mon sang coule a travers le temps
les signes de ma faiblesses se dilatent
l'ecorce de mes songes brulent telle des pages
le liquide limpide à l'inverse de l'ecarlate
mon insouscience se paye le luxe de devenir homme
car mon etat d'ame se blotti dans point central d'une flamme
ma vision es etriqué par la puanteur de ces poetes disparues
que leurs textes soit torche cul,il n'y en aura point dix par rues
qu'il nous pondent des tomes de cette gerbe qui germe et deviens fruit
fruit amer d'une vie qui sent la pisse et le dégueulie
je lie je me rend compte que la foi passe a la trappe
certaines nagent en crabe,certains rament et certains se rattrapent
quelques uns frappent fort et se prennent des volées de bois vert au corps
le vercors c'est loin et le bord de seine puent la mort
souss, terre de mes ancetres et de mon passé
certains y rèvent de laicité mon arriere train peut etre explicite et envers ces gens
je ne suis ni mechant, ni turbulent et je ne tirerai point sur l'ambulance
lance ces mots en puissance,meme si ce texte ne vaut pas 50 cents d'euro
les heureux seront les derniers heros car en decembre le mercure passe sous zero
qu'agerzam mange ses pattes et que folley vole si il le peut
moi pendant ce temps je smoke un tchok de beu et peut importe si il pleut
je contemple le ciel et les oiseaux me narguent
je leur fait signe du majeur
et comme chez hitchkok ils debarquent
moi je me fou de ces poetes fumeur de pipes et inconscient
qui racontent leur vies aux fille
et blasphement tout le temps
rappe ce textes sur bonne instru et excel si ta le flow
avec ces termes je clos l'affaire,un quinté flush montecristo
mes cartes sur la table tu perd ta montre et tes cristaux
COME ON