retrouvées sans abri après que le tremblement de terre ait détruit leurs maisons. Les conditions hivernales rigoureuses ont exacerbé leur crise, car nombre d’entre eux vivent actuellement sous des tentes.
Les autorités locales auraient exhorté les citoyens concernés qui répondent aux critères d'éligibilité à faire preuve de patience, leur assurant que toutes les victimes concernées bénéficieront de l'aide financière sans exception. Ils ont souligné les efforts dévoués déployés pour traverser cette phase difficile.
Parallèlement, les manifestants ont souligné le manque de communication concernant le retard dans la distribution de l'aide financière, exhortant les autorités à tenir les citoyens informés de la situation.
Environ 200 citoyens marocains touchés par le séisme d'Al Haouz sont descendus dans la rue pour exprimer leur frustration face au retard dans le versement de l'aide financière. L'aide est destinée à aider les personnes concernées à reconstruire ou à réparer leurs propriétés.
Les manifestants ont marché jeudi depuis leurs villages vers le gouvernorat de la province d'Al Haouz pour dialoguer avec les responsables locaux et d'autres autorités. Ils cherchaient des réponses concernant le retard dans la réception de l'aide financière, bien qu'ils aient été préalablement identifiés par les commissions techniques de contrôle chargées du dossier.
Avant la manifestation d'hier, d'autres citoyens frappés par le séisme ont organisé une manifestation dans la ville de Talat N'Yaaqoub sur le même sujet. La ville était extrêmement proche de l'épicentre de la catastrophe.
Cependant, un nombre important de manifestants auraient retiré leur protestation après avoir reçu leurs codes d'aide financière, engageant rapidement les procédures nécessaires à la reconstruction ou à la réparation de leurs propriétés concernées.
Des rapports convergents attribuent le retard dans le versement de l'aide financière à la charge de travail écrasante à laquelle sont confrontées les commissions chargées de traiter les demandes. Ils auraient reçu un grand nombre de demandes émanant de centaines de citoyens de diverses régions, même celles les moins touchées par le séisme.
Le tremblement de terre, survenu le 8 septembre, a provoqué de graves destructions dans diverses régions, notamment Al Haouz, Taroudant, Chichaoua, Marrakech, Ouarzazate, Youssoufia, Tinghir, Azilal et Agadir.
La catastrophe a coûté la vie à près de 3 000 personnes et en a blessé des milliers d’autres. Elle a laissé une série de destructions, affectant particulièrement les petits villages isolés disséminés dans la région montagneuse du Maroc, dans l'Atlas.
De nombreuses populations sinistrées se sont retrouvées sans abri après que le tremblement de terre ait détruit leurs maisons. Les conditions hivernales rigoureuses ont exacerbé leur crise, car nombre d’entre eux vivent actuellement sous des tentes.
Les autorités locales auraient exhorté les citoyens concernés qui répondent aux critères d'éligibilité à faire preuve de patience, leur assurant que toutes les victimes concernées bénéficieront de l'aide financière sans exception. Ils ont souligné les efforts dévoués déployés pour traverser cette phase difficile.
Parallèlement, les manifestants ont souligné le manque de communication concernant le retard dans la distribution de l'aide financière, exhortant les autorités à tenir les citoyens informés de la situation.