Hmelgh kem...

azra said:
Douce et fine
à toucher en caresses.
Délicate et sensible,
aux ondulations paisibles.
A fleure de rêve et d'haleine printanière

Embaumante des esprits
non souillés par le métal
discrète, paisible, elle passe inaperçue
Y'a-t-il pire que d'être transparent ?

Elle nous accompagne en silence
Bélier de l'aurore, agneau de la grande fête;
terreur le jour, victime au premier signe du crépuscule
Perverse et piteuse

Elle pleure des nappes et des flammes
Une larme s'essuie d'une rafale
Intéressante et désintéressée

Je la vois, accroupie
les yeux qui brillent
Des larmes ou du sang qui bouillonne
Qu'elle parle pour savoir,
Abattue ou prête à abattre.

Tu me désole, te terrorise,
le fascine
et attends.

fille_aux_roses.gif

" ... à fleur de rêve et d'haleine printanière..." ( Azra )

Chama tafalkayt, illustration de Atanane
 
tanmirt

pour Aksel,

Je voudrais bien voir l'illustration que tu as faite de mon poème "portrait d'une femme".
merci
 
azra said:
pour Aksel,

Je voudrais bien voir l'illustration que tu as faite de mon poème "portrait d'une femme".
merci

les illustrations disparaissent parfois Azra; il arrive parfois qu'elles ne s'affichent pas; mais je t'assure qu'elles y sont : il faut fermer la fenêtre et y revenir.:) Difficile à illustrer, ce poème ;-)
 
Chama

Aksel, merci pour tes ilustrations et tes commentaires.
je trouve que CHAMA est plus adéquate pour "le portrait d'une femme" .
 
azra said:
Aksel, merci pour tes ilustrations et tes commentaires.
je trouve que CHAMA est plus adéquate pour "le portrait d'une femme" .

C'est fait, Azra! Continue pour notre grand plaisir à nous faire partager tes poèmes.

At tayyad, Atanane
 
yadli.gif


YADLI, GHASS D AZKKA
TAMAZGHA
RA TILI BDDA!

( Huile sur toile, détail, de Atanane. Tous droits réservés sauf accord de l'auteur )​
 
Amour éternel
Et moi je t'écouterais parler durant des heures, je me pencherais sur tes blessures, sur tes moments de joie et de bonheur.
Je panserais tes maux et sècherais tes pleurs, je baleyerais ta route, appaiserais ton coeur.
J'apprendrais la patience, accepterais mes torts, je me plierais en quatre pour etre prés de toi, t'aimant chaque jour plus fort.

Je partagerais tes espoirs et chacune de tes croyances, j'imaginerais tes rêves, devinerais ce que tu penses.
Je t'encouragerais sans cesse pour t'amener plus haut et plus loin, avec délicatesse et toujours avec soin.
Je croirais en toi, chaque jour qui se feront et tout le temps avec foi.
Tes sourires seront, pour moi, ma plus grande récompense et mon plus beau cadeau, ils me feront briser les barrières, me libèrerons de tout fardeaux.

Et quand les jours pluvieux apparaitrons, je te ferais oublier le temps, quand les beaux jours reviendront, je serais là autant qu'avant..
Je prierais les Dieux pour jamais te voir souffrir, j'implorerais les cieux pour te préserver du pire.

J'éffleurerais ton âme pour éffacé les séquelles du temps, les mauvais souvenirs d'avant..
Soulagerais les rancunes du passé, éloigneré l'amertume oublier..

Je t'aimerais au grés des saisons, toujours aussi fort et avec passions.
Bénierais chacun de tes pas, pour chaque jours te faire un peu plus avancer et croiserais sans cesse les doigts pour que ta vie soit signe de prospéritée.

Je te regarderais comme jamais, aucunes autres personnes, je n'ai regardais car c'est dans tes yeux que je veut m'épanouir, me voir vivre, éxister..

Je me nourirais de tes rires et de tes regards et je sais qu'à tes cotés je prendrais un nouveau départ.

Je veillerais sur toi nuits et jours pour que meme dans ton sommeil mon amour te parcourt.

Je veux marcher prés de toi, pour ne plus jamais tomber, je veut croire en toi et moi pour que demain s'unissent nos destinées.

Je te contemplerais chaques minutes ou je vie pour ne jamais rater un seul instant de ta vie.

Par j+
 
Ayuz nek agma Ait Ali d tanmirt imqqorn bahra f tamdyazt ad ifulkin. Awal nek irgha, ifjjij zund tafukt n tayri. Ak iserbeh Rebbi ifkak ghayli tra tasa nnek. Atanane

imrrayen3lm.gif


Imrayen​
 
OOOOOOOOOhhhhhhhhh c magnifique tout sa Atanane,

j'en perds mes mots,

je contemple et je lis avec plaisir comme toujours,

c'est tellement beau l'amour !!!
 
ahh wa oultmanou Taboudrart, ur igi ghayad winu. imuddakeln nnegh Azra d Ait Ali ad fkan agh tamakhirt ad; imma nkki gigh ghilad zund atbir ur ittaf a yelkem tajddigt a tra tasa nnes. Ur ttafgh sul iwaliwn n tayri ulla tazddart i amarg.
l'inspiration manque en ces temps- ci; peut- être que le printemps apportera de nouvelles fleurs. Merci quand même.
 
aksel said:
ahh wa oultmanou Taboudrart, ur igi ghayad winu. imuddakeln nnegh Azra d Ait Ali ad fkan agh tamakhirt ad; imma nkki gigh ghilad zund atbir ur ittaf a yelkem tajddigt a tra tasa nnes. Ur ttafgh sul iwaliwn n tayri ulla tazddart i amarg.
l'inspiration manque en ces temps- ci; peut- être que le printemps apportera de nouvelles fleurs. Merci quand même.


kiyé nghd kra yadni,

i fulki niss lxir add.

akun i hawn Rbi

i fkayagh l'inspiration ,
(désolé je ne sais pas comment dire "inspiration")....
 
LA MAGIE DE L'AMOUR

L'amour ressemble à de la magie
Et cela sera toujours le cas
Car l'amour reste encore
Le mystère doux de la vie!
L'amour fonctionne d'une façon
Merveilleuse et étrange
Et il n'y a rien dans la vie
Que l'amour ne puisse pas changer!
L'amour peut transformer
L'endroit le plus banal
En beauté , splendeur,
Douceur et grâce.
L'amour est désintéressé,
Compréhensif et bon,
Car il voit avec son coeur
Et pas avec son esprit!
L'amour est la réponse
Que tout le monde cherche...
L'amour est la langue
Que chaque coeur parle
L'amour ne peut pas être acheté
Il n'a pas de prix et il est libre
L'amour, comme de la pure magie,
Est le doux mystère de la vie
POUR j+
 
Tayri iga zund tawargit n tuddert.
Sul ra tddert, wa ahbib inu
igh ukan tlli dark tayri gh tasa nnek
wanna ur ittaf tayri
ur issen yat i tuddert ad!

ulawn negh gan zund urtan
ijddign sen tayri ast igan
wanna ur ittaf tayri
tuddert nes tga zund lhbaq bla tujjut

Tayri ifjjij, tayri irgha zund tafukt
izenzarn ness ad gan tumert n ddunit ad
wanna ur ittaf tayri
zund igh ur jju izra tifawt n azal

hmelgh kem, righ kem, wa tayri nu
kmmin at git tifawt n dddunit inu
kmmin at git ajddig n urti nu
kmmin at git tawargit n tuddert inu.
:p
 
aksel said:
Tayri iga zund tawargit n tuddert.
Sul ra tddert, wa ahbib inu
igh ukan tlli dark tayri gh tasa nnek
wanna ur ittaf tayri
ur issen yat i tuddert ad!

ulawn negh gan zund urtan
ijddign sen tayri ast igan
wanna ur ittaf tayri
tuddert nes tga zund lhbaq bla tujjut

Tayri ifjjij, tayri irgha zund tafukt
izenzarn ness ad gan tumert n ddunit ad
wanna ur ittaf tayri
zund igh ur jju izra tifawt n azal

hmelgh kem, righ kem, wa tayri nu
kmmin at git tifawt n dddunit inu
kmmin at git ajddig n urti nu
kmmin at git tawargit n tuddert inu.
:p

YA SALAM..
 
Point d'oubli

J'ai tout effacé autour de nous. Pendant tout ce temps. J'ai fait abstraction de tous les prétendus bons usages et de la discrétion nomade.
Tous tes gestes et les miens exprimaient un rapprochement et un attachement réciproques qui ne pourraient pas avoir de lendemain; un éphémère ne vit qu'un jour, il se libère, s'envole, prend le temps de s'accoupler, se reproduit et meurs. Nous n'avons pas la chance des éphémères ni la patience des éternels, à peine on se croise que déjà arrivent le moment des adieux.
Adieu Mamas, l'astre qui a permis notre rencontre est trop jaloux pour nous voir nous embrasser sous son hublot.
Adieu Mamas, tu es un orage qui ne tolèrera pas ma faiblesse, le calme de mon océan ne souffrira pas l'agitation de tes voiles…un jour peut-être, peut-être qu'un jour la poutre des tes voiles se brisera et tu accostera sur une de mes rives.
De loin, je te vois qui me rapporte cette nouvelle fatidique.
Je ne me réjouis que de ta présence, de ton approche, de ton retour… Je n'ai cessé de penser à toi, au réveil comme dans mes rêves. Tes photos et les objets divers que tu as effleuré de tes mains, que tu as caressés de ton regard, tout me rappelle que tu étais là un soir du mois de Mars. Hélas, j'ai épuisé toutes mon baroude au premier jour de notre rencontre.
Un homme qui ne peut souffrir ton absence plus d'un jour, sans t'écrire, sans crier ton nom.
Si j'étais moins sincère, ignorerais-tu tellement la flammes des mes sentiments ? Serai-je plus convainquant, serai-je plus persuasif dans la déclaration de ma passion ?
J'ai lâché le mot, la balle est partie, je t'ai aimé au premier jour, au premier instant jusqu'au dernier degré de la folie meurtrière.
Je suis atteint de ton syndrome. J'ai besoin de toi comme du boire et du manger.
Je ne suis jamais aussi heureux que quand je t'ai devant les yeux, entre les bras.
Je suis écartelé entre deux besoins, celui de me jeter à tes pieds pour t'adorer et celui de te déchiqueter pour lutter contre ce que tu m'inspires.
Je ne suis pas dévoué, je suis dévot de toi. A ton insu, ta divinité a jeté son dévolu sur moi et tu m'es vouée comme la vierge est vouée au ciel, comme un dieu n'appartient qu'à celui qui y croit.
 
Tu es l’aire que je respire
Le sang qui coule dans mes veines
L’eau qui me donne la vie
La joie dans ma détresse
Le soleil de mes ténèbres
Mes larmes de bonheur
Mes moments de douceur
Mes sensations de chaleur
Mes remèdes du cœur
Des printemps qui se poursuivent
Des fleures qui ne meurent jamais
Des cieux toujours dégagées
Des étoiles en pleins jours
Des jours sans nuits
Je t’aime pour tout ce si
Et pour tout ce que je suis
Dés que dans ma vie tu as apparu.
 
Il n’y à qu’un seul homme au monde pour moi et c’est toi,
Jamais avant la Terre ne m’avait paru si ronde,
Il n’existe ni ciel, ni enfer,
Que toi et moi sur cette Terre.

Rien qu’un seul homme mondial,
M’a écoutée, comprise et à jamais conquise,
Lui seul ne m’a jamais traitée comme les autres le font si mal,
Et c’est toi cet homme dont je suis follement éprise.

Tu as tous les droits sur mon cœur,
Toi sans qui je ne peux vivre,
Tu lis en moi comme un livre ouvert,
Rien que de penser à toi, je me sens ivre,
Tu es mon soleil en hiver,
Et j’ai enfin trouvé mon âme sœur.

Rien ne pourra nous séparer,
Même si la Terre, elle-même, venait à disparaître,
Nos atomes erreront ensemble pour l’éternité,
Dans l’immensité de l’Univers,
A la recherche d’un endroit où renaître,
Sous des cieux plus cléments et plus clairs.
 
Toi, qui m'attires
Toi, qui m'attires.
Toi, qui par un sourire,
M'as plu dès la première fois,
Et m'as fait espérer, qu'il y aurait d'autres fois.
J'aimerais te dire que tu me plais.
Te faire savoir que je suis moi,
Dès que je suis près de toi.
Et que j'aimerais que tu restes là.
À quoi ça sert de me battre,
ceci est un vrai tour d'acrobate.
Je suis sur une corde raide,
et, je voudrais que tu m'aides.

Mon coeur est en balance.
Ton regard est comme une lance.
Tu l'as projeté jusqu'au dedans,
dans mon corps, tu as atteint mon coeur.
Toi, qui m'émerveilles.
Qui m'élèves jusqu'au ciel.
Comme un oiseau,
je me poserai dans tes lieux
 
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