amur n yakuch
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Les amazighophobographies de l'écrivain marocain Fouad Laroui | Kabyle.com
Un tout petit extrait .....
"Dans son article suspect, Fouad Laroui donne l'apparence, dans un premier moment, de rapporter le plus sympathiquement possible les inquiétudes d'un certain Hassan, résident à Amsterdam et originaire d'Al Hoceima qui se lamente de ne pas pouvoir voyager en vacances pour visiter les autres villes du Maroc, cette première partie de son récit reflète une nette neutralité de la part de l'auteur. Mais à partir de la deuxième partie, marquée dans le texte par " tout cela à l'air inoffensif mais pas du tout ", le ton va changer complètement quand l'écrivain évoque , selon ses expressions , "la mésaventure arrivée récemment à mon ami le professeur K , doyen dans une grande université marocaine". La dite mésaventure se résume dans une situation de communication relevée de la vie quotidienne à Amsterdam, où un amazigh rifain "chauffeur de taxi" a refusé catégoriquement de parler en arabe avec le prof K marocain arabophone.
Cette situation a fait notre romancier francophone manifestement hors de lui, réaction subite, il se lamente pathologiquement au fait, d'après ses propos, qu'un amazigh refuse, avec franchise et audace, de répondre en arabe au marocain arabophone, ce dernier choqué demanda au chauffeur:"Mais vous êtes marocain ,non? "Non, répondit le taxi driver, je suis rifain"(répliques extraites de l'article). Ainsi, la troisième partie de ce faux fait divers constitue le moment le plus fort. "
Les amazighophobographies de l'écrivain marocain Fouad Laroui | Kabyle.com
Un tout petit extrait .....
"Dans son article suspect, Fouad Laroui donne l'apparence, dans un premier moment, de rapporter le plus sympathiquement possible les inquiétudes d'un certain Hassan, résident à Amsterdam et originaire d'Al Hoceima qui se lamente de ne pas pouvoir voyager en vacances pour visiter les autres villes du Maroc, cette première partie de son récit reflète une nette neutralité de la part de l'auteur. Mais à partir de la deuxième partie, marquée dans le texte par " tout cela à l'air inoffensif mais pas du tout ", le ton va changer complètement quand l'écrivain évoque , selon ses expressions , "la mésaventure arrivée récemment à mon ami le professeur K , doyen dans une grande université marocaine". La dite mésaventure se résume dans une situation de communication relevée de la vie quotidienne à Amsterdam, où un amazigh rifain "chauffeur de taxi" a refusé catégoriquement de parler en arabe avec le prof K marocain arabophone.
Cette situation a fait notre romancier francophone manifestement hors de lui, réaction subite, il se lamente pathologiquement au fait, d'après ses propos, qu'un amazigh refuse, avec franchise et audace, de répondre en arabe au marocain arabophone, ce dernier choqué demanda au chauffeur:"Mais vous êtes marocain ,non? "Non, répondit le taxi driver, je suis rifain"(répliques extraites de l'article). Ainsi, la troisième partie de ce faux fait divers constitue le moment le plus fort. "