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Posté par Aksel
En effet, c'est sublime et ces mosaïques égalent les peintures de la Renaissance en beauté et finesse. Je croyais que toutes ces fresques étaient l'oeuvre d'artisans- artistes latins, installés en Afriquedu Nord...
Et pendant les premiers siècles du christianisme en Afrique du nord? pendant les invasions des Vandales? Je suppose que les conquêtes arabo- musulmanes allaient mettre un coup final à toute cette créativité d'inspiration méditerranéenne? la fin de la représentation figurative?
Evidement comme tout le monde peu s'en douter :
Mèsinfluence sur les Arts Amazighs
A la question que posa Achabar dans un poste sur arrif. com : _comment appel ton Art en tamazight ?
Je répondis : _Voila on en est tous là, jusqu’au fond de la mémoire de notre langue le mots Art à été effacé.
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C'est ce qui arrive lorsque une idiologie sort du cadre de la proposition pour accaparer arbitrairement toutes les sphères de la pensée, prétendant remplacer et couvrir de son savoir toutes les connaissances des activités intellectuelles humaines.
Au fait avant l'islamisation forcé du nord de l'Afrique, dans une multiplicité libre de culte, les amazighs s'adonnaient à tout type d'art et leur culture était riche des foisonnements stylistiques diversifiés, spécifique à chaque zone tribale ou groupe d'influence.
Cela remonte dans le passé jusqu’au néolithique que nous avons visité
Les peintres et les sculpteurs pullulaient autant que les architectes et les artisans en tout genre au même titre que les poètes et chorégraphes.
Les peintres en dehors de créer des œuvres sacré et publique, décorait les édifices aussi bien de l'intérieur que de l'extérieur, participaient à maintenir vivant l'imaginaire et visions de leurs propres groupes, des quels ils développaient les finesses stylistiques.
Les sculpteurs taillaient des statues et statuettes où confectionnaient les bas reliefs et décorations qui couvraient les façades des grandes battisses comme les citadelles de pisé. Et comme c'était un travail qui nécessitait un entretient annuelle, ils étaient très recherchés au même plan que les peintres, d'ailleurs souvent ils cumulaient les deux activités au même temps.
Ils étaient les fidèles alliés des architectes qu'ils secondaient dans les recherche des nouvelles formes, lorsqu"il n'étaient pas eux même aussi architecte. Car il faut dire que la fréquence des constructions ne devait pas être aussi soutenue que de nos jours, raison pour la quel il fallait être polyvalent pour remplir son temps d'activité.
Les peintres dessinateurs guidaient les tisserands dans la composition du tramage des motifs qu'ils ont souvent participé à créer ou ré stylisé selon les modes ou époques.
Il ne faut plus voir nos aïeux d’antan comme les incultes que certains tentent de nous faire croire, mais tous les secteurs d'activité étaient remplie au même titre qu'aujourd'hui, avec les moyens technologique de l'époque.
Une culture n'est pas uniquement la littérature ou une langue, elle est l'ensemble des activités ou se manifeste la créativité de l"esprit humain pour marquer les traits de la culture à la que il se réfère, et en cela nous n'avons attendu personne pour manifester la notre.
Sous l'invasion arabe, les promoteurs de la nouvelle religion dépêchaient sciemment tout azimuts leurs opportunistes prédicateurs pour répandre par la ruse et l'astuce les germe de l'arabisation sous le couvert d'enseignement religieux.
Avec la prolifération des zaouïas dirigés par des hommes qui se souciaient peu de leurs totale ignorance de la culture amazighe ou de toute culture tout court, puisque le but qu'ils poursuivaient pernicieusement était celui de rabaisser notre civilisation en effaçant de nos mémoire toutes traces de lien avec les symboles la représentant.
Les interdictions de toutes représentations, figuratives, dessins, peintures, sculptures ou toutes allusions qui pouvaient rappeler symboliquement notre culture, n'ont eut de cesse de pleuvoir.
En réalité s'était l'éradication totale de notre culture qui était visé au travers d’une véritable guerre souterraine et inavoué qui lui était livré à fin de réussir par la ruse se qu'ils ne leurs était pas donner par les armes, à savoir assoire la suprématie des arabes sur les amazighes et leurs territoire en détruisant leurs foie en leurs valeurs et en rabaissant à leurs yeux l'image de leurs culture.
Les rattachant à la considération de la sacralité de la langue et au caractère vénérable de tout ce qui est descendant de souche arabe.
L'ennuie est qu'au fil des siècles précédant nous avons vécu la dislocations précipité de notre tissu artisanale créatif et la totale disparitions des artistes qui l'animaient, sous l'influence dissuasives des interdictions prodigué par les enseignement des zaouïas qui proliféraient étendant leur sphère d'influence au delà du cadre religieux.
Au point que de nos jours l'art est devenu objet superflu de déconsidération et les artistes contemplés en bohémiens, conduits à vivre d'expédiant, alors qu'hier, sculpteur, peintres, et dessinateurs étaient les preux protecteurs de notre civilisation.
Ne nous étonnons plus de voir notre architecture péricliter, l'esprit de l'esthétique disparaître, et l'âme de toutes créativité geler.
Qui fait avancer les motifs et la technologie de nos célèbre tissu et tapis, les artistes ou les simples artisans qui répètent laconiquement les mêmes gestes hérité d'une époque revoulu au point d'avoir même oublier la signification des symboles qu'ils exécutent pourtant inlassablement comme pour s'accrocher aux derniers vestige de notre culture ?
Qui fait évoluer les formes du cachet spécifique de nos urbanismes, sculpte le dessin de nos places, affine le design de nos ustensiles en poterie et métaux, l'artiste ou l'ouvrier qui galvaude vulgairement les mêmes modèles depuis la nuit des temps ?
Par quoi une culture séduit et gagne la convoitise de ses produits, si non par la finesse et la qualité des articles que produisent ses artistes ?
Comment se maintient à jour une civilisation, sans la réactualisation permanente de son image ?
Ici les arabes nous imposent la sclérose de l'image de la défunte culture andalouse, parce qu'ils sont incapables de proposer autre chose.
Ils n'en bougerons pas de crainte de ne plus représenter grand-chose, par ce qu'au départ ils se sont précipité d'emprunter aux modèles, indous, perses et byzantins pour se constituer une culture de synthèse, mais le maximum que l'on pouvait atteindre de cette manière à déjà buté sur les limites des formes autorisés par les matériaux utiliser et dont les techniques aussi étaient empruntées à l'époque.
Nul n’ignore qu'en Arabie en dehors des tentes les battisses rudimentaires en pisé et les dromadaires, il n'y avait nul autre forme d'art notable.
Des matières première de transformations nouvellement créer aucune innovation ressente n'est venu appuyer ou bouleverser cette façon de faire pour amorcer une suite évolutive.
Cette culture ne nous représente pas et on ne vois vraiment pas pourquoi lui vouer cette vénération indue et continuer aveuglément à faire du sur place en la ré éditant, particulièrement lorsqu'on sait que ses initiateurs furent les artisans de la destruction de la notre par le pillage et le saccage de notre patrimoine qu'ils se sont évertuer a marginalisé par tous les moyens y compris la destruction pur et simple.
Les pierres de nos villes et citées détruites, continuent de constituer les fondations des villes arabisées construites à leurs proximités.
Ces villes Amazighs, il y a à peine moins de 1000 ans étaient encore debout et débordantes de vie !...
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Issiwane.
A suivre...