ART et PEINTURE

<TABLE id=HB_Mail_Container height="100%" cellSpacing=0 cellPadding=0 width="100%" border=0 UNSELECTABLE="on"><TBODY><TR height="100%" UNSELECTABLE="on" width="100%"><TD id=HB_Focus_Element vAlign=top width="100%" background="" height=250 UNSELECTABLE="off">
Penses-tu que l'on peut se permettre de ne pas évoquer l'art chinois et japonais ? :)


Sûrement pas et vous avez parfaitement raison de faire ce rappel à l’ordre.
Leurs apports à l’art sont incontestablement incontournables et phénoménaux. Faisant entièrement partie du patrimoine de l’humanité, au même titre que les Arts Sumérienn, Babylonien, Assyrien et Pharaonique qui influencèrent en premier degré l’Art Grec.
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Bien que je ne me sois arrêté en cette partie que sur l’art occidental, pour tenter de revenir sur l’art aussi nord occidental de l’Afrique.
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J’espère voir des contributions compléter les notions que j’ai sauté par brièveté de ce sujet monumentale.
Si non je ne manquerais pas de revenir par la suite mettre en relation la simultanéité de coexistence des civilisations antiques et leurs probables interactions.
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L’art picturale Chinois se distingue par la particularité du dessin exécute à l’encre directement appliqué au pinceau sur la sois. Ce qui suppose une très longue pratique pour la maîtrise spontanée de la gestuelle.
De mes yeux j’ai vue des artistes chinois plonger dans une longue séance de méditation quasi religieuse, pour faire l’esquisse de leur dessin en mémoire, puis jaillir en une profusion de gestes extrêmement rapide et précis, composant l’œuvre à la perfection.
De toute évidence il faudra revenir sur leurs art et méthodes, comme ceux de leurs cousins Japonais au travers des estampes.
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Issiwane.


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Révolution et Evolution des Arts




I- 1890 à 1914.Art Nouveau,


Les errements du monde ancien retrouvent les sources d’une nouvelle régénération en l’inspiration des courants Impressionnistes, Néo-impressionnistes et Fauvistes.
Les artistes et artisans ré promeuvent le travail manuel refusant l'idée d'une séparation entre arts nobles (peinture et sculpture) et arts mineurs (arts décoratifs).
L’art conquière les arts appliqués, et déclanche le mouvement de changement qui a marqué l'architecture et les arts ornementaux de l'Europe de la fin du XIXe siècle et des débuts du XXe siècle.
La technologie elle-même ainsi bousculé dans ses habitudes par la mise à jours des modes est amenée à faire des progrès pour suivre les exigences des nouvelles normes.
Ainsi les faiseurs du Modern style de La Belle Époque se basèrent essentiellement sur la forme décorative qui a cherché à mettre en relief la valeur ornementale de la courbe d'origine florale en Belgique, France et Espagne ou géométrique en Allemagne, Angleterre et Écosse.

En France, l’architecte Hector Guimard participe vigoureusement à l'éclosion et à la diffusion du style Art nouveau, particulièrement grâce, aux nombreuses entrées du métropolitain qu'il réalisera à partir de 1900. Ces structures en fonte moulée, fer et verre, dotées de lignes gracieuses, s'inspirent directement du monde végétal.

L'esthétique Art nouveau inspire le dessin des chevelures des jeunes femmes, évoquée par des lignes ondoyantes, sur les affiches d'Alphonse Mucha.



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<TABLE id=HB_Mail_Container height="100%" cellSpacing=0 cellPadding=0 width="100%" border=0 UNSELECTABLE="on"><TBODY><TR height="100%" UNSELECTABLE="on" width="100%"><TD id=HB_Focus_Element vAlign=top width="100%" background="" height=250 UNSELECTABLE="off">



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En Belgique, à l'aube du XXe siècle, l'architecte belge Victor Horta a réalisé de nombreux bâtiments de verre et de métal, aux lignes courbes et aux décorations végétales, caractéristiques au style nouvel art.

En Espagne, l'architecte Luis Domènech i Montaner, construit entre 1906 et 1909 le palais de la musique catalane de Barcelone.
Il est particulièrement représentatif du modernisme, l'équivalent catalan du style Art nouveau.
Antoni Gaudí grand architecte de son époque à également illustré par de nombreux bâtiments le moderne art en Espagne. En Belgique, à l'aube du XXe siècle, l'architecte belge Victor Horta a réalisé de nombreux bâtiments de verre et de métal, aux lignes courbes et aux décorations végétales, caractéristiques au style nouvel art.

En Espagne, l'architecte Luis Domènech i Montaner, construit entre 1906 et 1909 le palais de la musique catalane de Barcelone.
Il est particulièrement représentatif du modernisme, l'équivalent catalan du style Art nouveau.
Antoni Gaudí grand architecte de son époque à également illustré par de nombreux bâtiments le moderne art en Espagne.<o:p></o:p>



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L'Art nouveau pointera un tournant dans l'évolution de l'histoire de l'art contemporain, spécialement en architecture. En repoussant l’immobilisme et en redéfinissant la relation de l'art et de l'industrie, ses adeptes inaugurèrent les pistes de l'architecture modernes.



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Révolution et Evolution des Arts II








II- Le BAUHAUS et le style Art déco.





Bauhaus, école, fondée par Walter Gropius en 1919, où fut développée, en quatorze années d'existence, une très large part de l'esthétique moderne en matière de design, de création graphique, de mobilier et d'architecture.

La fondation du Bauhaus (littéralement « maison de la construction ») se plaça dans la continuité des idéaux de réforme qui cherchaient, depuis la fin du XIXe siècle à réconcilier l'art, l'artisanat et l'industrie.
Dans ce but, l'architecte Walter Gropius fit fusionner en 1919 la Kunstgewerbeschule et la Hochschule für bildende Kunst de la ville de Weimar en une nouvelle entité, à laquelle il donna le nom de Staatliches Bauhaus im Weimar.

« Le but final de toute activité créatrice est la construction,
Il n'existe aucune différence essentielle entre l'artiste et l'artisan.
Nous formons une nouvelle communauté d'ouvriers, sans distinction de classes.
Nous concevons et créons ensemble le nouvel édifice de l'avenir qui embrassera architecture, sculpture et peinture en une seule unité et qui, s'élançant vers le ciel, surgira des mains de milliers de travailleurs, comme le symbole de cristal d'une foi nouvelle. »
Ecrivit, Walter Gropius, dans le Manifeste du Bauhaus, publié pour l'inauguration de l'école.


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<TABLE id=HB_Mail_Container height="100%" cellSpacing=0 cellPadding=0 width="100%" border=0 UNSELECTABLE="on"><TBODY><TR height="100%" UNSELECTABLE="on" width="100%"><TD id=HB_Focus_Element vAlign=top width="100%" background="" height=250 UNSELECTABLE="off">


En 1923, Gropius replaça l'orientation du Bauhaus vers le rationalisme et vers la production d'objets par l'industrie.
Cependant, des pressions politiques contraignirent le Bauhaus à déplacer son activité dans la ville de Dessau. Ce fut l'occasion, pour Walter Gropius, de marquer la conduite résolument moderne de l'école en la logeant dans un ensemble de nouveaux bâtiments, construits en 1925 et 1926.
Victoire du vide et de la transparence sur le plein, l'aile des ateliers du Bauhaus de Dessau semble flotter au-dessus du sol.
Un prisme de verre posé sur un soubassement en retrait.
Ses principales caractéristiques (implantation dynamique des trois corps de bâtiments en hélice, plan libre, passerelle à deux niveaux sur pilotis, mur-rideau spectaculaire masque entièrement, y compris à l'angle, la structure porteuse, aménagement intérieur entièrement conçu par les ateliers du Bauhaus) en firent l'un des plus beaux manifestes et l’une des réalisations les plus importantes de l'architecture de l'entre-deux-guerres.ffice:eek:ffice" /><?XML:NAMESPACE PREFIX = O /><O:p></O:p>



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L’influence du Bauhaus est indéniable sur le design et l’architecture de toute l’Europe et les Etats-Unis, depuis les années 1930.





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(Mes vives remerciements pour tous les aimables soussinautes qui se sont donnés la peine de suivre ce long compte rendu, au sujet des arts picturaux et leurs influences aux travers du temps, ainsi qu’au staff sous.com, qui m’a permis de vous faire ce petit exposé).




Issiwane.



...


 
<TABLE id=HB_Mail_Container height="100%" cellSpacing=0 cellPadding=0 width="100%" border=0 UNSELECTABLE="on"><TBODY><TR height="100%" UNSELECTABLE="on" width="100%"><TD id=HB_Focus_Element vAlign=top width="100%" background="" height=250 UNSELECTABLE="off"></TD></TR><TR UNSELECTABLE="on" hb_tag="1"><TD style="FONT-SIZE: 1pt" height=1 UNSELECTABLE="on">

</TD></TR></TBODY></TABLE>
<TABLE id=HB_Mail_Container height="100%" cellSpacing=0 cellPadding=0 width="100%" border=0 UNSELECTABLE="on"><TBODY><TR height="100%" UNSELECTABLE="on" width="100%"><TD id=HB_Focus_Element vAlign=top width="100%" background="" height=250 UNSELECTABLE="off">L’art Proto Amazigh 7000 à 3000 ans AP.










L’art au nord de l’Afrique va se développer très tôt, dés le néolithique avancé d’il y a environ 4500 ans avant le présent.
A cette époque les espaces limitrophes côtiers des plaines du nord encore marécageux et séparés par de nombreux bras de mer saisonnier rendaient la vie impropre au mode d’existence transhumant pratiqué en cette ère.
Plus au sud la désertification et l’assèchement créent le Sahara.
Séparant, l’Afrique noir, des peuplades nord africaines occupant la large frange de la savane verdoyante qui part des nouvelles limites sahariennes au sud jusqu’au pied des monts de la chaîne de l’atlas au nord et de l’atlantique à l’ouest vers l’Égypte pharaonique à l’est.
Chasseurs puis pasteurs et cultivateurs, les proto amazighs s’installent d’abord sur cette large bande avant de s’étendre plus au nord au fil des assèchements des plaines et de l’organisation semi sédentarisé épisodique.


Il faut dire que c’est de cette époque, que dates les plus belles réussites de la civilisation proto Amazighe néolithique. Qu'il s'agisse de peintures du Tassili-N'Ajjers, et du Tassili du Hoggar, qu'il s'agisse de pierres taillées et polies, comme on peut en voir dans les magnifiques collections de certains musées, ou les peintures et gravures rupestres, on découvre des œuvres achevées d'une étonnante perfection technique. Et des fresques si importantes sur le plan documentaire, témoignent du goût artistique des amazighs de la Préhistoire.
Certaines pierres sculptées et lissées, qui représentent des animaux, bovidés ou gazelles, ont une puissance descriptive stupéfiante.

De cette ère pastorale nous, parviennent des peintures telle représenté ci-dessous.


Je ne vous demanderais pas d’être indulgent avec nos artistes d’il y a plus de 4000 ans, vous pouvez allez de toute votre critique à leurs égares, leurs tracés sont irréprochable, la technique employer à permis à la peinture de résister à l’érosion et traverser les millénaire jusqu'à nous.



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Et s’il vous arrive de vous demander quelle était l’allure de cet artiste fabuleux vous avez une représentation exceptionnelle de l’un de ses congénère tracée de ces propre mains et regardez bien les détails de la perfection du dessin qui à prés de 3500 ans d’age.<O:p></O:p>


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Une autre représentation exécutée cette fois par des artistes Egypto-Pharaonique. Notez la différence du style et du tracé.


Aucune toile au monde ne peut autant survivre à l’extérieur ni même en un intérieur. Si non la haute maîtrise des techniques du traitement de la surface rocheuse par un décapage préalable avant la pose d’enduit spécial lier par un produit dont, eux seuls connaissaient les secrets.

Puis la connaissance et le choix des matériaux chromatiques d’origine minérale qui a nécessité un broyage exceptionnellement fin suivi de tamisage très rigoureux pour en obtenir une concentration aussi élevée de pigments stables ne passant pas au soleil, lier en mélange par un medium au propriété fixative extrêmement puissante, inconnue de nos jours.


Ceux qui croient le contraire et pensent qu’il s’agit simplement des terres agglutinées avec de l’eau et appliquées directement à la roche sont de parfaits ignorants en la matière et n’ont qu’a essayer de refaire cette expérience pour s’apercevoir que leur mixture s’effriterait et la verraient tomber sous leurs yeux des le séchage au soleil brûlant du désert.

Je reviens sur le fait que ces fresques ne sont pas abrités au fond d’une grotte comme l’exemple de Lasco au sud de la France ou Almira en Espagne, mais exposés à l’air libre, livrés aux intempéries des changement climatique de la température entre le jouir et la nuit et l’érosions des vents, tempêtes de sable et soleil calcinant.
Donc une telle conscience professionnelle relève un degré élevé pour l’époque en notions artistiques et techniques de la peinture et sciences des minerais.

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Pour preuve j’en veux la présence de chars tracter par un attelage de chevaux qui exige d’une part le fait d’avoir déjà apprivoisé le chevale, l’avoir dresser pour le besoin de le monter et l’utiliser à des fins de tracions. Et d’autre part le fait d’avoir les connaissances mathématiques et géométriques pour dessiner et construire des chars légers utilisés pour le déplacement et dans la guerre.
Ce qui fait que la roue était déjà connu des amazighs du néolithique antérieur, voir 5000 à 5500 ans avant le présent à un stade élémentaire en des charrettes en bois tirée par des bœufs.

Les chars que nous avons sur les peintures rupestres, sont des chars légers extrêmement rapides pour courser la gazelle à la chasse ou poursuivre l’ennemi à la guerre. Ce qui impliquait impérativement une construction solide du timon, des pièces de jointures, de la caisse, des roues à cerceaux et essieux métalliques pouvant résister aux chocs du roulage rapide sur les ergs rocailleuses.

D’où l’obligatoire maîtrise des technologies et des sciences de la métallurgie pour chercher les mines, extraire le minerai (la malachite, l’oxyde de zinc, et l’étain) élaborer des fours, et la construction des moules en sable basaltique pour le coulage du cuivre ou le bronze, qui et un alliage assez poussé par rapport au cuivre.
Les essieux et les cerceaux de la bande de roulage des roues ne pouvaient être qu’en bronze de haute qualité pour tenir sur les pistes de gravillons et pierrailles, sans oublier les (fers) des sabots des chevaux qui devaient êtres réaliser d’un bronze plus ductile, clouer par des clous en cuivre.

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<O:p>Tout ce ci vous laisse entrevoir l’étendu des connaissances, la science et le raffinement de la civilisation avancée pour l’époque de ces hommes prétendus sauvage par des ignares venue 2500 ans plus tard en hordes incultes de l’est.

Dans le proto histoire le passage du néolithique avancé à l’age du bronze est indistinct du fait de la coexistence dans le temps des deux étapes, avec un progrès plus notable chez des populations que d’autres.
Toutes ses connaissances ne pouvaient se transmettre que par l’écriture qui avait aussi déjà faite son apparition.

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<O:p>issiwane</O:p>
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<table style="width: 681px; height: 3577px;" id="HB_Mail_Container" unselectable="on" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0"><tbody><tr unselectable="on" width="100%" height="100%"><td id="HB_Focus_Element" unselectable="off" background="" height="250" valign="top" width="100%">
<table style="width: 672px; height: 1455px;" id="HB_Mail_Container" unselectable="on" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0"><tbody><tr unselectable="on" width="100%" height="100%"><td id="HB_Focus_Element" unselectable="off" background="" height="250" valign="top" width="100%">L’art Proto Amazigh 7000 à 3000 ans AP. suite


Il y a de ça près d’un an j’avais prélevé des images d’un documentaire télévisé sur la chaîne escale, ou il s’agissait d’une équipe d’ethnologue qui se rendait dans le massif de l’ahaggar sud du tassili au sud ouest de l’Algérie pour visité le seul site ou l’on retrouvait l’une des rares représentation restantes du dieux ANZAR.


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L’arrêt sur l’image et la lecture des détails de la représentation m’a permis de noter une foule d’information que les scientifiques devant leur émerveillement n’ont pu remarquer







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Regardez sur cette même image où je me suis permis de rehausser le travail de l’un de mes ancestraux collègues pour mieux distingué, le flûtiste et le tambouriner à la base de la fresque en train d’égrener une composition musicale accompagnants le tant célèbre chant d’Anzar à l’appelle de la pluie. Pluie que l’on distingue nettement tomber des nuages en volute juste au dessus des musiciens.
Cette fresque datant de plus de 3000 ans démontre que le culte d’Aznar qui était commun et généralisé à l’ensemble des peuples Amazighes était déjà instituer en rituelle raffiné depuis cette époque reculé où l’art de la peinture de la poésie du chant et de la musique sont réuni pour glorifier la force de la nature.





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Issiwane.


A suivre…

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Les premières images sont extraites du site le Sahara néolithique.
Les derniers d’une émission documentaire sur la chaîne numérique escales.
</td></tr></tbody></table>
 
aksel said:
Merci infiniment Issiwane pour cette fenêtre que tu nous ouvres sur l'Art ancien et moderne.

C’est moi qui vous remercie tous de montrer de l’intérêt pour les arts picturaux et les retentissements qu’ils ont sur les sociétés.
 


<table id="HB_Mail_Container" unselectable="on" border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" height="100%" width="100%"><tbody><tr unselectable="on" width="100%" height="100%"><td id="HB_Focus_Element" unselectable="off" background="" height="250" valign="top" width="100%">Implantation au Nord de TAMAZEGHA


Les temps changent, la terre évolue et les conditions climatiques aussi.


La savane nord Africaine se dessèche le gibier s'y raréfie, la bande saharienne augmente en surface de plus en plus, les bancs de sables progressent et gagnent du terrain, soulevés par les tempêtes du célèbre sirocco.

L'aridité du sol pousse les populations des tribus pastorales à aller de plus en plus loin, découvrir les terres des plaines du nord qui se dégagent des lagunes desséchées et des bras de mer qui se retirent.
Bientôt tout le nord au delà des barrières des massifs de l'Ahaggar, du Tassili et des monts de la chaîne de l'atlas serra peu à peu découvert et habité de façon permanente dès le 4éme millénaire avant le présent.
De l'atlantique aux extrêmes pointes de la méditerrané, les vallées fertiles des bassins versant des rivières qui y coulent, offrent aux amazighes l'aubaine de s'y fixer. Ainsi l'ère pastorale Transhumante cède la place à la sédentarisation et le développement de l'agriculture et l'élevage domestique.

Partout des bourgades voient le jour. Les tribus érigent, village et cités, l’architecture et les styles s’affirment.
Dans ces contrés les Amazighes s’organisent en tribus et en confédérations, que les Grecs distinguaient sous les noms de libyques, numides et maures.

Leurs sciences et technologie héritée du passé proto historique les aident à mieux maîtriser la planification des projets de leurs installations.
L'élevage des cheptels de bovins, ovins et caprins va connaître une progression notable par le biez des permutations des aires des pâturages, printemps dans les plaines, été en montagne et automne hiver grâce aux réserves stocké du fourrage de luzerne séché.
Ils développent une puissante agriculture grâce aux méthodes sophistiquées de leurs connaissances des cycles des saisons et des temps de semences de chaque espèce du règne végétale, et la parfaite maîtrise du temps dû à l'adoption d'un calendrier solaire scientifiquement exact par rapport au prototype lunaire.


Obtiennent un résultat efficace et luxuriant par l'implantation d'un système d'irrigation planifier par les bras des ruisseau et canalisations artificielles amenées des fleuve et rivières en plaines ou par des canaux sous terrains directement alimenté des réservoir naturel sous terrain ou des puis cartésiens communicant en plans incliné sur les flancs de montagne, suivant le tracé naturel du ruissellement sous terrain de la nappe phréatique.<o:p></o:p>
Encore une technologie qui suppose une parfaite science de la géologie et des couches du sol.

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Les étraves des charrues chaussées de socs en métal, tracté par un attelage de bœufs, viennent à bout des soles les plus dures.
Avec l'irrigation optimisé pour palier au manque de pluie ou soutenir la culture des espèces végétales nécessitent impérativement l'arrosage assisté, des variété sauvage furent sélectionné et développé, tel les fèves, les poichiches, les lentilles, ou les divers tubercules et plantes herbacés tel les topinambours, le manioc, les navets, les carottes, les artichauts, le choux et d'autres pour la consommation humaine. <o:p></o:p>

La luzerne pour la consommation des animaux domestique et pour le stockage séché pour l'hivernage des élevages.
Sans oublier les cultures des champs irrigué naturellement par l’eau de la pluie ou était semé le blé l'orge et le seigle en plaine et en flanc des monts.

Des coteaux de culture de vigne en atlas était connue depuis l'antiquité et ne dataient pas d'hier.

La production fruitière connaissait déjà l'olivier, l'arganier, le figuier, l'amandier,le noyer, le caroubier, l'abricotier et le prunier, sans oublier le fameux nopal (Aknaraï ou figue de barbarie).
La puissance de l'agriculture de l'Afrique du nord allier à son industrie de transformation : production d'huile d'olive, de vin, de bière, de miel, de fruit sec tel amandes, noix et de figue, encourage nos amazighs à aller de plus en plus loin dans leurs expédition commerciale pour vendre les surplus de leurs production. C’est ainsi que l'on retrouvera des traces de présence des amazighs nords africains en Egypte pharaonique et au moyen orient. Ce sont eux qui vont faire connaître leurs produits au monde méditerranéen et non le contraire.

Hanoukka qui est cité par les arabisants comme le voyageur commerciale qui a établit des comptoirs phéniciens sur les cotes nord africaines et une thèse complètement erronée.

Oui il y est venu, mais c'était un chef décident phénicien attiré en Afrique du nord par la réputation de la puissance de son régime, son agriculture, son industrie et son commerce, et surtout l’exceptionnelle bravoure de ces guerriers.<o:p></o:p>

Il y est venu chercher de l'aide au près de la dynastie amazigh Mauritangitaine des Baccus, qui en habiles diplomates et pacifistes avérés lui ont proposé une collaboration plutôt commerciale, plus fructueuse et enrichissante que les guerres de conquête qu'il est venu leurs proposer.

On est très loin du rabaissant cliché du berbère inculte inapte à la parole faisant du troc silencieusement avec des étranger puissant venus lui soutirer ses richesses contre des verroteries.

Il faut cesser la réédition de ces sornettes concoctées par des ineptes.

Depuis des millénaires nous côtoyons la plus grande des civilisation en son temps de nos cousins pharaonique, avec qui nous avons un passé commun et les plus solides relations, de respect et d'échanges culturels, scientifiques, économiques et diplomatique.<o:p></o:p>

Nos ambassades ne quittent jamais les pays du pourtour méditerranéen, nos hommes de lettres étudient dans toutes les places de la culture Egyptienne, babyloniennes et grecs. Nos commerçants sillonnent tout le mode ancien et pourtant nous serions à court de connaissance des langues de ces pays pour faire du troc sur les bancs de sable des plages.<o:p></o:p>
Quel manque d'imagination ! Du troc ! Alors que nos fonds de trésors croulent sous les pièces d'or, d'argent et de bronze extraient de nos mines et coulé, frappé chez nous !
Vraiment l'histoire doit être réécrite par des hommes de bonne foi, et non par de médiocres charlatans et faussaires.

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C'est la renommée et les connaissance de cette riche et forte civilisation qui forcera les romains à la nécessité d'établir des rapports amicaux avec les amazighs, sur qui jamais ils ne purent exercer une domination effective, c'est même le contraire, ils eurent recours à leurs alliance pour venir à bout de Carthage qui les menaçait tout deux.
Les amazighs sur leurs sol et l'Europe et Rome par mer. Alors Carthage fut réduite à Zama par la cavalerie amazighe sur terre et les galères des légions romaines sur mer.
Mais auparavant les romains avait déjà eu l’occasion de goûter la force du glaive du combattant amazigh.

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issiwane.




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<TABLE id=HB_Mail_Container height="100%" cellSpacing=0 cellPadding=0 width="100%" border=0 UNSELECTABLE="on"><TBODY><TR height="100%" UNSELECTABLE="on" width="100%"><TD id=HB_Focus_Element vAlign=top width="100%" background="" height=250 UNSELECTABLE="off"></TD></TR><TR UNSELECTABLE="on" hb_tag="1"><TD style="FONT-SIZE: 1pt" height=1 UNSELECTABLE="on">
</TD></TR></TBODY></TABLE>
<TABLE id=HB_Mail_Container height="100%" cellSpacing=0 cellPadding=0 width="100%" border=0 UNSELECTABLE="on"><TBODY><TR height="100%" UNSELECTABLE="on" width="100%"><TD id=HB_Focus_Element vAlign=top width="100%" background="" height=250 UNSELECTABLE="off">Suite:




Le prince Massinissa deuxième fils cadet du roi Massyle (libyque) Gaïa du fuir très tôt les trac nards fomenté par son frère aîné Capussa intronisé roi à la mort de leurs père, par les alliances de la famille de sa mère (deuxième épouse de Gaïa) avec le camp Carthaginois des Hamile Barca.

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Pour garder la vie sauve, Massinissa dû fuir au désert et contourné le territoire Massaesyle du roi Syphax (Numidie, actuel Algérie) lui même allier de Carthage par alliance matrimoniale à une princesse carthaginoise.
Massinissa dû chercher refuge au près du Roi BAGA sur le territoire de la Mauritangitaine (Maroc actuel) ou il fut accueilli avec les honneurs dûs à son rang et plus tard rejoint, suite à sa demande et à l'autorisation de son haute par les guerriers de son camp qui lui étaient resté fidèle. Et lorsque la menace romaine s'est faite sentir au loin sur le territoire Ibert (Espagne) par les conquêtes des légions romaine du générale proconsul Pubilius Cornélius Scipion père.
Par voie diplomatique les ibères demandèrent l'aide Au Roi BAGA, qui dépêcha Massinissa à la tête de 10 000 cavaliers par mis eux les siens évidement.
Dans l'alliance Ibéro Amazigh, la bataille qui fut engagé, au tour de la nouvelle Carthage bâtie en ibéris par les carthaginois et conquise par les garnisons de Scipion, fut fatalement mortelle pour toutes les légions romaines d’Espagne et pour le générale Scipion père lui-même qui y trouva la mort transpercer par le jet d’une lance.
Et depuis cette datte Romme à tout fait pour s'attirer la sympathie et l’alliance du monde Amazigh pour réduire la menace d’Hannibal Barca et celle de Carthage.
Et lorsqu'ils s'établirent sur les cotes africaines c'est dans des comptoirs commerciaux contrôlés par les amazighs pour exporter les denrées commandées et achetés par les Romains.

Ainsi débutèrent les relations des Amazighs et des Romains au début du 2eme siècle avant J.C.ffice:eek:ffice" /><O:p></O:p>

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</TD></TR></TBODY></TABLE>Galère Romaine


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La Bataille de ZAMA<O:p></O:p>
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Issiwane.<O:p></O:p>
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A suivre...<O:p></O:p>

 
<TABLE id=HB_Mail_Container height="100%" cellSpacing=0 cellPadding=0 width="100%" border=0 UNSELECTABLE="on"><TBODY><TR height="100%" UNSELECTABLE="on" width="100%"><TD id=HB_Focus_Element vAlign=top width="100%" background="" height=250 UNSELECTABLE="off">VOLUBILIS





En Mauritanie tangitaine la prestigieuse et très longue dynastie des baccus rois sages est exceptionnellement diplomates, pris fin à la mort de Bocchus III en L'an 33 av J.C.
De ces rois qui surent conserver l'indépendance de leur pays vis à vis de Rome, dont les vues expansionnistes et impériales allaient grandissant, des débuts du 2eme siècle avant J.C à l'an 33 av J.C, Baga, Bocchus, bagud, bocchus II, Sosus et Bocchus III.
Ils eurent tous pour Capitale la célèbre Volubilis, au centre de l'arrière pays, au pied des monts du grand Atlas.
Sous leur règne le pays connu une grande ère de stabilité politique, développement économique, culturel et artistique.
L'agriculture très développée assurait déjà l'auto suffisance et garantissait les excédents exportés vers les pays du pourtour méditerranéen qui étaient liés à la Mauritanie Tangitaine par de solides relations diplomatiques et économiques.
Les industries des métaux, et des transformation allaient bon train, et les produit de la vigne l'huile d'olive les fruit sec ou les produits de la pêche, dont les salaison des manufactures de Cota dans la région de Tingis étaient très réputés.
On pêchait déjà la baleine pour en extraire l'huile des graisse et le pourpre, comme on séchait tous types de poissons salés.
L'architecture connaissait deux style l'un en pisé plus au sud ou les précipitations sont assez rare et celle en pierre tallés dans les cités du nord exposées aux intempéries des pluies ou neiges saisonnières, ses demeures recevaient des toitures des célèbres tuiles vertes issue d'une industrie céramique très en pointe.
De la profusion de cette richesse économique et commerciale surgirons de somptueuse bâtisses et villas construites par les riches marchands, dont on retrouve encore les vestiges à Volubilis.
Volubilis était réputé pour ces mosaïques et ses bronzes qui tout deux étaient aux faits de leurs arts.


On peut toujours visiter le site pour évaluer l’extrême habilité des artistes de cette époque a reconstituer, comme sur le parterre de cette place, les images des animaux qui peuplaient les forets de se temps.


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Ou admirer les mosaïques représentant un ensemble d’animaux marin sur les sols de cette superbe villa, qui appartenait probablement à l’un des armateurs marin ou riche propriétaire des salières de poissons.


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</TD></TR><TR UNSELECTABLE="on" hb_tag="1"><TD style="FONT-SIZE: 1pt" height=1 UNSELECTABLE="on">
</TD></TR></TBODY></TABLE>



issiwane.

...
 
<TABLE id=HB_Mail_Container height="100%" cellSpacing=0 cellPadding=0 width="100%" border=0 UNSELECTABLE="on"><TBODY><TR height="100%" UNSELECTABLE="on" width="100%"><TD id=HB_Focus_Element vAlign=top width="100%" background="" height=250 UNSELECTABLE="off">VOLUBILIS suite :






Comme on pourrait notamment s’attarder à étudier la perfection de la reconstitution des tonalité des valeur clairs et obscure pour reproduire la notion du volume tri dimensionnel sur les portraits en mosaïque relatant les styles et modes vestimentaire citadine d’il y a plus de 2000 ans.


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</TD></TR><TR UNSELECTABLE="on" hb_tag="1"><TD style="FONT-SIZE: 1pt" height=1 UNSELECTABLE="on">

</TD></TR></TBODY></TABLE>







Et si l’on n’y prête attention, beaucoup de notions nous échapperait et passeraient inaperçu à nos yeux, comme le fait qui ne doit rien au hasard de ses couleurs qui nous soient arrivées pratiquement intact depuis l’antiquité.
Les artistes qui réalisaient ses œuvres magnifiques étaient passés maîtres en plusieurs diciplines et devaient préparer eux même les cubes qui allaient servir au montage des mosaïques.
Les petit carreaux étaient fabriqués en céramique lors d’une première cuisson et recevaient une couverte constituée d’un vérifiant (Silice et feldsphat) mêlé à la poudre du minéral qui allait donner le colorant au cours d’une deuxième cuisson, de sorte que le colorant restait protégé et intégré à la glaçure. Le secret de cette technique de la céramique ne sera découvert en Europe qu’à partir de la renaissance.



La métallurgie aussi connaissait un essor considérable par l’extraction du fer, du cuivre de l’argent, de l’or, de l’étain, du plomb et du zinc. Qui étaient transformé par les diverses industries de l’époque.

L’exemple déroutant des arts du métier des métaux et présent dans ce buste en bronze réalisé en l’honneur de l’assomption de Juba II au trône, en l’an 25 avant J.C.


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Il est coulé à volubilis selon une toute nouvelle procédure en creux au lieu du monobloc plein.

Analysez sur cette photo en détail l’extrême finesse de la texture de ce bronze. La perfection inouï des traits du visage, dont le fini est obtenu du premier coup du coulage et démoulage, et non suite à un ponçage, ayant suivit le coulage. D’autant plus que les parois du creux ne dépassent jamais le centimètre d’épaisseur.


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Un tel résultat ne pouvait être obtenu que par un seul procédé : le coulage en moule de fonte d’acier, oui vous avez bien lu, de l’acier à cette époque.
Le coulage en moule de sable laisserait beaucoup d’imperfections formées à la surface et un moule en bronze fondrait en versant dedans, un métal de même nature en fusion qui en plus collerait irrémédiablement au moule.
Seule alternative restante le moule en fonte d’acier avec un noyau en sable dur pour obtenir la forme en creux.
De toute façon le fer était déjà connu et extrait aussi pour la production des nouveaux socs des charrues, des armes, des pièces d’usures et de jonction des chars de combat, tels les essieux et les roues.

Si l’on ne retrouve plus de suite dans le temps actuel à ces technologie, c’est que c’est dû à l’immigration précoce et massive de nos premiers techniciens vers l’Europe Romaine pour fuir les troubles anticiper au 4eme siècle par les invasions Vandale, poursuivit par celles des Arabes par la suite.
Le peu des artisans qui nous soient restés sont monté avec les vagues de la conquête musulmane pour faire la réputation des aciéries et armuriers de Tolède en Espagne.
Par contre la réputation du zellige arabe de Fes, est surfaite, car c’est une pâle copie de l’œuvre des artisans Amazighs de la Volubilis toute proche qu’ils ont tant pillé et de qui ils ont appris l’art de la cuisson des céramiques et de la réalisation des apprêts.
Sans doute qu’au tout début à la suite des interdictions de la représentation figurative les artisans encore sur place se sons mis a des forme géométrique pour satisfaire la demande des nouveaux venus et qu’a force de travailler ensemble, ceux-ci finirent par apprendre d’eux le métier, sans art ni l’âme initiale de la création.


Jugez en vous-même sur la vue de cette composition répétitive, hyper statique, si lourdement chargé, étouffant l’espace et l’imagination de tous ceux qui se trouve à proximité.



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La symétrie et l’ennemie de toute œuvre artistique, vous pouvez consulter toutes les œuvres de la création humaine digne des arts, et si vous rencontrez la symétrie vous me le dites.
La première règle à la quelle se plie tout concepteur qui soit et celle de la composition du cadrage, en prenant tout les soins d’éviter la symétrie ou la répétition. Et croyez le c’est une science infuse chez les vrais artistes.

Issiwane

A suivre…
 
<TABLE id=HB_Mail_Container height="100%" cellSpacing=0 cellPadding=0 width="100%" border=0 UNSELECTABLE="on"><TBODY><TR height="100%" UNSELECTABLE="on" width="100%"><TD id=HB_Focus_Element vAlign=top width="100%" background="" height=250 UNSELECTABLE="off">Par principe cet espace est également ouvert au dialogue, à moins que vous n’appréciez m’y voir monologuer ! ;) </TD></TR><TR UNSELECTABLE="on" hb_tag="1"><TD style="FONT-SIZE: 1pt" height=1 UNSELECTABLE="on">
</TD></TR></TBODY></TABLE>
 
Moi j'ai été très très étonné de ta remarque sur l'allun et le dieu anzar dans la peinture ruppestre.

Mais j'attends de voir aussi le bout de ton développement consacré à l'art amazigh et surtout les liens qu'on peut y trouver avec les autres expressions ;)
 
même réponse que agerzam , in fine.
Pour l'heure je serais spectatrice attentive de cette belle épopée imagée que tu as la gentillesse de nous conter.
:)
 
Issiwane, ton exposé est passionnant! il est le socle d'une reflexion belle et enrichissante sur l'amazighité et l'art, la civilisation nord africaine et méditerranéenne. On en a tant besoin! Bonne continuation. Un lecteur attentif.
 
<TABLE id=HB_Mail_Container height="100%" cellSpacing=0 cellPadding=0 width="100%" border=0 UNSELECTABLE="on"><TBODY><TR height="100%" UNSELECTABLE="on" width="100%"><TD id=HB_Focus_Element vAlign=top width="100%" background="" height=250 UNSELECTABLE="off">
Soit, continuons donc notre survole.
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Les Amazighs à Rome




Suite à Juba II, son fils Ptolémée sera assassiné en 41 à Lyon en Gaule par Caligula. Qui Annexa symboliquement la Mauritanie Tangitaine, en y envoyant un consul avec un détachement de légionnaire, mais au fait le pays est dèja un allié inconditionnel de Rome depuis Baga et Massinissa, 245 ans plutôt.

Toute la Mauri-Tangitanie avait acquis depuis longue datte la citoyenneté Romaine. Ses ressortissants voyagent et s'établissent en familles entières de commerçants, artistes et artisans en toute l'Europe.

De cette époque mitigée la puissance même de l'armée Romaine devait énormément aux armées de fantassins et cavaleries amazighs qui y étaient incorporées.

Caligula le déséquilibré n'emporta pas son méfait au paradis, puisque il fut lui même Trucidé par sa propre garde prétorienne à peine un an plus tard en 42.

Les amazighs ne voyaient aucunes logiques de se coaliser dans une révolte généralisé contre Rome, en dehors des batailles des célèbre Juba I, Yugurtene et Tacfarinas, des débuts de la pénétration romaine, Les chefs Tribaux trouvaient tous l'intérêt en leurs allier qui leur ouvraient les portes de tout le monde ancien, leurs gens y allaient et venaient comme bon leurs semblaient, prospéraient en commerçant et y occupaient les postes et fonctions les plus élevé.
L'Afrique du nord vendait et exportait de tout vers Rome et n'en importait pratiquement rien. Donc s'enrichissait à vue d'œil.
Les états renvoyaient leurs contributions d'impôts à l'empire, mais trouvaient parfaitement leurs comptes dans les échanges.

Pour se rapprocher de la capitale de l'empire, en Afrique le centre des activités s'étaient déplacés vers la Libye ou se rénovait la ville de Subratha en la Leptis Magna Soeur concurrente de Rome, érigé sur la rive sud de la méditerrané. Pour rivalisé en beauté de avec les grande cités des son époque elle faisait appel aux meilleurs talents Amazighs et Cartaginois, architectes, artistes artisans, bâtisseur et maçon affluaient de toute part pour la construction de ses magnifiques édifices.


Si bien que l'art amazigh se développa s'inspirant des modèles du moment en veillant à se démarquer par sa spécificité.
La ville est vraiment magnifique, brillante et mieux tracée, les rues y sont plus larges que partout ailleurs, les place grandes et ouvertes, le forum entouré de jardins luxuriant et accueillant, le théâtre d'une beauté somptueuse.
Et si l'architecture et les sculptures en marbre se rapprochent du style Hellénique, c’est que c'est le standard du moment.

Par contre les tuiles des toitures, les boiseries, les fioritures, les colonnades, les chapiteaux et les mosaïques du sol et des parements muraux sont purement du top en ce qui se fait d’amazighs.



D'ailleurs cet art va marquer là un grand progrès jamais égalé au niveau de la précision des traits de la finesse du dessin et des techniques de la construction de l'image, par des carreaux cubiculaires céramique encore plus petites qui permettent plus de netteté, de nuances dans les couleurs et les valeurs du contraste.(en somme ils augmentent la résolution de l’image).

Si ce n'est le support qui diffère, on y juge déjà la perfection et la primeur d'un style que l'on ne reverra plus, que très tard dans la peinture médiévale ou il aura mit plus de mille deux cent ans avant de traverser la méditerrané.

En ses temps la, le secret de la céramique devait rester jalousement gardé pour le monopole du marché de la poterie et tuiles à glaçures.
Pas vraiment compliqué à faire puisque les romains eux même en dehors de l'organisation administrative et l’arrogance militaire, ne manifestaient aucunes dispositions pour les arts ou l'artisanat et du fait ne montraient aucun complexe en s'inspirant et comptant sur les peuples voisins pour palier à leurs lacunes.




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Sur cette marine en mosaïque du 2 ème siècle la composition est d’un descriptif parfaitement restitué





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Cette scène de pécheur de 2 ème siècle également est aussi merveilleusement rendu l’extrême finesse des détails ferait croire à une peinture sur toile de la renaissance, pourtant c’est une superbe mosaïque de Leptis.



Iss.


...
 
En effet, c'est sublime et ces mosaïques égalent les peintures de la Renaissance en beauté et finesse. Je croyais que toutes ces fresques étaient l'oeuvre d'artisans- artistes latins, installés en Afriquedu Nord...

Et pendant les premiers siècles du christianisme en Afrique du nord? pendant les invasions des Vandales? Je suppose que les conquêtes arabo- musulmanes allaient mettre un coup final à toute cette créativité d'inspiration méditerranéenne? la fin de la représentation figurative?
 
<TABLE id=HB_Mail_Container height="100%" cellSpacing=0 cellPadding=0 width="100%" border=0 UNSELECTABLE="on"><TBODY><TR height="100%" UNSELECTABLE="on" width="100%"><TD id=HB_Focus_Element vAlign=top width="100%" background="" height=250 UNSELECTABLE="off">
Les Amazighs à Rome suite




LETIS MAGNA





Là faite très attention à l'image, car nous avons affaire à une nouvelle mutation et fulgurante progression de l’art picturale Amazigh, qui trouve son apogée vers la fin du deuxième siècle.

Les portraits ne seront plus réalisés en mosaïque mais carrément peint en tableaux avec des pigments de colorant minéraux, couvert d’un glacis transparent, posé en délicatesse sur un grand carreau de céramique puit recuit en email à chaud et finalement accolés au mur dans une composition entouré d’un cadre en mosaïque.




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Quelques têtes connues de cette époque:




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L'hécatombe des empereurs Romain qui se trucident entre eux par cupidité forment une très longue liste, au point que plus d'une fois des officiers Amazighs de très haut rang de l’armée Romaine vont prendre le pouvoir pour maté les Tribulations des généraux, les conspirations du sénat et les manipulations de l'aristocratie Romaine.

Pour dire à quel point les amazighs avaient aussi à leurs tours pénétré la société occidentale, non seulement ils étaient intégré dans la citoyenneté romaine, mais participaient activement à la politique et aux affaire de l’empire, qu’ils dirigèrent même du plus haut poste à divers reprise de l’histoire de cet empire.



Septime sévère empereur romain de 193 à 211, né est issus d'une très grande famille Amazigh de Leptis.
se distingue par du génie réformateur dans les domaines administratif, législatif et militaire.

Il fut l'Empereurs qui eut un long règne marqué par la stabilité et la prospérité.
Et mourut de sa belle mort à un age avancé, pour la simple raison que sa garde personelle comme ses armés étaient composés principalement d'officiers et de soldats Amazighs.





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Dans l’allégorie les roi et empereur Amazigh sont les rares à avoir des statuts en bronze, contraire au marbre des autres. Une distinction que leurs font les artistes amazighs qui accompagnent leurs épopées et qui les immortalisent dans ce métal inusable, glorifiant leurs Bravoures et hauts faits historiques, et nous laissent aussi par là l'empreinte et la spécificité de leurs grand art sculptural.






Ce qui est Injuste à l’égare de notre Art est que toutes les écoles d'art du monde font indûment partir l'histoire de l'art au temps des grec pour la sculpture et du moyen age pour la peinture, occultant au passage l'apport des Amazighs au niveau du dessin, celui des mosaïques et la sculpture en bronze.

Et si la peinture s’est développée en Italie avant le reste de l’Europe.

C’est grâce aux artisans et artistes amazighes qui y ont introduits des les débuts du deuxième siècle de cette ère la connaissance des poudres colorante à base de gemmes, tel la Malachite = vert, l’Azurite = bleu (qui tir son nom de Azul, bleu en tamazight), les Ocres Jaune et Rouge, riche en oxyde de fer, la chaud pour les blanc (dont il étaient passé maître de la production) et l’Onyx pour le noir.
Tous ces pigments d’origine minéralogique provenaient particulièrement des terres d’Afrique du nord.
Tous comme les pigments d’origine végétale ou animale qui rentraient dans les colorants textile tel : le pourpre, le henné, le Safran, l’indigo, et le Khante( dont était tiré à l’origine le bleu magnifique des robes Touaregs), le blanc étant la fibre même du tissu.

Pour ceux qui s’y connaissent en couleurs, ils retrouveront là les origines des couleurs primaires réflectives qui composent toute la palette chromatique par addition.



Issiwane.






A suivre…

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Lien pour info suplementaire sur LEPTIS MAGNA

http://www.berclo.net/page99/99fr-libya-2.html
 
Marc Aurèle était d'origine amazigh? tu en es sûr? j'ai beaucoup d'admiration pour ce roi- philosophe, d'une grande sagesse. Si tu as plus d'informations... Pour Septime Sévère je le savais. Merci pour la photo de sa belle statue à Leptis Magna; c'est formidable qu'elle soit si bien conservée dans sa terre natale.
"Azul" ce n'est pas " bleu" en espagnol plutôt?
Ton exposé est original et passionnant! ça ferait un livre remarquable.
 
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