amazight-army
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pour poursuivre plus serieusement voila ce que souhaite nos freres islamolatres
En juin 2001, dans le district de Thatta, une jirga a « réglé » un conflit de neuf mois relatif à un meurtre en décidant que la famille des meurtriers devait donner deux fillettes à la famille de la victime : la fille de onze ans d'un des accusés a été mariée au père de la victime, qui était âgé de quarante-six ans, et la fille de six ans de l'autre accusé a dû épouser le frère de la victime, âgé de huit ans. Les deux parties ont accepté cette formule d'« indemnisation », les fillettes n'ont pas été consultées, et aucune action en justice n'a été intentée à propos de ce meurtre. Bien que la presse anglophone ait fait mention de cet « accord », les autorités n'ont pris aucune mesure pour empêcher cette atteinte aux droits humains, ni pour sauver les fillettes ou traduire les responsables présumés en justice.
Dans le cas de femmes présumées avoir « déshonoré » leur famille en ayant un petit ami, en épousant l'homme de leur choix ou en demandant le divorce, des jirga ont décidé que tous les responsables devaient être punis de mort ou sanctionnés d'une autre manière.
En juillet 2000, à Sanghar, une jirga a décidé qu'une jeune femme devait être retenue captive par sa famille et contrainte à divorcer de l'homme qu'elle avait choisi d'épouser contre la volonté de son père. On pense qu'elle a ensuite été mariée contre son gré à quelqu'un choisi par son père.
En juin 2001, dans le district de Thatta, une jirga a « réglé » un conflit de neuf mois relatif à un meurtre en décidant que la famille des meurtriers devait donner deux fillettes à la famille de la victime : la fille de onze ans d'un des accusés a été mariée au père de la victime, qui était âgé de quarante-six ans, et la fille de six ans de l'autre accusé a dû épouser le frère de la victime, âgé de huit ans. Les deux parties ont accepté cette formule d'« indemnisation », les fillettes n'ont pas été consultées, et aucune action en justice n'a été intentée à propos de ce meurtre. Bien que la presse anglophone ait fait mention de cet « accord », les autorités n'ont pris aucune mesure pour empêcher cette atteinte aux droits humains, ni pour sauver les fillettes ou traduire les responsables présumés en justice.
Dans le cas de femmes présumées avoir « déshonoré » leur famille en ayant un petit ami, en épousant l'homme de leur choix ou en demandant le divorce, des jirga ont décidé que tous les responsables devaient être punis de mort ou sanctionnés d'une autre manière.
En juillet 2000, à Sanghar, une jirga a décidé qu'une jeune femme devait être retenue captive par sa famille et contrainte à divorcer de l'homme qu'elle avait choisi d'épouser contre la volonté de son père. On pense qu'elle a ensuite été mariée contre son gré à quelqu'un choisi par son père.