<table border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" width="540"><tbody><tr valign="top"><td class="textejust">Pour célébrer le troisième anniversaire du festival «Signes et Cultures : Timitar», un programme, haut en couleurs, a été annoncé jeudi dernier lors d'une conférence de presse tenue dans la capitale de Souss. D'après les organisateurs, la ville d'Agadir vibrera, du 11 au 16 juillet prochain, aux rythmes de chansons amazighes et de la musique du monde. Organisé sous le Haut patronage de S.M. le Roi Mohammed VI, sous le traditionnel thème «Les artistes amazighs accueillent les musiques du monde», par l'Association Timitar, en partenariat avec la région du Souss-Massa-Draâ et tous les acteurs économiques, administratifs et culturels de la région, la troisième édition «veut, avant tout, traduire la volonté de consolider l'attrait touristique et culturel des provinces du Sud du Royaume, de donner aux actions de développement, qui y sont entreprises, un écho générateur d'intérêt économique pour l'ensemble de la région et de contribuer au rayonnement de la ville d'Agadir», explique Fatim-Zahra Ammor, directrice du festival, pour la deuxième année consécutive. Grâce au professionnalisme de cette dame de talent et à son équipe, le festival va aussi conserver sa ligne directrice, celle du métissage et du mélange des cultures.
Fort de son bilan extrêmement positif, réalisé à l'occasion de l'édition 2005, Timitar 2006, qui se propose comme «Festival amazigh au cœur du monde», cible un public varié, composé de locaux, de nationaux, de RME et de touristes. L'année dernière, le festival a connu l'engouement d'environ 600.000 spectateurs et la participation de 400 artistes qui ont animé 64 concerts. Cette année, Brahim El Mazned, directeur de ce festival depuis sa création, a fait appel à plus de 600 artistes aussi bien Marocains, résidents ou installés ailleurs, que régionaux et internationaux.
Ainsi, le public gadiri et les touristes nationaux et étrangers auront l'occasion de suivre, six jours durant, des spectacles où fusionnent les chants, les musiques et les danses des différentes parties du monde. Chaque soir, le coup d'envoi sera donné par un des meilleurs groupes traditionnels amazighs, comme Aglagal, Ouad Haha, Daqat Saïf, Ahwach Telwet ou encore Ajmak Souss. Aussi, les plus grandes voix seront présentes avec Najat Aatabou, Karima Skalli, Ammouri M'Barek, Oumghil, Chérifa, Rayssa Tihihite, Arsmouk, Archan-Ali Chouhade, Mohamed Maghni et Aïchata.
Le festival sera également marqué par la présence de groupes à la musique métissée comme Binobin, Aflak, Mugar, Fethi Tabet, Monsif, H Kayne, Amira Saqati, Fnaïre et Akli D. Des artistes amazighs de la nouvelle génération musicale seront représentés par Imghranes, Izenzaren Chamkh, Toudart et Iguidar. Les artistes de renommée internationale ne sont pas en reste puisqu'ils figurent en bonne place du programme.
Ainsi, plusieurs chanteurs et groupes musicaux venus d'Afrique, d'Amérique, d'Asie et d'Europe seront chaleureusement accueillis par des groupes de musiciens Amazighs, sur trois grandes scènes aménagées en plein air : la place Al Amal, la scène Bijawane et le théâtre de Verdure, pour animer des soirées de chants et de danses inoubliables durant le temps du déroulement du festival. Il s'agit de Jimmy Cliff (Jamaïque), Malouma (Mauritanie), Oumou Sangare (Mali), Lo'Jo (France), Cheikh Lô (Sénégal), Akli-D (Algérie – France), Sergent Garcia (France), de l'Orchestre national de Barbès (France), Kamkars (Iran), Dobet Gnahoré (Côte d'Ivoire), Desert Rebel (Niger – France), Alan Stivell (France), Toumani Diabaté et Symmetric Orchestra (Mali), Mikea (Madagascar), Rajery (Madagascar), Tinariwen (Mali), Fethi Tabet (France), Rogelio Botanz (Iles Canaries – Espagne), Las Ratas (Iles Canaries – Espagne), 08001 (Espagne), Eliades Ochoa & Grupo Patria (Cuba), Yuri Buenaventura (Colombie), Doudou N'Diaye Rose (Sénégal) et Cheb Mami (Algérie).
La place Al Amal et la scène Bijawane accueilleront chaque soir un Dj et un Vj qui feront découvrir leur travail sur les musiques électroniques et la projection d'images en direct au public du Festival entre les concerts.
La soirée de clôture du festival sera couronnée par un spectacle pyrotechnique réalisé par le groupe français F. Celui-ci conçoit les feux d'artifice comme des spectacles à part entière…Couleur, rythme, intensité dramatique, intensité des figures sont la marque de leurs inventions maîtrisées dans toutes leurs dimensions artistiques et techniques.
En parallèle à la programmation artistique du Festival, des ateliers vont être menés en partenariat avec l'Institut français d'Agadir. Ces ateliers auront pour but de permettre aux jeunes musiciens d'Agadir, de s'initier ou de se perfectionner aux musiques actuelles…
Musiques électroniques, scratch, hip-hop et percussions seront les thèmes développés lors de ses ateliers qui auront lieu au sein de l'Institut français d'Agadir.
Vecteur économique important, ce festival dont le budget s'élève à 10 millions de DH, financé conjointement par le Conseil régional et des sponsors, aura à coup sûr des retombées incommensurables sur Agadir et sa région au niveau de l'activité touristique et culturelle.
Comme lors des deux précédentes éditions, les spectacles seront ouverts gratuitement à tous les publics.
</td> </tr> <tr> <td height="15">
</td> </tr> <!-- Afficher le 2ème Texte de l'article en cours --> <!-- Afficher l'Auteur de l'article en cours --> <tr> <td height="10">
</td> </tr> <tr> <td class="auteur" align="right" valign="top"> Agadir- El Mahjoub Rouane | LE MATIN </td></tr></tbody></table>
Fort de son bilan extrêmement positif, réalisé à l'occasion de l'édition 2005, Timitar 2006, qui se propose comme «Festival amazigh au cœur du monde», cible un public varié, composé de locaux, de nationaux, de RME et de touristes. L'année dernière, le festival a connu l'engouement d'environ 600.000 spectateurs et la participation de 400 artistes qui ont animé 64 concerts. Cette année, Brahim El Mazned, directeur de ce festival depuis sa création, a fait appel à plus de 600 artistes aussi bien Marocains, résidents ou installés ailleurs, que régionaux et internationaux.
Ainsi, le public gadiri et les touristes nationaux et étrangers auront l'occasion de suivre, six jours durant, des spectacles où fusionnent les chants, les musiques et les danses des différentes parties du monde. Chaque soir, le coup d'envoi sera donné par un des meilleurs groupes traditionnels amazighs, comme Aglagal, Ouad Haha, Daqat Saïf, Ahwach Telwet ou encore Ajmak Souss. Aussi, les plus grandes voix seront présentes avec Najat Aatabou, Karima Skalli, Ammouri M'Barek, Oumghil, Chérifa, Rayssa Tihihite, Arsmouk, Archan-Ali Chouhade, Mohamed Maghni et Aïchata.
Le festival sera également marqué par la présence de groupes à la musique métissée comme Binobin, Aflak, Mugar, Fethi Tabet, Monsif, H Kayne, Amira Saqati, Fnaïre et Akli D. Des artistes amazighs de la nouvelle génération musicale seront représentés par Imghranes, Izenzaren Chamkh, Toudart et Iguidar. Les artistes de renommée internationale ne sont pas en reste puisqu'ils figurent en bonne place du programme.
Ainsi, plusieurs chanteurs et groupes musicaux venus d'Afrique, d'Amérique, d'Asie et d'Europe seront chaleureusement accueillis par des groupes de musiciens Amazighs, sur trois grandes scènes aménagées en plein air : la place Al Amal, la scène Bijawane et le théâtre de Verdure, pour animer des soirées de chants et de danses inoubliables durant le temps du déroulement du festival. Il s'agit de Jimmy Cliff (Jamaïque), Malouma (Mauritanie), Oumou Sangare (Mali), Lo'Jo (France), Cheikh Lô (Sénégal), Akli-D (Algérie – France), Sergent Garcia (France), de l'Orchestre national de Barbès (France), Kamkars (Iran), Dobet Gnahoré (Côte d'Ivoire), Desert Rebel (Niger – France), Alan Stivell (France), Toumani Diabaté et Symmetric Orchestra (Mali), Mikea (Madagascar), Rajery (Madagascar), Tinariwen (Mali), Fethi Tabet (France), Rogelio Botanz (Iles Canaries – Espagne), Las Ratas (Iles Canaries – Espagne), 08001 (Espagne), Eliades Ochoa & Grupo Patria (Cuba), Yuri Buenaventura (Colombie), Doudou N'Diaye Rose (Sénégal) et Cheb Mami (Algérie).
La place Al Amal et la scène Bijawane accueilleront chaque soir un Dj et un Vj qui feront découvrir leur travail sur les musiques électroniques et la projection d'images en direct au public du Festival entre les concerts.
La soirée de clôture du festival sera couronnée par un spectacle pyrotechnique réalisé par le groupe français F. Celui-ci conçoit les feux d'artifice comme des spectacles à part entière…Couleur, rythme, intensité dramatique, intensité des figures sont la marque de leurs inventions maîtrisées dans toutes leurs dimensions artistiques et techniques.
En parallèle à la programmation artistique du Festival, des ateliers vont être menés en partenariat avec l'Institut français d'Agadir. Ces ateliers auront pour but de permettre aux jeunes musiciens d'Agadir, de s'initier ou de se perfectionner aux musiques actuelles…
Musiques électroniques, scratch, hip-hop et percussions seront les thèmes développés lors de ses ateliers qui auront lieu au sein de l'Institut français d'Agadir.
Vecteur économique important, ce festival dont le budget s'élève à 10 millions de DH, financé conjointement par le Conseil régional et des sponsors, aura à coup sûr des retombées incommensurables sur Agadir et sa région au niveau de l'activité touristique et culturelle.
Comme lors des deux précédentes éditions, les spectacles seront ouverts gratuitement à tous les publics.
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