Avec l'emigration (en dehors ou à l'interieur de maroc) et l'urbanisation le patrimoine amazigh qu'il soit architucturale,vestimentaire ou autre et tres vite tombé en desuetude;arrivé en ville le jeune ou la jeune amazighe se debarrasent vite ce qui peut denoter son amazighité:il faut rentrer dans le moule et se faire accepter.Ainsi le processus de "haramatisation" rejette le tatouage encore pratiqué par nos meres au rang d'abomination diabolique,les bijoux amazighs sont gentillement rangés au fond de coffre au profit de pacotille "made in taiwan",à ce qu'il parait ça fait plus moderne (rangés et non jetés ,ce qui prouve bien que la conscience amazighe n'est que refoulé et non definitivement vaincue).
On quitte la maison traditionnelleamazighe au profit de constructions en beton sans aucune esthetique et qui se revele etre de veritables fours en eté (on en fait meme construire dans son village).
Mais l'amazighité est tenace et refait toujours surface aidés par certains jeunes emigrés conscients de la valeur de leur patrimoine ou par des europeens,on voit alors la vielle maison amazighe en argile que les classes moyennes quitttaient dans la medina pour les nouveaux quartiers en betons devenir le must de la branchitude:ce qui ne valait rien il 'ya cinq ans à marrakech, a esssaouirra ou à ourzazate (la nouvelle mode c'est de s'acheter sa kasba dans le draa ou dans le dades) se negocie aujourd'hui en millions de dirhams, il a suffit pour cela que des europeens s'interressent à ces vieilles demeures et l'effet d'imitation a fait le reste,aujourd'hui tout bon bourgeois doit avoir sa maison en argile,il n'ya plus de place dns la medina alors on en construit dans les quartiers chic de la peripherie:ce qui etait desuet et ringard et disons le faisait " paysan chleuh" est devenu branché et moderne.Le meme phenomene se produit pour les bijoux , le tatouage ou le henné ( madonna a fait beaucoup pour ça)ou en core pour les sacs de nos vieux grands- peres ( aqrab) ( aujourd'hui une jeune fille dans "la tendance" doit en avoir un).
Alors jeunes amazighs quel regard porter vous sur votre patrimoine?
Quel importance a t-il pour vous?
etes -vous prets a revenir et a revaloriser ce patrimoine ou le processus de Nikisation aggravé a deja fait son boulot?
On quitte la maison traditionnelleamazighe au profit de constructions en beton sans aucune esthetique et qui se revele etre de veritables fours en eté (on en fait meme construire dans son village).
Mais l'amazighité est tenace et refait toujours surface aidés par certains jeunes emigrés conscients de la valeur de leur patrimoine ou par des europeens,on voit alors la vielle maison amazighe en argile que les classes moyennes quitttaient dans la medina pour les nouveaux quartiers en betons devenir le must de la branchitude:ce qui ne valait rien il 'ya cinq ans à marrakech, a esssaouirra ou à ourzazate (la nouvelle mode c'est de s'acheter sa kasba dans le draa ou dans le dades) se negocie aujourd'hui en millions de dirhams, il a suffit pour cela que des europeens s'interressent à ces vieilles demeures et l'effet d'imitation a fait le reste,aujourd'hui tout bon bourgeois doit avoir sa maison en argile,il n'ya plus de place dns la medina alors on en construit dans les quartiers chic de la peripherie:ce qui etait desuet et ringard et disons le faisait " paysan chleuh" est devenu branché et moderne.Le meme phenomene se produit pour les bijoux , le tatouage ou le henné ( madonna a fait beaucoup pour ça)ou en core pour les sacs de nos vieux grands- peres ( aqrab) ( aujourd'hui une jeune fille dans "la tendance" doit en avoir un).
Alors jeunes amazighs quel regard porter vous sur votre patrimoine?
Quel importance a t-il pour vous?
etes -vous prets a revenir et a revaloriser ce patrimoine ou le processus de Nikisation aggravé a deja fait son boulot?