ART et PEINTURE

issiwane

New Member
Je me suis permis de déplacer le contenu du lien, sur place de façon que nous puissions tous suivre à même le site l’évolution du sujet « Art et peinture » et notamment le commenter.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:eek:ffice:eek:ffice" /><o:p></o:p>
Toutes mes excuses pour ce méli-mélo, maintenant les choses me semblent, plus correcte.<o:p></o:p>
Merci.<o:p></o:p>
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Issiwane.
 
Re bienvenue, Issiwane! merci pour les peintures sublimes que tu présentes sur le forum de arrif.com et la discussion sur les rapports amazighité/art.
Merci de nous faire profiter de ces débats intéressants.

Pour le transfert d'images dans le forum de souss.com j'utilise personnellement " imageshack", très facile d'emploi. Voici le lien:

http://imageshack.us/

Après avoir réduit la taille de la résolution de ton image tu l'inregistres dans un fichier; tu vas dans imageshack et tu utilises " parcourir"; quand tu as trouvé ton fichier image tu le choisis et tu le télécharge " upload".

Esuite tu auras plusieurs choix d'envois pour la poster à un forum; celui qui marche à tous les coups est " hotlinks for forums ( 1 )"

et ça donne le résultat suivant:





Au plaisir de te lire et admirer tes réalisations!
 
Merci cher Aksel pour l'info je vais aussi tester tes indications. Les choses seraient si simple s'il y avait un module de transfère d'image, bref.
<O:p</O:pPar contre je vois que tes talents d'aquarelliste s'affinent de jour en jour. Je ne m’empêche jamais d’aller scruter ton blog.
<O:p</O:pA+
<O:p</O:pIss.<O:p</O:p
 
Voila, ma principale préoccupation est de joindre à nos efforts militants pour la réappropriation du passé de notre identité, un autre effort qui est celui de la réactualisation et la continuité des créations.
Pour rompre absolument avec cette coupure anachronique.
Ce sont deux actions parallèles qui doivent simultanément être mené de front.
Pour l’instant je soufre énormément de l’incompréhension de mon acte, tant il apparaît transplanter comme un nouveaux greffon sur un arbre séculaire. Mais même les plantes les plus centenaires projettent toujours de nouveaux bourgeons.

Qu’au sein de notre mouvance amazigh, les voix se hissent pour scander et rappeler aux mémoires l’obligation de la reconnaissance de notre fidèle attachement à nos origines et histoire, est un acte militant incontournable autant qu’indispensable.
Ce pendant nous n’allons pas attendre que nos revendications soient reconnues et entérinés pour recommencer à être et reproduire notre actuel et le futur.
Instantanément que s’élèvent les clameurs des ardents défenseurs de notre patrimoine ancestral, d’autres fécondes devraient se verser dans la refonte assidue du présent des arts de notre culture.
Et pas qu’au niveaux du chant ou celui de pure absolue littérature.
Tous les pans où se manifeste la créativité humaine par l’empreinte de sa technicité et civilisation, doivent décider cette résurgence et regain de vivacité pour témoigner leurs véritables existences.
Le militantisme n’a pas à se restreindre et se confiner au seul champ des pures intellectuelles, ou que ceux-ci omettent de faire place médiatique aux autres acteurs du savoir faire, accaparant tous l’espace au point qu’une large tranche de notre société, encore intimidé par les outils de la communication, éprouvent la répulsion de ne point se sentir représenté.

Ce-ci dit les autres devraient aussi commencer à se manifester et c’est dans cette optique que je tente depuis un moment de donner une forme d’exemple.
Mes embûches si je dois les appeler ainsi, résident en ce paradoxe d’une clientèle en devenir car n’ayant pas tout à fait recouvert sa totale pleine dimension, et mon refus catégorique de frétiller avec les anciennes générations aisés des arabisants et des mitigés.
Là aussi je le fais pour deux raisons : la première est d’éviter d’être déconnecter et détourner de mes propres sujets de recherches et d’études, si jamais je me laissais suborner par l’appât des gains faciles.
La seconde qui est en relation avec cette première, c’est qu’en collaborant avec se genre de commanditaires, ils ne tarderaient jamais à chercher à orienter mes optiques vers la confirmation de leurs choix corrompu. Ce à quoi je ne veux participer à aucun moment, d’un point de vue d’authenticité et de probité déontologique vis-à-vis de mon art.
L’objet de ses révélations n’est pas la confidence, mais de montrer à quel point le prix du choix de l’honnêteté est cher, complexe et ardu.
Si au moins au retour il y avais la reconnaissance escompté au près ne serait ce que de son propre publique néophyte.
Car j’ai souvent le sentiment d’être ce funambule lâché dans le vide avec seule support son mince file conducteur de suite d’idées créatrice.
Je n’ai pas le droit de vous occulté cette lutte quotidienne, qui est à entreprendre, afin que d’autres en d’autres domaines puisent le courage d’oser en entamer de pareilles et même aller encore et encore plus avant et en parler.
Pour ne citer qu’eux, j’évoquerais quelques autres domaines d’activité artistique et artisanaux qui méritent d’être revu tel : la mode vestimentaire, notre costume traditionnel et les couturier amazigh, les façonneurs des chaussures traditionnelles, les tisserands, la tapisserie et tant d’autres où l’engouement de la manifestations du renouveaux se doit de renaître.
J’ai un modeste blog à votre disposition, allez y jeter un œil et laissez y vos impressions et commentaires, ou transmettez les moi ici, sur notre site.
N’oubliez jamais que c’est pour vous que j’œuvre et que vos idées m’importent et m’apporterons beaucoup.


Issiwane.
 
Survole de l’histoire de la peinture.


L’humain à de tout temps apprécié le beau et l’art, au travers de son observation de la nature et ce qu’il y remarquait de magnifique.
La beauté à ceci de magnétique : qu’elle apporte une grande sérénité à celui qui s’en approche et prestige incontestable a celui qui en possède.
C’est en faisant ses interrogations que les premiers hommes doués de sensibilité innée commencèrent à tenter d’apprivoiser l’art prêtant des interprétations idylliques à la transcriptions rupestre des événement les plus marquant de leurs vie naturelles, soit pour en garder la mémoire ou célébrer la représentation des esprits protecteurs de cette nature énigmatique et encore in appréhendé dans son ensemble.
Cet état d’esprit continuera d’accompagner l’homme jusqu’à des dates très proche de nous même. Se développant en sculptures, icônes, et finalement peintures dédier en un premier lieux uniquement aux divinités.
A commencer par les représentations rupestre des grottes de la préhistoire, les sculptures des totems chez les animistes, ceux des temples nord africain, mésopotamiens, égyptiens, hindouistes, grec, et celtique, en mosaïque parant mur et sol des temples et lieux publique gréco- romain et punique, en suite en icônes dans les premières église, puis oeuvres de grands maîtres tout au long du moyen age.
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Ce n’est qu’à partir de la renaissance, encouragé par les riches princes et bourgeoisie commerçante que cet art jusque là sacré va de plus en plus se démocratiser et retrouver le chemin des salons des notables.
Sortie du giron de l’église l’art retrouve de nouveaux débouchés et une nouvelle fonction.
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Sa désacralisation lui permet de retrouver sa liberté et marquer ainsi un tournant de son histoire.
Pour la première fois l’art picturale manifeste sa maturité en accédant au statue de sphère de la pensé esthétique se détachant définitivement de la représentativité mystique, qui fut par le passé son unique commanditaire.
Les peintres s’étant d’avantage approché des savants et hommes de lettres, dans les réunions bourgeoises et cercles de rencontres, que des moines et de la papauté par le passé, se mirent à développer leurs art et à le pensé au delà de la maîtrise simplement technique de la transcription du perçu de la nature en deux dimensions (longueur et largeur) sur fond terre ocre brûlé sombre coutumier à la peinture poste renaissance.
Pour découvrir en cette première démarche les clés mathématique de la géométrie des perspectives et introduire la troisième dimension de profondeur à leur toiles.

Style médiéval :
styledepeinturemoyenage0ke.jpg





Style Renaissance :

peinturesylerenaissance4qi.jpg






Issiwane.




à suivre...
 
La charnière entre art antique et art moderne





Margaritas ante porcos, écrivait dans son introduction de l’histoire de l’art moderne d’Elie FAURE, en 1920 :
La révolution française est la dernière étape du mouvement qu’inaugura la Renaissance.
Elle est marqué par la Réforme de la métaphysique sociale et de moralité, mais destinée sans doute, dans les profondeurs des instincts, à définir l’individu.
C’est l’acte violent qui renverse la dernière résistance opposée par la monarchie à l’enquête ébauchée cinq siècle avant par les maçons des communes françaises, et définitivement ouverte par les artistes italiens.
Les corporations étant brisées, (il faut entendre là par corporations les agencements des monopoles par les privilèges accordé par les rois à la noblesse) le droit d’association frappé, l’égalité théoriquement conquise des droit civile est de l’impôt, l’analyse sociale s’effectue.
L’analyse philosophique de Kant apportant une conclusion rigoureuse à l’effort de Descartes, de Spinoza, de Bayle, de Montesquieu, de Leibniz, des sensualistes anglais, de Voltaire, de Diderot, de Rousseau, comme à la tragédie psychologique vécue par Montaigne, par Cervantès, par Shakespeare, par Pascal, l’avait rendue nécessaire. L’analyse scientifique la suivra fatalement, puisqu’il n’est plus aucun obstacle politique entre l’intelligence et l’expérience où l’homme.
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Ainsi voit on dans cette reconnaissance, le rôle initiateur de la libération de la pensée médiévale par les maîtres d’art de la renaissance. Chez qui la peinture ayant dépassé le stade de la transcription, vers celui de l’interprétation, ou l’art du beau transcende déjà la simple contemplation de la beauté naturelle ou les idées mystique qu’on pouvait s’en faire par les acquis mythologique, vers la clarté des sens et la réhabilitation des recherches pragmatiques de l’œuvre humaine au travers de la progression de sa pensée critique.
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De tout temps, les peintres n’adhéraient pas tous au même moment aux mêmes étapes et pendant que les plus féru s’évertuent hors des chemins battus explorant les nouvelles frontières de l’esthétique d’autres en conservateurs restaient fermement attachés aux enseignements des écoles les plus traditionnelles. Ce pourquoi on observe une survivance et accompagnement simultané de plusieurs styles.
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Pour le bonheur des artistes talentueux de l’époque l’Europe d’alors fourmillait de places rivales encourageant chacune à sa manière, pour briller d’avantage, les esprits innovateurs à donner libre cours à leur génie createurs.
De Florence des Medici et de Da Vinci, à la Flandre de Rubens, la Hollande de Rembrandt passant par l’Espagne d’El Greco et Vélasquez. La peinture réaliste, (tendance à représenter la nature telle qu’elle est, sans chercher à l’idéaliser) va connaître une brillante envolé qui va l’emmené tour a tour au cours du XVIII siècle à être confronté au courant, Néo-classique et rococo, qui conduit une fausse noblesse à produire un art très politisé, où fatigué par les guerres elle tente de masquer son désarroi par un étalage de richesse.
Et à partir de la fin de ce même XVIII siècle, en une France de Poussin, de George de La Tour à Boucher et Fragonard, le courant Romantique, qui fait prévaloir comme principe esthétique et littéraire le sentiment sur la raison et l’imaginaire sur l’analyse et la critique.

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P.S. Je m’excuse de devoir passer à la hâte sur plusieurs événement, le but étant au cours de cet intervention le survol d’étapes plus au moins longue, riche en avènement et de devoir par souci de concision, se restreindre à une simple énumération de leurs chronologique.



issiwane.




à suivre...
 
L’art pictural au XIX siècle
(Première moitié)


<?XML:NAMESPACE PREFIX = O /><O:p< O:p< p>Les débuts du XIX siècle furent dominés par la continuité de l’opposition des débats entre les mouvements, romantique et rococo baroque ou néoclassique, représenté par Ingres pour le dernier et Delacroix s’imposant au premier.



<O:p< O:p< p O:p<O:p<>Le formidable essor de la photographie bénéficiant également d’une immense popularité dû à la rapidité de son exécution et son faible coût par rapport à la peinture, démocratise le portrait et empiète irrémédiablement sur cette clientèle qui préfigurait le support matériel par excellence de la peinture en générale et qu’il rafle au peintre au passage.
En s’améliorant il s’est affirmé en art photographique, qui a fini par bouleverser tout le domaine des arts visuels.
Au même titre que le dessin, la gravure ou même la peinture, l’image photographique a accédé aux cimaises des salons et galeries.

1erphotographie9lo.jpg



<O:p< face="Times New Roman" O:pLa Table service de Nicéphore Niepce en 1828, illustre l’une des premières photographies réalisées par Niepce, à la suite de plusieurs recherches sur la sensibilité de certaines matières à la lumière. Elle nécessita plus de huit heures d’exposition.






<O:p< O:p< p>La peinture avait encore pour elle la richesse de la matière et l’éclat des couleurs.
Et pour défendre son statut de support pictural incontesté, âme de l’art et de l’esthétique, de nombreux peintre entamèrent leur quête de l’exotisme dans les expéditions de plus en plus lointaine à la recherche des couleurs et de la lumière vers cet orient romanesque

<O:p< O:p< p></O:p<>
<O:p< O:p< p></O:p<>
<O:p< O:p< p>Eugène Delacroix qui ne tardera pas à les rejoindre, accompagnera en 1832 le comte de Mornay dans sa mission diplomatique auprès du sultan Abd er-Rahman.
Ce séjour au Maroc sera pour lui une véritable révélation de l’intensité de la luminosité et son incidence sur la palette chromatique.

tanger4cv.jpg




On le retrouvera lors de sa première station à Tanger, encore animé par l’esprit critique occidentale. Quand il rencontre les autochtones qu’il va dépeindre dans ce tableau qu’il nomma « Convulsions Tangéroises ».
En y manifestant sons ébahissement lorsqu’il restitue en véritable chroniqueur, la scène de ce défilé redondant du représentant chérifien du makhzen, qui s’articule avec son cortège dans les ruelles de la ville jonchés de foule, devancé par un groupe d’(ïssawi) se contorsionnant en transe dans tout les sens, pour hypnotiser les foules sous les cris d’(Allah Haï, Allah Haï…).
Et de comprendre en bloc et pour la première fois les artifices du maintient d’un système qu’il est venue étudier
Ce tableau, montre combien au delà de la valeur artistique des recherches, l’artiste révèle l’utile de son témoignage par le constat des meurs de cette époque.
Et signe de cet oeuvre son entré de plein pied au mouvement orientaliste.



<O:p< O:p< p O:p<O:p<>De même que l’artiste nous ne pouvons que nous arrêter devant cette aquarelle, que Delacroix a peint en 1832 de cette jeune juive Tangéroise accoutrer en amazigh

costume7zy.jpg





<O:p< O:p< p>On le reverra plus loin, beaucoup plus condescendant d’avoir retrouver ses marques bourgeoises, privilégier des relations diplomatiques officielles entre son roi Louis-Philippe et le sultan Abd er-Rahman, dont il fait un portrait imposant en 1845


abderrahman1ot.jpg



Quoi qu’Eugène, ne fut pas la seule figure de proue de la peinture de cette première mortier du dix-neuvième siècle, je me suis plus concentré sur la partie de son séjour au Maroc, pour l’intérêt historique qu’elle revêt pour nous.
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Le siècle se poursuivra riche en rebondissements artistiques que nous découvrons.
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Issiwane.
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A suivre…
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Merci pour cette rétrospective sur la peinture européenne
Un peu d'art dans un monde de brutes ;) !

plus sérieusement , y a t'il eu des réflexions qui ont été menées ou des études faites sur l'évolution de l'art amazigh et plus particulièrement sur la peinture amazighe - d'ailleurs peut on parler d' un art" amazigh" ou est il plus juste de parler d'art d'inspiration amazighe?

Petite question à Agerzam , n'était il pas question à un moment donné d'enrichir le site d' un espace de présentation pour les artistes amazighs- une sorte de galerie virtuelle permettant de découvrir ces derniers?
 
Le plaisir est aussi pour moi, M (me, elle) Tazerzte.
Pour ce qui est de l’histoire de l’art amazigh, l’objet de ce sujet est justement d’y venir, alors un peu de patience.
Par contre pour ce qui est de l’espace de présentation des artistes amazighs ou leurs œuvres, depuis le relookage du site, j’observe que la galerie reste inactivée !
Et me demande quelle en est la raison ?
 
L’art pictural au XIX siècle
(Deuxième moitié)





Les peintres qui ont succédé au romantisme au cours de la seconde moitié du dix-neuvième, quoi qu’incompris et méprisés au début de leur action, vont faire preuve d’une éblouissante prouesse digne de la découverte scientifique, qui va révolutionner définitivement les arcanes de l’académisme classique de la peinture et l’univers picturale en générale. Contribuant par là à aider chimistes et physiciens à orienter l’angle de leur recherches au sujet de la réfraction du spectre chromatique et découvrir les application qui on découlerons.



Je m’excuse au près de vous ici de devoir emprunté ce passage assez pénible à embrasser dans son étendu, cependant indispensable à la compréhension du sujet.


Continuant sur la lancée des orientalistes partis à la découverte de la lumière éclatante du midi, nos jeunes artistes s’attardèrent sur les modifications de lumière, d’ombres et des contrastes coïncidents des couleurs.
Et s’attellent pour la première fois de l’histoire de l’art à repousser les limites de la perception de l’oeil, en notant que les tonalités de sujets diversement colorés sont perçus ensemble différemment de s’ils n’étaient regardé séparément. Chacun d’eux apparaît alors non de la couleur qui lui est propre, c’est-à-dire tel qu’il paraîtrait s’il était observé tout seul, mais d’une teinte résultant de sa couleur et de celles des complémentaires des couleurs des sujets avoisinants.
En plus, si les couleurs des objets ne sont pas de la même valeur (chaude ou froide), le ton de la plus claire faibli et celui de la plus foncée augmente. De sorte qu’en définitif, elles paraissent, par leurs rapprochement, différentes de ce qu’elles sont en réalité.

En conséquence chaque objet comporte une multitude de partis colorés qui échappent à cause de leurs faibles intensités à l’œil inexpert, qui fatigue à démêler des modifications dont la cause lui est inconnue.
Entre ombre propre, ombre portée, couleurs propres, contraste mixte, lumière et lumière rebondissant le jeux à ordonner est bien complexe.

On marque un arrêt sur le contraste mixte, pour comprendre à quel point le regard en arrive à voir inexactement les couleurs du modèle. Puisque l’œil, après avoir regardé, durant un moment, une couleur, acquière une tendance à voir sa complémentaire, et que cette tendance dure un temps, il s’ensuit que non seulement les yeux influencés, ne voient plus exactement la couleur qu’ils regardent longtemps, mais encore celle qui peut les frapper ensuite tant que durera l’influence.
Donc, ils verront non la couleur qui les frappe en second lieu, mais la résultante de cette couleur et de la complémentaire de celle qui a été vue en premier lieu.
En outre, le défaut de netteté de la vision qui en résulte dans la plupart des cas, fait que la seconde image ne coïncide jamais exactement avec la première.

D’où la difficulté pour l’oeil d’évaluer les mélanges à composer pour atteindre les couleurs observées.



Donc pour arriver à une synthèse de ces observations, alliant nouvelle technique à l’esthétique, les peintres impressionnistes, marquent la rupture totale de l'art moderne avec l'académisme en1840.

S'affranchissent des conventions traditionnelles de l'art de peindre à l'éclairage d'atelier, la perspective, le dessin, et tiennent à la prise en compte de la sensation spontanée éprouvée dans la clarté du plein air. Ils suggéreront d’avantage les formes et les distances par la vibration et les contrastes des couleurs, en ne considérant du sujet que son atmosphère lumineuse et les mutations de celle-ci. Tendent à introduire la mobilité des phénomènes, les impressions plutôt que l'aspect conceptuel des choses. Choisissent leurs sujets dans la réalité contemporaine, écartant les teintes sombres et terreuses pour n’utiliser que des couleurs pures appliquées en touches rapides très divisées.
Se manifestent de 1874 à 1886, par huit expositions publiques à Paris.



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</O:p<>C’est au titre du tableau de Claude Monet, Impression soleil levant (1872, musée Marmottant, Paris), que l’impressionnisme doit son nom. En mai 1874 se tient une exposition de jeunes peintres indépendants, parmi lesquels figurent Claude Monet, Paul Cézanne, Pierre-Auguste Renoir et Alfred Sisley. Partageant la même approche picturale, à savoir le rendu du plein air et l’effet que produisent les variations constantes et imperceptibles de la lumière sur les éléments, ils avaient dû se constituer en société anonyme pour faire face à leur exclusion systématique des salons officiels.
La manifestation provoque un scandale retentissant car les critiques d’art trop attachés à leur académisme donnant libre cours à leur mépris n’ont vue dans ces toiles que des croûtes bariolées ayant déclarées la guerre à la beauté
C’est donc la toile Impression, soleil levant, exposée en 1874, qui donne à un critique l'occasion de forger, péjorativement, le nom qui va devenir celui de l'école. Le terme impressionnisme était né, et accepté d’emblée par les artistes eux-mêmes et leur petit cercle d’amateurs (parmi lesquels les critiques d’avant-garde Jules Castagnette, Edmond Duranty, Théodore Duret et le marchand d’art et collectionneur Paul Durand-Ruel). Sept autres expositions sont dès lors organisées sous cette étiquette, dont la dernière a lieu en 1886.






Les postimpressionnistes et pointillistes vont aller encore plus loin dans la déstructure des éléments du tableau en y indexant une tel force vibrante du geste qui a la sensation de nous faire revivre l’ambiance naturel et animé de la vie qui à donner naissance à l’œuvre.
La dynamique du mouvement des nuage au ciel ou celui des reflets du miroitement de la lumière sur l’eau constituent les sujets de recherches de la prodigieuse faculté de rendre la vie, par des touches précipitées, larges, effilées et fragmentée, qui viennent en se projetant se plaquer sur un fond formé de grandes plages vaporeuses, chez Van Gogh, maîtres incontesté du néo-impressionnisme.



nuit1xm.jpg



Suite en dessous<O:p< font O:p<></O:p<>
 
suite de la deuxieme moité du XIX.




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Tandis que chez les pointillistes tel, Seurat, Signac et en suite Bonard, la couleur est sciemment éclatée, séparée pour en reconstituer les complémentaires en de petites touches pointillées des pures tonalités primaires,
Le mystère de la composition de chaque couleur complémentaire était ainsi dévoilé, mis à nu livré en partage pour tout profane pour la première fois.

De là à découvrir le procédé de la pellicule pour les photos couleurs il ’ne restait qu’un pas.



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La tour Eiffel : de Seurat<O:p></O:p>

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Le passage : de Hayet<O:p></O:p>

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Est c’est ce que l’ont oublie souvent de signaler, est que ce n’est qu’à la faveur des recherches de ces peintres que l’imprimerie à pu bénéficier de la lithographier (méthode développer et mise au point par les artistes pour graver en petite série leurs œuvres signés) pour introduire la couleur aux illustrations de ses revue et magazines de l’époque, dont les dessins étaient encore imprimés uniquement à l’encre noir.


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Que plus tard le même travaille des postes impressionnistes, contribuera à l’avènement de la photo en couleur, au développement des techniques de la sérigraphie, utilisé pour l’impression des textiles et des photos en imprimerie avant d’aboutir à la quadrichromie.


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Issiwane.

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A suivre…<O:p></O:p>
 
Le XX siècle
(Début )






Aujourd’hui nous voyons les impressionnistes et néo- impressionnistes avec un œil plein d’admiration, due principalement à la reconnaissance posthume que leurs voue finalement le monde de l’art vis-à-vis de l’immense apport dont ils dotèrent celui-ci.
Pourtant durant la dernière décade du dix-neuvième, qui a suivi leur apparition, et hormis l’accueil enthousiaste que leur manifesta un petit cercle assez restreint de scientifiques et d’admirateurs, ils durent subir un repli, imposer par l’opposition virulente de l’univers académique et le déni d’une caste conservatrice majoritaire, au point que Vincent Van Gogh, fut conduit au suicide devant une tel in compréhension et farouche rejet de sa peinture.

De sorte que la nouvelle génération de peintre qui verra le jour si tôt après, sera moins téméraire et tentera d’amadouer l’académisme par une nouvelle approche de la couleur ou le dessin restera le trait le plus apparent

De cette période on notera Toulouse Lautrec comme le peintre fort, à peindre la vie parisienne noctambule.
Il est aussi excellent lithographe et grand illustrateur d’affiches pour les spectacles.




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Le Fauvisme, mouvement pictural Français, première avant-garde du XXe siècle, se caractérise par son rejet de la palette impressionniste aux tons doux et miroitants pour les couleurs pures et vives qu'utilisaient déjà Paul Gauguin et Vincent Van Gogh.

Le premier groupe d’artistes de cette vague, expose au Salon d'automne de 1905. Parmi eux André Derain, Maurice de Vlaminck, Henri Manguin, Albert Marquet, Charles Camoin et Henri Matisse. Ils rallièrent à eux les peintres Raoul Dufy, Émile-Othon Friesz, Georges Braque et le Hollandais Kees Van Dongen.

Les fauves, recommencèrent à utiliser la technique cher aux néo-impressionnistes, des couleurs complémentaires appliquées par touches larges et énergiques.
Rapidement, la touche séparée se transforme en larges aplats et en surfaces peu modulées.
La couleur, caprice, abandonne toute relation de transcription fidèle au naturel des tonalités et traduit tous les aspects, y compris les ombres, par une gamme de tons dont le rapprochement engendre des motifs. La couleur épouse le dessin, cernes et contourne la forme dans son intégrité.
Le tableau fauve n'en représente pas moins une étape vers l'autonomie de la création artistique, où l'imitation réaliste est de moins en moins nécessaire et ne justifie aucunement la raison d’être de l’oeuvre.
Bien que sa portée et ses répercussions aient été considérables, notamment en Allemagne dans les milieux expressionnistes, le fauvisme n'a été que de courte durée : à partir de 1907 déjà, ses principaux représentants prennent en compte d'autres influences, dont celle de Cézanne, et évoluent presque tous vers un précubisme fécond en nouveaux développements.<O:p< font O:p<>




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C'est Henri Matisse qui poussera le plus loin les conséquences du fauvisme dans une œuvre presque entièrement vouée à l'effusion de la couleur.
Matisse, à la manière de Delacroix, en 1912 va rejoindre le Maroc.
Sauf que lui, le fait pour fuir l’influence de l’art abstrait et les pré-cubistes montant
Il s’installe aussi à Tanger, (décidément cette ville attire les peintres comme un aimant, sans doute aiment ils y séjourner, pour être aux porte de l’orient tout en gardant un œil sur les rivages de leurs Europe natale, 14 Km plus loin à vole d’oiseau.


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Le reste du siècle va être riche du foisonnement des nouveaux styles.



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Issiwane.



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à suivre…
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Issiwan,

tu n'as pas parlé du courant pointillisme dont le belge Théo van Rysselberghe était une grande figure. Il fit aussi plusieurs voyages au Maroc.

Peintre de figures, paysages, et portraits, il est aussi aquafortiste, illustrateur et sculpteur. Il dessine également des meubles, des bijoux, des affiches et s'adonne à l'ornementation.
En 1880, il entre à l'Académie de Bruxelles. Il devient co-fondateur du salon des XX. En 1882, il effectue un premier voyage en Espagne et au Maroc. A son retour, les œuvres qu'il ramène sont exposées au premier salon des XX de Bruxelles. Elles sont claires et aux tons chauds. En 1883, il retourne au Maroc. Sa palette n'est plus la même, les portraits sont plus sombres et figés.
En 1887, Van Rysselberghe expérimente la technique, la lumière et les couleurs impressionnistes dans ses marines exécutées à Heist ainsi que dans des scènes marocaines réalisées au cours d'un troisième voyage au Maroc. Il se tournera alors rapidement vers le pointillisme.
En plus des nombreux portraits, Van Rysselberghe aime beaucoup représenter les contrées qu'il traverse ; il réalise de nombreux paysages et marines. Les couleurs y sont claires et la lumière s'y décompose merveilleusement. L'artiste emprunte, certes, la technique et les sujets de Signac et Seurat, mais la manière dont il les traite est très différente. Les personnages restent des représentations plastiques et physiques, et les paysages sont bien réalistes.
Vers la fin des années 1890, au tournant du siècle, l'art de Van Rysselberghe est à son apogée. L'artiste renonce peu à peu à garder la technique stricte du pointillisme au profit de touches plus larges. Il continue à peindre des portraits individuels et des paysages, tout en réalisant des scènes de famille ou de groupe. Les plus connues sont : Le Thé au jardin, La Promenade ou La Lecture d'Emile Verhaeren.
En 1902, Solvay lui commande un panneau décoratif destiné à orner le majestueux escalier de son hôtel particulier de l'avenue Louise à Bruxelles, un chef-d'œuvre de Victor Horta.
Vers 1905-1910, Van Rysselberghe abandonne la technique pointilliste pour un style plus réaliste mais toujours empreint d'une grande luminosité. Sans doute, faut-il y voir l'influence de la lumière du Midi de la France, où l'artiste s'installe, à Saint-Clair précisément où il réalise de nombreux portraits, principalement de sa femme et de sa fille Elisabeth, des paysages et des nus, avant de s'éteindre en 1926. (source : belart.org)

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Campement devant Meknes. 1888

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lien itnéressant : http://www.latribunedelart.com/Expositions/Expositions_2006/Rysselberghe_512.htm


 
Issiwan,

tu n'as pas parlé du courant pointillisme dont le belge Théo van Rysselberghe était une grande figure. Il fit aussi plusieurs voyages au Maroc.



Mon cher Agerzam je vois que vous êtes aussi amateur d’art. <?XML:NAMESPACE PREFIX = O /><O:p< font O:p<>
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Si j’en ai parlé en évoquant, Seurat, Signac, Bonard et Hayet, bien entendu comme je l’ai précisé en un précèdent Tropic, avec mon souci de concision, je me maintien plus au rappel des figures qui ont participer à la naissance et conduits les mouvements, les défendant corps et âme contre vents et marées, portées à bout de bras au long de leur vie.<O:p< font O:p<>
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Théo van Rysselberghe est un peintre qui évidement ne manque pas d’attrait, ayant participer en Belgique au suivit des soubresauts de la peinture en cette fin du XIX et début du XX siècle. <O:p< font O:p<>
Toute fois au long de sa vie il va montré une grande malléabilité disposer au changement d’humeur, cédant facilement aux influences qu’exerçaient sur lui, soit le groupe d’artistes fréquentés ou le cercle sociale côtoyé.<O:p< font O:p<>
C’est ainsi qu’on le retrouve tantôt Impressionniste, Néo-impressionniste, Pointilliste, Divisionniste ou Fauviste, sans être réellement convaincu de son appartenance à un mouvement plus qu’à un autre.<O:p< font O:p<>
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Nous dirons alors qu’en tant que peintre, il su apporter en Belgique les échos des différents mouvement se confrontant alors sur la scène des arts picturaux et notamment celui de la peinture.

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L’intérêt qu’il revêtirait ici pour nous, réside sans doute en ce témoignage historique du rendu de ses visite au Maroc, ou l’on remarque aussi bien ses hésitations stylistiques.

Il ne faut jamais nous ôter de l’esprit que nous regardons l’art avec le recul des siècles et qu’en leurs moments, les mouvements qui ont en émaillé le parcours, ont nécessité la lutte acharné de toute une génération pour les imposer au courant opposés à leur apparition.
Et qu’à ce titre les peintres qui traçaient une nouvelle voie se devaient de rester fidèle à leur groupe, quitte à y faire la dépense de toute une vie, plutôt que de sautiller d’impatience d’une école à une autre.

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<TABLE id=HB_Mail_Container height="100%" cellSpacing=0 cellPadding=0 width="100%" border=0 UNSELECTABLE="on"><TBODY><TR height="100%" UNSELECTABLE="on" width="100%"><TD id=HB_Focus_Element vAlign=top width="100%" background="" height=250 UNSELECTABLE="off">Le XXe siècle, suite


L’ART AFRICAIN, comme l’éclat de la lumière de sont soleil, au secours des atermoiements du tâtonnement de la recherche esthétique Européenne.


Le Cubisme :

Le cubisme s'est redécouvert en Europe entre 1900 et le début de la guerre de 1914.
Les peintres phares avancés par l’occident pour ce mouvement, sont Braque, Picasso, Delaunay, Léger, Gleizes, Picabia, Lhote, La Fresnay et Juan Gris.

Le concept principal du Cubisme, est que l'essence d'un objet peut être capturée en en montrant diverses vues, imbriqués en des points multiples simultanément sur une seule surface bidimensionnelle. Ou de manière simplifiée, mettre la face et le profile sur le même plan.


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En l’an 1889 eut lieux à Paris la grande Exposition universelle internationale.

Dans l’aile des beaux arts affectée aux anglais, exposait de nombreux artistes Britanniques. Par mis eux se trouvait qui à l’image des orientalistes itinérants, ramenaient dans leurs bagages, de leurs voyages en Afrique Noir, des toiles représentant ou s’inspirant de l’art africain. Sir Alfred EAST (1849-1913). Orientaliste anglais participe aussi à l'Exposition Universelle de 1889 où il obtient une médaille d'or.

Le tout Paris, artistes y compris ne pouvaient rater l’occasion de se rendre à pareil grand événement, rendez vous, ou toute la planète était présente au travers de ses représentants, scientifiques, technologiques, littéraires et artistiques. <o:p></o:p>

Les grandes tribus africaines, étaient également représentées par leurs modes de vie. Huttes, Totems, Masques, Sorciers et représentant en habits traditionnels.
Chose qui ne pouvait passer inaperçu, ni échapper à l’attention notamment des grands amateurs d’objets d’arts, qui vont ainsi se mettre à la modes de collectionner, arcs, flèches, boucliers peints, statuettes, masques et totems Africains, qu’on retrouvera plus tard afficher dans les salons des collectionneurs ou ceux des coloniaux en retour.<o:p></o:p>





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Quoi que le monde de l’art occidental ne mentionnera jamais l’origine de son inspiration, l’art africain, n’en demeure pas moins présent.
Vu l’incidence manifeste qu’a eut son influence, en pulvérisant définitivement les derniers vestiges résistant du statut académiste, du canon esthétique gréco-latin (canon= calibre dimensionnel, qui inscrit les proportions de l’idéale masculin en huit hauteur de tête et le féminin en sept et demie, les visages étant insérés dans un ovale, soit de face, de profile ou en trois quart), pour voler en éclats vers un canon extra Européen.<o:p></o:p>




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Le cubisme sera l’étape transitoire qui sortira la peinture de la représentation figurative vers l’art symbolique, totalement abstrait.

Avec son avènement, l’approche du monde visible, basée sur la perspective unique, est bouleversé.
Le cubisme n'est pas un art d'imitation mais un art de conception.
Le regard et la perception sont sollicités pour compléter ce qui est représenté.
Les formes prennent des libertés, que le graphisme suggère, non par l’enveloppe externe du sujet mais par ce qu'il est.
Les sujets sont fragmentés en facettes emboîtées et offrent plusieurs angles de vision en même temps.<o:p></o:p>




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Le Cubisme a influencé fortement des mouvements tels que l'Orphisme, le Purisme, le Précisionnisme, le Futurisme ou le Constructivisme.
Aujourd’hui, il ne fait que marquer le pas depuis le début des années 1950 où tout semble avoir été dit dans ce domaine. Depuis cette forme d’art a définitivement tourné la page pour être remplacée par d’autres expressions aux influences fugaces.


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Issiwane.


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A suivre…

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<TABLE id=HB_Mail_Container height="100%" cellSpacing=0 cellPadding=0 width="100%" border=0 UNSELECTABLE="on"><TBODY><TR height="100%" UNSELECTABLE="on" width="100%"><TD id=HB_Focus_Element vAlign=top width="100%" background="" height=250 UNSELECTABLE="off">L'ART ABSTRAIT


Le cubisme ayant définitivement ouvert le champ de la peinture conceptuelle par rapport à celle de l’imitation réaliste ou les divers interprétation qu’on pouvait en tirer, l’art picturale et l’esthétique rentrait dans une dimension plus étendu pour l’inspiration artistique.
Comme les peintres sont les premiers à saisir l’envergure de cette ouverture. Ils ne tardèrent pas de si tôt pour en défricher de nouvelles.

L’art abstrait se développe simultanément autour des années 1910 en divers lieux, chez divers artistes qui ne sont pas directement liés de contact.
Wassily Kandinsky, Frantisek Kupka, Robert Delaunay, Piet Mondrian et Kazimir Malevitch, seront les principaux promoteurs de cette école.
Leurs diverses peintures comportent des projets très différents et garde en commun, de ne représenter aucuns éléments appartenant à la réalité visible ou matérielle.

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Dès sa naissance le mouvement abstrait nous révèle l’infini des possibilités qu’il entrouvre en deux tendances principales, celle qui privilégie les formes organiques, gestuelles et spontanées, comme certaines œuvres de Kandinsky et celle qui développe des formes géométriques plus construites et maîtrisées, comme dans les tableaux de Mondrian ou de Malevitch.

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Dans les deux cas, les œuvres sont de pures constructions artificielles qui, pour la première fois dans l’histoire de l’art, ne doivent rien à la transcription du réel externe.<o:p></o:p>
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Kandinsky Wassily (1866-1944), peintre français d'origine russe qui a joué un rôle central dans le développement de l'art abstrait et est reconnu comme l'un des pionniers de l'abstraction lyrique dès 1913.


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Issiwane
 
<TABLE id=HB_Mail_Container height="100%" cellSpacing=0 cellPadding=0 width="100%" border=0 UNSELECTABLE="on"><TBODY><TR height="100%" UNSELECTABLE="on" width="100%"><TD id=HB_Focus_Element vAlign=top width="100%" background="" height=250 UNSELECTABLE="off">XXème

Le SURREALISME


Le surréalisme, mouvement littéraire et artistique défini et théorisé par le poète français André Breton en 1924, qui, s’opposant aux valeurs morales et esthétiques de la civilisation occidentale, affirme la prédominance du rêve et de l’inconscient dans la création.

Le surréalisme était à l’origine un projet essentiellement littéraire, mais fut rapidement adapté aux arts visuels (la peinture, la sculpture, la photographie et le cinéma).

Considéré au début par certains comme un retour à l’ordre de la peinture , ils déchantèrent rapidement de voir le surréalisme la mener sur les sentiers de l’imaginaire surréel.

Salvador Dali s’imposera comme la figure proéminente de la peinture surréaliste, dont il épousa la cause à partir de 1929.




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Aujourd’hui encore de sa créativité débordante de fiction, Dali le surréaliste, continue d’interpeller nos subconscients riches d’imaginaire fantastique.


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Jusque là nous aurons en survole projeté quelques lumières sur le trajet fabuleusement riche et varié de l’histoire de la peinture sans pour autant nous être attarder sur les philosophies esthétique propre à chaque époque ou étape.
En cette dernière partie consacrée au XXe siècle nous nous contenterons ici de ses principaux mouvements qui continuent d’influencer et enrichir la peinture jusqu’à nos jours.

Nous ne suivrons pas, les courants qui les relayèrent au cours de la deuxième moitié du vingtièmes, non qu’ils paressent moins important, mais plus parce qu’ils en sont des variantes ou que leurs influences sur l’art est de notoriété éphémère.
Je renverrais donc les amateurs d’art invétérés, aux ouvrages consacrés qui ne manquent pas.

Par contre avant de visiter la peinture Marocaine depuis ses origines à nos jours, je nous inviterais à nous arrêter encore un moment sur l’influence des derniers courants sur l’art et les applications qui en découlèrent dans la pratique entre 1900 et 1960 au travers du moderne art et du Bauhaus.


Issiwane.





 
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