L histoire frelatee des banu Hillal au Maroc

Adrar-n-illouz

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Chers amis:
Voici le genre de litterature de basse facture qui est destinee a emberlificoter les internautes et les lecteurs.Ce genre de litterature est signe par un soit disant intellectuel marocain voulant exposer non pas la verite historique ,mais une pseudo verite pour mieux encore dissimuler la realite historique.
Si au moins cet intellectuel a eu le niveau de sincerite d Ibn Khaldoun nous ne pouvons que nous rejouir.Mais cet intellectuel traversit toutes les donnees historiques y compris des verites semantiques qu il a ttribuent falacieusement aux Arabes.
Je signale 3 points que j ai releves en lisant en diagonale ce document ideologique:

1/La dynastie shiite isamelienne des Fatimides n a pas ete fondee par des Arabe s mais par des Amazighes de Kuttama qui selon l ideologie shiite ismaelienne croit a la metempsychose,c est a dire la migration des Ames.Or il est admis et Ibn Khaldoun le signale que le 6me khaliphe shiite n a pas laisse de descendant male a l exception d un enfant mort en bas age et l ame de cet enfant-Imam est nee dans le corps d un Amazighe nomme Ubaydallah Al chi3i.C est cet Imam fondateur du mouvement Fatimide que notre intellectuel qui n a pas sans doute Ibn Khaldoun pretend qu il est d origine arabe.

2/Le verbe Hallala existe bel et bien dans la Bible hebraique et l arabe n a fait que le reprendre.Dire que les Bani Hillal ( Fils du Croissant) prennent pour embleme ou symbole le Croissant c est montrer une ignorance totale d el archeologie amazighe d avant Jesus christ.Les Tombes amazighes et les steles portent le Croissant comme signe funeraire depuis l epoque de Massinissa et bien avant dans l Antiquite.Le CROISSANT comme symbole de l Islam a ete l embleme des Turcs ottomans et non des Arabes.

3/Les banu Hillal et Maqel ont ete intercepte par l Ancetre des Ait Atta au XIII siecle au large de Figuig et Tindouf et a livre des batailles qui ont dure des siecles .Notre intellectuel semble avoir occulte la RESISTANCE des AIT ATTA .Il a aussi passe sous silence le role joue par les Alaouites pour dominer le Maroc en se fondant sur les tribus suppletives Banu Hilla qu ils avaient placees autour de Fes ,Meknes et la route de Tanger -FesLa colonisation arabe du GHARB est l oeuvre des Alaouites.

Je laisse les amis internautes le soin de relever les autres betises de notre INTELLO aus ervice du Makhzen et de la betise .
L'Économiste


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La marche épique des Béni Hilal de la péninsule arabique aux côtes atlantiques

Par Mouna Hachim, écrivain-chercheur

Mouna Hachim est universitaire, titulaire d’un DEA en littérature comparée à la Faculté des lettres de Ben M’Sick Sidi Othmane. Depuis 1992, elle a éprouvé sa plume dans les métiers de la communication (en tant que concepteur-rédacteur) et dans la presse écrite, comme journaliste et secrétaire générale de rédaction dans de nombreuses publications nationales. Passionnée d’histoire, captivée par notre richesse patrimoniale, elle a décidé de se vouer à la recherche et à l’écriture, avec à la clef, un roman, «Les Enfants de la Chaouia», paru en janvier 2004. Une saga familiale couvrant un siècle de l’histoire de Casablanca et de son arrière-pays. En février 2007, elle récidive avec un travail d’érudition, le «Dictionnaire des noms de famille du Maroc» qui donne à lire des pans essentiels à la compréhension de l’histoire du Maroc sous le prisme de la patronymie.

Ils sont responsables de l’événement le plus bouleversant du Moyen Âge maghrébin. Ils marquent profondément de leur langue et de leur culture, le monde rural comme ne l’ont pas fait les conquérants arabes dans tout le Maghreb, quatre siècles avant eux. Ils sont décrits à la fois comme des nuées dévastatrices de sauterelles, des poètes exaltés et d’héroïques chevaliers. Ce sont les bédouins Béni Hilal. Leur geste, dite Taghriba (ou Marche vers l’Ouest) raconte, de génération en génération, leur parcours épique, depuis les plateaux d’Arabie jusqu’aux plaines atlantiques.
Pour comprendre la composante ethnique du Maghreb, battre en brèche les théories fallacieuses relatives à son arabisation forcée et se laisser tout simplement charmer par cette épopée, allons donc sur les traces des tribus Béni Hilal, depuis leur berceau dans le Nejd, jusqu’à leurs tumultueuses chevauchées au Maghreb...
Par Béni Hilal, il faut d’abord comprendre un nom générique, regroupant un ensemble de tribus bédouines. Ce sont les Zoghba, Riah, Athbedj, Jochem, Beni Montafik (dits Khlot), Rebiâ, ‘Addi... qui se subdivisent chacune d’elle en d’innombrables tribus et familles. Toutes ces tribus répondent donc au nom de Béni Hilal, «Fils du Croissant de Lune», emblème actuel de l’Islam, auparavant doté de valeur esthétique et symbolique, accompagnant fidèlement la marche intemporelle des nomades... Ce n’est pas pour rien que le verbe Hallala, de même souche sémantique, désigne l’action d’exulter et de chanter la gloire de l’Eternel...
Maîtres des vastes plateaux du Nejd, au cœur de la péninsule arabique, s’y trouvant encore pendant le règne abbasside, les Béni Hilal avaient déjà très mauvaise réputation. Derniers convertis à l’Islam, ils étaient connus pour leurs brigandages aux fronti res de l’Irak et de la Syrie. Avec le mouvement révolutionnaire ismaélien des Karmates de Bahreïn et de Oman, les Béni Hilal participent en 930 au pillage de La Mecque dans leur combat contre les Fatimides. C’est ainsi que ces derniers, aussitôt maîtres de l’Egypte et fondateurs du Caire en 969, s’empressèrent de cantonner les turbulents bédouins hilaliens au sud du pays, sur la rive droite du Nil...
Rappelons, pour mieux comprendre le cours des choses, que les Fatimides sont des Arabes chiites, fondateurs d’un califat dissident par rapport au califat de Bagdad. Tout a commencé avec l’imam et missionnaire propagandiste ‘Ubayd Allah El-Mehdi, originaire de Syrie, qui a prêché la bonne parole chiite chez les Ketama. Peu à peu, avec l’aide des Berbères, les Fatimides établissent leur autorité en Afrique du Nord et mettent fin au règne des princes aghlabides, basés à Kairouan sous l’autorité des califes de Bagdad. En 909, ‘Ubayd Allâh El-Mehdi se proclame calife, avec pour capitale Mehdiya, dans le Sahel tunisien. Renforçant leur pouvoir, les Fatimides prennent l’Egypte avec l’aide des Berbères. Ils fondent près de la ville de Foustat, Al-Qahira (Le Caire), la Victorieuse, devenue leur capitale. Poursuivant leurs conquêtes en Syrie, à Malte ou en Sicile..., ils laissent la direction de l’Ifriqiya aux gouverneurs berbères du Maghreb central.
C’est Bologuine Ibn Ziri qui devient alors vice-roi avec Kairouan comme capitale. Il atteint même les côtes atlantiques dans ses expéditions contre les hérétiques Berghwata, tout en occupant Fès ou Sijilmassa.
Mais trois générations plus tard, sous le règne du prince ziride El-Moïzz Ibn Badis, des signes d’autonomisme sont montrés envers le califat fatimide du Caire, en faveur des Abbassides d’obédience sunnite. Le souverain fatimide du Caire El-Mostansir décide alors de châtier son vassal pour son insubordination en faisant d’une pierre deux coups. C’est là où entrent en jeu les Béni Hilal, étant envoyés pour envahir un insoumis, tout en libérant un espace où ils se faisaient gênants.
C’était vers 1050, date de la migration des Béni Hilal vers l’Ouest. Le nombre de personnes débarquées en Afrique du Nord est alors estimé à 250.000 personnes dont 50.000 guerriers.
Ces tribus et familles entières ne pouvaient qu’imposer leur loi de survie qui consiste en la recherche d’eau et de pâturages. D’établir le jeu et le hasard des alliances, à la fois sur le plan politique et sur le plan de l’organisation sociale dans son rapport de dualité et de dépendance entre la vie nomade, le mode pastoral et celui des sédentaires qu’ils soient citadins ou agriculteurs.
Les jugements ont été catégoriques sur les Béni Hilal depuis qu’Ibn Khaldoun les a comparé à des nuées dévastatrices de sauterelles, ravageant tout sur leur passage. Quoi qu’il en soit, les Hilaliens ont été assurément la tempête qui a secoué le Maghreb, apportant son lot de brassages humains et culturels, contribuant à son arabisation en profondeur.
Bientôt suivis des Béni Soleim, au parcours similaire, ils marquent tous une halte à Barka en Tripolitaine. Sous la direction d’Abou Zayd El-Hilali, ils pénètrent en 1051 en Tunisie et commencent par s’allier avec le chef berbère El-Moïzz ibn Badis contre ses frères ennemis Hammadides à l’ouest. Le prince ziride donne à ce titre une de ses filles en mariage au cheikh arabe des Riah. Parallèlement, les Hammadides obtiennent l’aide des bédouins Athbej qui combattent leurs cousins Riah. C’est dire que les luttes pour le pouvoir et les alliances politiques n’ont ni un caractère ethnique, ni irrévocable.

· Avènement des Almohades

Se livrant au pillage dans le sud du pays, les Béni Hilal ne tardent pas à être opposés à l’armée d’El-Moîzz. Mais ce dernier subit une grande défaite près de Gabès tandis que Kairouan, sa capitale fortifiée, résiste cinq ans, avant d’être occupée et livrée au saccage. Affaibli, il déplace donc sa capitale à Mehdiya, sous la pression des Béni Hilal qui précipitent peu à peu sa chute. Une chute à laquelle ont participé également les Berbères Hammadides ainsi que les Normands de Sicile qui ont occupé pendant douze ans Mehdiya.
Mais revenons aux Béni Hilal, lesquels après le sac de Kairouan en 1057, poursuivent leurs désordres avec notamment la prise de Bougie. L’anarchie qu’ils provoquent est aussi dangereuse dans les cités que dans les campagnes dévastées sur le plan agricole. Il a fallu attendre l’avènement des Almohades pour assister au rétablissement de l’ordre. Abd-El-Moumen, maître d’une dynastie qui allait unifier le Maghreb et l’Andalousie, avec Marrakech comme capitale, marche en effet sur Bougie en 1152. Après sa victoire, il laisse son fils Abd-Allah à la tête d’une armée qui prend la forteresse d’El-Qalaâ où il remporte une grande victoire sur les Hammadides, avant de casser l’autorité des Hilaliens regroupés à la bataille de Sétif qui s’est déroulée dans la plaine du même nom en 1152.
Cette bataille est dite également «Bataille des femmes» parce que les femmes y assistaient d’en haut de leur litière, sachant qu’elles appartiendraient aux vainqueurs. Les vaincus sont en effet transportés à Marrakech avec femmes et enfants. C’était environ un siècle après l’arrivée des premières vagues bédouines au Maghreb.
En 1161, les Béni Hilal, à nouveau révoltés, sont encore écrasés près de Kairouan dans une bataille contre l’armée du sultan almohade Abd-el-Moumen. Mille personnes de chaque tribu Jochem sont alors contraintes de fournir des contingents pour les guerres en Espagne.
Déplacés ainsi massivement vers les côtes occidentales pour être enrôlés dans la guerre sainte en Andalousie, les Béni Hilal le sont aussi par les souverains successifs. Des campements étaient ainsi disponibles dans les régions de Cordoue, de Séville, de Jérès où les Béni Hilal ont eu beaucoup de descendants.
Mais c’est surtout après la bataille de Gabès en 1187 que les tribus bédouines insoumises sont déportées en grand nombre au Maroc. Livrée par le sultan almohade Yaâqoub El-Mansour contre les bédouins qui ont comploté avec son ennemi, le dernier almoravide Ali Ghania, la bataille de Gabès eut pour conséquence la déportation des Béni Hilal dans les plaines atlantiques.
Les tribus Riah sont ainsi installées dans le Gharb et les Jochem dans la Chaouia, avant d’élargir leurs parcours, à Doukkala, dans le pays Haha ou dans le Souss. Avec l’affaiblissement des Almohades, les Béni Hilal (principalement les Khlot) apportent leur aide militaire aux Mérinides Zenata, comme le font les bédouins Zoghba avec les Abdelwadides de Tlemcen ou comme le font les Arabes Soleim avec les Hafsides de Tunisie.

· Extraordinaire saga

Nomades coupés du désert, les guerriers Béni Hilal se sédentarisent peu à peu, se mélangent aux cultures autochtones amazighs tout en contribuant à arabiser en profondeur le monde rural, jusque-là de culture et de sang berbère. Une arabisation renforcée avec l’aide des Arabes Maâqil, d’origine yéménite, arrivés au Maroc au XIIe siècle, reléguées dans le désert par des tribus plus puissantes, avant d’effectuer leur montée dans le Souss, puis partout à travers le Royaume.
Toutes les plaines marocaines (Chaouia, Tadla, Doukkala, Haha, Haouz, Gharb, Saïss, Souss...) avec leurs différentes cités sont pleines des descendants des Béni Hilal qui se sont mêlés à travers les siècles aux Berbères autochtones. D’innombrables familles marocaines seraient issues de leur filiation: les Sbihi, Awwad, Gharbi, Maâroufi, Fekkak, Sehimi, Reghay, Ayyadi, Aroui, Kholti, Soufiani, Harthi, Gueddari, Malki, Jamaî ou encore les Hilali de Doukkala qui se réclament de la lignée directe d’Abou Zayd el-Hilali...
Dans les veillées familiales privilégiées, comme jadis dans les places publiques, se racontent du Yémen au Maroc, l’épopée des Béni Hilal et le récit poétique et mythique de leur migration.
Cette geste varie selon les pays que l’on soit à Bahreïn ou à Oman, à Doukkala ou à Tunis El-Khadra. Mais des figures reviennent comme des archétypes, tels que le chevalier Diyab ou la belle Jizya El-Hilaliya. Chaque pays devient également le cœur de cette extraordinaire saga et se réapproprie la symbolique de cette Illiade arabe. Une épopée mi-historique mi-légendaire retraçant une gigantesque marche humaine, donnant des éclairages saisissants sur la richesse des hommes du terroir et sur la mentalité profonde des nomades.

Quelques tribus marocaines d’origine hilalienne


Parmi les tribus Béni Hilal introduites en grand nombre au Maroc sous le règne du sultan almohade Yaâqoub El-Mansour en l’an 1188:
■ Les Khlot. Installés dans la Chaouia, ils y laissent une fraction, incorporée à la tribu Achache, alors que les groupes les plus importants sont plus tard cantonnés dans le Gharb. Rivaux inconditionnels des bédouins Soufiane, les Khlot jouent aux alliances croisées entre les derniers souverains almohades.
Fervents partisans des successeurs Mérinides, ils font partie de leur Makhzen et de leur armée et connaissent deux siècles de pouvoir et de prestige.
Dominant le Haut-Gharb, les Khlot jouissent du même prestige sous les Wattasides, avant de soutenir le Saâdien Mohamed Cheïkh qui sera défait par le Wattasside Abou Hassoun. Afin de châtier les Khlot, ils sont retirés du registre de l’armée et soumis à l’impôt, tandis que certains de leurs groupes restent en otage à Marrakech.
Réputés pour leur courage contre les Ibères, les Khlot se démarquent également à la bataille de Oued El-Makhazine, ce qui amène le sultan saâdien à en incorporer la moitié dans l’armée et à déplacer l’autre moitié dans l’Azghar où les Khlot se multiplient et accumulent des biens.
Désarmés comme beaucoup de tribus sous le règne du sultan alaouite Moulay Ismaïl, ils sont encore une fois regroupés sous le règne de Moulay Abd-er-Rahmane, formant le gros de l’armée, avant de compter au rang des tribus Naïba (soumises à l’impôt contrairement aux tribus guich) sous le règne du sultan Moulay El Hassan Ier.

■ Les Soufiane. Branche de la grande tribu des Jochem, les Soufiane sont cantonnés dans la Chaouia où ils fournissent des chefs aux Jochem, depuis leur arrivée au Maroc et pendant tout le règne almohade.
Après avoir étendu leur territoire sur Doukkala et Abda, les Soufiane, vaincus par leurs rivaux Khlot prennent la destination du Souss et du pays Haha.
Là, près de Oued Tensift se trouve une de leurs importantes fractions, dite Harth dont l’une des ramifications est constituée par les Oulad Mtaâ.
Rejoignant les Saâdiens au XVIe siècle, ils sont installés après la victoire de Oued El-Makhazine dans le Gharb où nous les trouvons depuis, sur la rive droite de Oued Sebou, dans le voisinage de leurs cousins Béni Malek.

■ Les Béni Jabir. Tirant leur nom d’un ancêtre légendaire appelé Jabir Ibn Jochem, ils sont installés dans la Chaouia. Prenant part aux querelles dynastiques à la fin du règne des Almohades, ils échappent à leur vindicte en se retirant dans la province de Tadla. Là, ils se mêlent aux tribus berbères au point de se confondre avec elles et continuent à jouer un rôle politique effectif dans la région jusqu’au XVIe siècle.
Dans un ouvrage dédié à la région de Béni Mellal, Moustapha Arbouch nous apprend que la tradition orale attribue huit fils à l’ancêtre éponyme des Béni Jabir: Ouardigh, Meskine, Serghin, Moussa, Amir, Atab, Mellal, Meghil, ancêtres éponymes de tribus de la province de Tadla et de ses environs.
 
Re : L histoire frelatee des banu Hillal au Maroc

I want to add one point; the Hillaliens are not Arabs but from Yemeni origin.
During the period when the profet Muhammad SAW/AFA the whole region southern MEKKA were calles 3AJAMI with other words NON-ARAB speakers and better said NON-ARABS.

This important fact is often forgotten specialy by people who claim to be from the HILALI Branche ;-)
 
Re : L histoire frelatee des banu Hillal au Maroc

Je ne comprend pas cet acharnement contre l'auteur et son insulte systématique sur le forum Souss.com.
Les trois "critiques" dressées par Adrar sont pour le moins que l'on puisse dire, légères.
- La dynastie des Fatimides a été fondée par l'arabe chiite ismaélien syrien Ubayd-Allah el-Mehdi avec l'aide des Berbères, comme stipulé dans l'article.
- Que le verbe hallala existe dans la Bible, chez les Turcs ou chez les Berbères, là, n'est pas le propos. Il existe aussi chez les Arabes, en l'occurence Hilaliens, seuls objets de cet article.
- Que les Aït Atta aient livré des combats aux Béni Hilal nul ne le conteste. L'article dresse en deux pages une saga complexe où il s'agit de guerres mais aussi de brassages.

Concernant la remarque sur l'origine yéménite, elle est valable pour certaines branches, mais il est entendu que les Hilaliens étaient maîtres des plateaux du Nejd au Hijaz.

Enfin de grâce, argumentez de manière mesurée et dépassionée. L'auteur n'est à la solde de personne mais envisage avec beaucoup de courage une histoire que d'aucuns cherchent à manipuler pour des raisons non-avouables.

PS. que pouvez-vous nous dire sur les Ilalen du Souss dont beaucoup de réclament d'origine jaâfarite, venus dans le sillage des Béni Hilal?
 
Re : L histoire frelatee des banu Hillal au Maroc

Comment un syrien comme Ubaydallah puisse se rendre incognito a Sijilamassa precher aux Berberes en amazighe?
As-tu lu Ibn Khaldoun et ce qu il dit sur les Ismaeliens et surtout sur la metempsychose ?
As-tu lu Ibn Khaldoun ,pour ne garder que cette source bibliographique , au sujet de la descendance des Imams shiites?
L auteur en question travestit l histoire par une lecture tres oblique destinee a faire des Amazighes des imbeciles qui se laissent coloniser par des hordes d Arabes MOUSTAJAMA comme les a qualifiees Ibn Khaldoun.
Toi Arabesques, tu travailles pour l auteur si tu n es pas l auteur lui-meme.Je sais que cet auteur visite les forums amazighe pour produire sa litterature au service du Makhzen.
Tu pretends que les Ait Atta n ont jamais affronte les Banu Hillal au Moyen age, ce qui temoigne de ton aveuglement sur l histoire du Maroc.
L auteur a bien lu Camps et son fameux livre sur les Berberes. D ailleurs le titre de SAGA utilise par l auteur est enprunte a Camps et meme l idee generale de l article se trouve dans l ouvrage de Camps.D ailleurs des passages de l article sont calques sur le travail de Camps.
Alors je me demande pourquoi l auteur n a t il pas lu tout Camps pour trouver que l Ancetre des Ait Atta s etait oppose aux Banu Hillal et Maqil au XIV siecle.Camps la bien signale et developpe quand il traita de la SAGA des Banu Hillal.
Les mercenaires Hilaliens sont identiques a eux memes a travers l histoire et une grande branche demeure fidele au mercenariat dans les camps de Tindouf.Le brassage a eu sans doute mais la mentalite belliqueuse divisine et mercenaire n a pas change.Il faut visiter un site du Polisario pour s en rendre compte.
Je trouve ton intervention non pas superficielle, mais tres intelelctuelle et meme un modele a suivre pour les internautes.J espere que tu repondras a mes questions.
En attendant il faut lire Ibn Kahldoun au sujet de la metempsychose qui a permis un Imam mort au Yemen de naitre chez les Berberes .C est un peu ce qui se passe chez les Bouddhistes du Tibet: quand le Dai lama meurt ,on ratisse la campagne pour voir ou il va naitre.


Je ne comprend pas cet acharnement contre l'auteur et son insulte systématique sur le forum Souss.com.
Les trois "critiques" dressées par Adrar sont pour le moins que l'on puisse dire, légères.
- La dynastie des Fatimides a été fondée par l'arabe chiite ismaélien syrien Ubayd-Allah el-Mehdi avec l'aide des Berbères, comme stipulé dans l'article.
- Que le verbe hallala existe dans la Bible, chez les Turcs ou chez les Berbères, là, n'est pas le propos. Il existe aussi chez les Arabes, en l'occurence Hilaliens, seuls objets de cet article.
- Que les Aït Atta aient livré des combats aux Béni Hilal nul ne le conteste. L'article dresse en deux pages une saga complexe où il s'agit de guerres mais aussi de brassages.

Concernant la remarque sur l'origine yéménite, elle est valable pour certaines branches, mais il est entendu que les Hilaliens étaient maîtres des plateaux du Nejd au Hijaz.

Enfin de grâce, argumentez de manière mesurée et dépassionée. L'auteur n'est à la solde de personne mais envisage avec beaucoup de courage une histoire que d'aucuns cherchent à manipuler pour des raisons non-avouables.

PS. que pouvez-vous nous dire sur les Ilalen du Souss dont beaucoup de réclament d'origine jaâfarite, venus dans le sillage des Béni Hilal?
 
Re : L histoire frelatee des banu Hillal au Maroc

Adrar, que je sois l’auteur de l’article ou pas, n’est pas l’essentiel. Vous êtes dans la diffamation contre elle en revanche, et attends vos preuves quant à ses accointances avec qui que ce soit. Tout le reste n’est que calomnie...
Sortez n’importe quel livre sur les Fatimides, il vous apprendra qui est le fondateur de cette dynastie, mise en place évidement avec l’aide des Berbères qui l’ont aidé à la conquête de l’Egypte comme stipulé dans l’article.
Par ailleurs, vous me faites dire par mauvaise foi, ce que je n’ai pas dit. Où j’ai écrit plus haut que les Aït Atta n’ont pas combattu les Béni Hilal ? J’ai juste dit que l’article sur deux pages ne pouvait pas faire le tour de toutes les guerres entre les Béni Hilal et les Amazighs en Afrique du Nord. Guerres mais aussi brassages. J’attends d’ailleurs votre réponse sur les Ilalen du Souss.
Enfin, je vous mets au défi de trouver une trace de plagiat de Camps. Je ne savais pas que le mot Saga était une invention rare et un néologisme inventé par Camps. Je vous signale juste en passant que l’auteur universitaire, a consacré cinq années pleine de sa vie à la rédaction de son livre sur les familles où elle a eu le temps de se familiariser avec ces sujets-là. Kitab el-Ibar d’Ibn Khaldoun apparaît d’ailleurs dans sa bibliographie au même titre que quelques 750 ouvrages.
Au fait, ce qui vous dérange c’est que l’auteur à travers une étude approfondie et extrêmement documentée détruit les théories de ceux qui veulent manipuler l’histoire du Maroc pour échafauder des théories chauvinistes où il n'yarait que sang et guerres entre les Arabes et les Amazigh en contradiction avec les données de l'Histoire.
 
Re : L histoire frelatee des banu Hillal au Maroc

Finalement tu admets que tu te caches derriere un pseudo.
Puisque tu es au courant d e la bibliographie et de la duree passee a elaborer cet article , peux tu faire la comparaison entre ce qu a ecrit Camps et ton auteur?
Pour quels motifs l auteur exalte ces Arabes alors que nous savons tous que ces Arabes ont ete la cause et la ruine du Maroc autrefois et aujourdhui avec le conflit du Sahara occidental?
Tu dois etre embarasse cher ami par mes deux lignes au point que tu les considere comme une diffamation.Qu en fais-tu de la critique legeitime que suscite n importe quel ecrit.Devrai-je admettre et avaler les betises de ton auteur sans reagir?
As-tu au moins lu les limites de l interpretion d Unberto Eco?
J ai passe plus de 40 ans a lire Ibn Khaldoun et l histoire des Amazighes et je suis venu a l idee que le desastre qui a frappe le Maroc et l Afrique du Nord en general est du a l element arabe.Au Maroc l element arabe a divise le pays et empeche son unite.A l a penetration francaise l element arabe a baisse les mains ets euls les Amazighes ont continue la lutte pour leur pays.
Le role historique des Banu Hillal se resume a du bandisme et au mercenariat.




Adrar, que je sois l’auteur de l’article ou pas, n’est pas l’essentiel. Vous êtes dans la diffamation contre elle en revanche, et attends vos preuves quant à ses accointances avec qui que ce soit. Tout le reste n’est que calomnie...
Sortez n’importe quel livre sur les Fatimides, il vous apprendra qui est le fondateur de cette dynastie, mise en place évidement avec l’aide des Berbères qui l’ont aidé à la conquête de l’Egypte comme stipulé dans l’article.
Par ailleurs, vous me faites dire par mauvaise foi, ce que je n’ai pas dit. Où j’ai écrit plus haut que les Aït Atta n’ont pas combattu les Béni Hilal ? J’ai juste dit que l’article sur deux pages ne pouvait pas faire le tour de toutes les guerres entre les Béni Hilal et les Amazighs en Afrique du Nord. Guerres mais aussi brassages. J’attends d’ailleurs votre réponse sur les Ilalen du Souss.
Enfin, je vous mets au défi de trouver une trace de plagiat de Camps. Je ne savais pas que le mot Saga était une invention rare et un néologisme inventé par Camps. Je vous signale juste en passant que l’auteur universitaire, a consacré cinq années pleine de sa vie à la rédaction de son livre sur les familles où elle a eu le temps de se familiariser avec ces sujets-là. Kitab el-Ibar d’Ibn Khaldoun apparaît d’ailleurs dans sa bibliographie au même titre que quelques 750 ouvrages.
Au fait, ce qui vous dérange c’est que l’auteur à travers une étude approfondie et extrêmement documentée détruit les théories de ceux qui veulent manipuler l’histoire du Maroc pour échafauder des théories chauvinistes où il n'yarait que sang et guerres entre les Arabes et les Amazigh en contradiction avec les données de l'Histoire.
 
Ibn Khaldûn

Shalom,

Parmi les sectes chiites appelés les «extrémistes» nous trouvons les fatimides….Elles sortent des limites de la raison et de la fois, en professant la divinité des imams : Ils prétendent soit que l’imam est un homme aux attributs divins, soit que c’est Dieu incarné. C’est la doctrine de l’incarnation, qui concorde avec celle des chrétiens concernant Jésus…..

Ils prétendent aussi que seul l’imam est doté de perfection. Quand il meurt, son esprit passe à un autre Imam, pour que cette perfection soit en lui. C’est la doctrine de la MÉTEMPSYCOSE….

J’ai présentement devant moi le livre des Exemples d’Ibn Khaldûn (175 $), chapitre : XXV. Les doctrines des chiites relatives au statut de l’imamat, et je vous fais un copier/ coller :

Les ismâ’ilites prétendent que l’imamat revint à l’imam Ismâ’îl par désignation de son père Ja’far as-Sâdiq. L’effet de cette désignation, disent-ils, fut que l’imamat devait demeurer dans sa descendance, bien que lui-même mourût avant son père, comme dans l’histoire de Moïse et d’Aaron. Ils disent que l’imamat passa d’Isâ’îl à son fils Muhammad al-Maktûm, qui fut le premier des imams cachés. En effet, selon les ismâ’îliens, un imam peut ne pas disposer de force et se cacher. Mais ses missionnaires proclament ouvertement sa mission pour ne pas laisser de prétexte aux hommes. S’il dispose de force, il se manifeste au grand jour et proclame ouvertement sa mission. Après Muhammad al-Maktûm, l’imamat revint, disent-ils, à son fils Ja’far al-Musaddiq, puis au fils de celui-ci, Muhammad al-Habîb, qui fut le dernier des imams cachés, et après Muhammad à son fils ‘Ubayd Allâh al-Mahdi, dont le missionnaire, Abû ‘Abd Allâh ash-Shî’î, parut chez les Kutâma. Les gens répondirent à son appel, et il tira al-Mahdî de sa prison à Sijilmâsa. Al-Mahdî régna sur Kairouan et la Maghreb, et après lui, ses descendants régnèrent sur l’Égypte, comme on le sait d’après leur histoire.

Et finalement et en guise de rappel on se souviendra toujours de cette phrase : ’’N’attendez jamais d’un sac de charbon de la farine blanche. ’’

Dieu bénisse Tazeka le jour où il est né et le jour où il mourra……

Mazal Tov chez vous
 
Re : Ibn Khaldûn

Boker tov l ami Anchou!
Il y a beaucoup d intellectuels de service qui n ont pas encore compris la metempsychose que rapporte Ibn Khaldoun.Ils n ont pas compris la mission de ce Ubaydallah qui etait un KUTAMI et qui s etrouvait a Sijilmassa en train de precher en amazighes a des Amazighes .
Un Imam qui ne laisse pas de descendance,les Ismaeliens ont regle le probleme par cette migration des Ames.
Jusqu a l an 1866 les Occidentaux n avaient rien compris aux Ismaeliens et ont fait ruminer que les textes que leurs ennemis Sunnites avaient ecrits a propos d eux y compris le resume offert par Ibn Khaldoun.
Il a fallu donc que s ouvre un proces opoosants deux sous sectes Ismaliennes en Inde pour avoir toute la lumiere sur les Ismaeliens ,leurs sectes et leur fonctionnement.Le Juge en chef du tribunal de Bombay Sir Joseph Arnould presidera ce proces historique au vrai sens du terme.Meme l Agha khan fut somme de temoigner.Les genealogies,la theologie et l histoire de la secte fut exposee dans la Cour.( Lire Bernard Lewis The Assassins a radical sect in Islam,Phoenix ,London 2003).On a compris alors ce qu est la metempsychose et quel role avait joue pour creer des genealogies fictives liant des personnages en Iran et en Inde)

Mais notre Auteur de service veut comme tous les arabistes de service nous faire croire que SEULS LES ARABES VENUS DE SYRIE OU D ARABIE peuvent creer des DYNASTIES.
Ces arabistes et intello de service n ont jamais realise que les Amazighes ont ete capables d instrumentaliser l Islam et la descendance arabe a creer eux memes des dynasties.
Les exemples ne manquent pas .Les Awraba le splus futes avaient instrumentalise Idriss et lui ont colle meme un fils que de l avis de ses contemporains n etaient pas d Idriss mais d un amazighe .
Ils veulent nous faire comprendre que meme le mot HILAL nous est venu de cette Arabie alors que l Afrique amazighe avait un Dieu Lune et employait le croissant d elune dans ses steles.je demande a l ami de consulter le travail ci apres:
Wikimazigh - Spiritualit amazighe

Il y trouvera tout ce qui a attrait a la spiritualite amazighe bien avant que les pillards musulmans envoyes par Amr Ibn Al ass pour razzier les Amazighe s, pire encore ce grand conquerant et fourbe arabe avait exige que les Amazighes vendent leurs enfants pour payer la JIZYA. Apres les pillards militaires arabes ,nous avons eu droit au pillards civils qu etaient les Banu Hilal.
Bien a vous............



Shalom,

Parmi les sectes chiites appelés les «extrémistes» nous trouvons les fatimides….Elles sortent des limites de la raison et de la fois, en professant la divinité des imams : Ils prétendent soit que l’imam est un homme aux attributs divins, soit que c’est Dieu incarné. C’est la doctrine de l’incarnation, qui concorde avec celle des chrétiens concernant Jésus…..

Ils prétendent aussi que seul l’imam est doté de perfection. Quand il meurt, son esprit passe à un autre Imam, pour que cette perfection soit en lui. C’est la doctrine de la MÉTEMPSYCOSE….

J’ai présentement devant moi le livre des Exemples d’Ibn Khaldûn (175 $), chapitre : XXV. Les doctrines des chiites relatives au statut de l’imamat, et je vous fais un copier/ coller :

Les ismâ’ilites prétendent que l’imamat revint à l’imam Ismâ’îl par désignation de son père Ja’far as-Sâdiq. L’effet de cette désignation, disent-ils, fut que l’imamat devait demeurer dans sa descendance, bien que lui-même mourût avant son père, comme dans l’histoire de Moïse et d’Aaron. Ils disent que l’imamat passa d’Isâ’îl à son fils Muhammad al-Maktûm, qui fut le premier des imams cachés. En effet, selon les ismâ’îliens, un imam peut ne pas disposer de force et se cacher. Mais ses missionnaires proclament ouvertement sa mission pour ne pas laisser de prétexte aux hommes. S’il dispose de force, il se manifeste au grand jour et proclame ouvertement sa mission. Après Muhammad al-Maktûm, l’imamat revint, disent-ils, à son fils Ja’far al-Musaddiq, puis au fils de celui-ci, Muhammad al-Habîb, qui fut le dernier des imams cachés, et après Muhammad à son fils ‘Ubayd Allâh al-Mahdi, dont le missionnaire, Abû ‘Abd Allâh ash-Shî’î, parut chez les Kutâma. Les gens répondirent à son appel, et il tira al-Mahdî de sa prison à Sijilmâsa. Al-Mahdî régna sur Kairouan et la Maghreb, et après lui, ses descendants régnèrent sur l’Égypte, comme on le sait d’après leur histoire.

Et finalement et en guise de rappel on se souviendra toujours de cette phrase : ’’N’attendez jamais d’un sac de charbon de la farine blanche. ’’

Dieu bénisse Tazeka le jour où il est né et le jour où il mourra……

Mazal Tov chez vous
 
Re : L histoire frelatee des banu Hillal au Maroc

En guise d'argumentation intellectuelle, vous versez dans l'insulte et la diffamation. Vous ne répondez à aucune question posée dont l'origine des Ilalène (ou Hilaliens du Souss) dont sont originaires bon nombre de tribus soussis.
Plus que des cours d'histoire, il vous faut des séances sérieuses de psychothérapie pour vous soigner de vos complexes anti-arabes et de vos délires de persécution.
Avec tous mes voeux de prompt rétablissement.
 
Re : L histoire frelatee des banu Hillal au Maroc

Un charlatan comme toi finit par qualifier son interlocuteur soit de malade ou soit d analphabete.Personnellement je vois en toi un Don Quichotte autiste.
L histoire n est pas ton fort .Encenser les Arabes meme les brigands ,les mercenaires et les terroristes releve dans ta petite pensee d une bonne sante mentale et d une maitrise parfaite de l histoire.Celui qui casse la coquille historiographique issue d une obesite intellectuelle encouragee par un Makhzen pour legitimer un pouvoir arabe en terre amazighe est pour toi un malade,un complexe,un raciste et un xenophobe.
Quel beau paradoxe!
Je suis pret a te faire la lecon, si ce n est deja fait dans un amphi de l Universite Mohammed V dans les annees 80.
Si tu vois le ciel dans le reflet d un etang tu vois les poissons sur les arbres.C est ce qui t arrive en faisant des hordes banu Hillal comme un raz de maree demographique que l on retrouve partout en Afrique du Nord sans disparaitre ,alors que les Vandales numeriquement plus important que tes Hilaliens ont fini par se dissoudre dans la masse amazighe. Pourquoi cultive-t-on la survivance de ces tribus dans la masse amazighe au Maroc.
Quel est l objectif non declare de cet article dans un journal comme l economiste?

Si l histoire a un debut et les hommes actuels doivent repondre aux crimes de leurs ancetres,il est legitime de demander a L Arabie saoudite de reprendre ses Hordes hilaliennes et de dedommager l Afrique du nord pendant les dix siecles que la rapine a dure.
Un jour les marocains pourront etablir leur ADN personnel et etablir leur descendance,on trouvera que les Idrissides sont des Amazighes et n ont aucun gene arabe,les Banu Hilal seront tous des Amazighes zenetes de la Cyrenaique entremeles aux Amazighes marocains sans aucune trace de genes ARABES.
Ce jour la, si tu es encore en vie ,tu me donneras raison.
Si aujourdhui,tu pretends que tu es arabe alors que tes racines sont amazighes alors fais une analyse de l ADN comme je l ai fait moi-meme.Une genealogie cherifienne a ete detruite par uen analyse ADN faisant de moi non pas un descendant d Ali et de Fatima comme le precise la genealogie mais des Amazighes du Rif.

En guise d'argumentation intellectuelle, vous versez dans l'insulte et la diffamation. Vous ne répondez à aucune question posée dont l'origine des Ilalène (ou Hilaliens du Souss) dont sont originaires bon nombre de tribus soussis.
Plus que des cours d'histoire, il vous faut des séances sérieuses de psychothérapie pour vous soigner de vos complexes anti-arabes et de vos délires de persécution.
Avec tous mes voeux de prompt rétablissement.
 
Re : L histoire frelatee des banu Hillal au Maroc

S'il vous plait les uns et les autres cessez vos invectives la discussion n'en sera que plus interessante.


Un jour les marocains pourront etablir leur ADN personnel et etablir leur descendance,on trouvera que les Idrissides sont des Amazighes et n ont aucun gene arabe,les Banu Hilal seront tous des Amazighes zenetes de la Cyrenaique entremeles aux Amazighes marocains sans aucune trace de genes ARABES.
Ce jour la, si tu es encore en vie ,tu me donneras raison.
Si aujourdhui,tu pretends que tu es arabe alors que tes racines sont amazighes alors fais une analyse de l ADN comme je l ai fait moi-meme.Une genealogie cherifienne a ete detruite par uen analyse ADN faisant de moi non pas un descendant d Ali et de Fatima comme le precise la genealogie mais des Amazighes du Rif.

concernant la génétique, cette derniere permet d'éclairer les origines d'un individu mais pas d'une tribu.
une tribu peut très bien être d'origine arabe et être composées essentiellement de personnes d'origine berbere.
car la construction d'une tribu ne répond pas seulement au lien du sang, mais également a l'adoption et a l'absorption de clans et tribus voisins.
le fait que les Ilalen du Souss soient testés génétiquement comme des autochtones (donc d'origine amazigh) peut ne pas être en contardiction avec une origine arabe de la tribu ilalen.
 
Re : Ibn Khaldûn

Boker tov l ami Anchou!
Il y a beaucoup d intellectuels de service qui n ont pas encore compris la metempsychose que rapporte Ibn Khaldoun.Ils n ont pas compris la mission de ce Ubaydallah qui etait un KUTAMI et qui s etrouvait a Sijilmassa en train de precher en amazighes a des Amazighes .
Un Imam qui ne laisse pas de descendance,les Ismaeliens ont regle le probleme par cette migration des Ames.
Jusqu a l an 1866 les Occidentaux n avaient rien compris aux Ismaeliens et ont fait ruminer que les textes que leurs ennemis Sunnites avaient ecrits a propos d eux y compris le resume offert par Ibn Khaldoun.
Il a fallu donc que s ouvre un proces opoosants deux sous sectes Ismaliennes en Inde pour avoir toute la lumiere sur les Ismaeliens ,leurs sectes et leur fonctionnement.Le Juge en chef du tribunal de Bombay Sir Joseph Arnould presidera ce proces historique au vrai sens du terme.Meme l Agha khan fut somme de temoigner.Les genealogies,la theologie et l histoire de la secte fut exposee dans la Cour.( Lire Bernard Lewis The Assassins a radical sect in Islam,Phoenix ,London 2003).On a compris alors ce qu est la metempsychose et quel role avait joue pour creer des genealogies fictives liant des personnages en Iran et en Inde)

Mais notre Auteur de service veut comme tous les arabistes de service nous faire croire que SEULS LES ARABES VENUS DE SYRIE OU D ARABIE peuvent creer des DYNASTIES.
Ces arabistes et intello de service n ont jamais realise que les Amazighes ont ete capables d instrumentaliser l Islam et la descendance arabe a creer eux memes des dynasties.
Les exemples ne manquent pas .Les Awraba le splus futes avaient instrumentalise Idriss et lui ont colle meme un fils que de l avis de ses contemporains n etaient pas d Idriss mais d un amazighe .
Ils veulent nous faire comprendre que meme le mot HILAL nous est venu de cette Arabie alors que l Afrique amazighe avait un Dieu Lune et employait le croissant d elune dans ses steles.je demande a l ami de consulter le travail ci apres:
Wikimazigh - Spiritualit amazighe

Il y trouvera tout ce qui a attrait a la spiritualite amazighe bien avant que les pillards musulmans envoyes par Amr Ibn Al ass pour razzier les Amazighe s, pire encore ce grand conquerant et fourbe arabe avait exige que les Amazighes vendent leurs enfants pour payer la JIZYA. Apres les pillards militaires arabes ,nous avons eu droit au pillards civils qu etaient les Banu Hilal.
Bien a vous............

pourquoi vous sentez vous obliger d'insulter votre interlocuteur ?
est il possible que vous vous exprimiez tout en le respectant ? je sens de la haine dans vos propos et ca me met mal a l'aise, bien que je partage en partie votre vision de l'histoire.
 
Re : Ibn Khaldûn

Pouvez vous me citer une insulte a l endroit de mon interlocuteur?
Pouvez vous me montrer cette haine dans mes propos?


pourquoi vous sentez vous obliger d'insulter votre interlocuteur ?
est il possible que vous vous exprimiez tout en le respectant ? je sens de la haine dans vos propos et ca me met mal a l'aise, bien que je partage en partie votre vision de l'histoire.
 
Re : L histoire frelatee des banu Hillal au Maroc

La première insulte qui m'a poussé à intervenir c'est de lancer l'article en traitant d'emblée ce travail de:
"litterature de basse facture destinée a emberlificoter les internautes".
Vous parlez de
"bêtises de notre intello au service du Makzen (Donnez-nous la preuve qu'il est au service du Makhzen ou de quiconque! C'est trop facile d'accuser les gens sans preuve)
l'auteur pour vous est "un sois-disant intellectuel" (tant pis pour son doctorat, ses deux livres, ses dizaines d'articles publiés, ses efforts en terme de recherche historique pour lesquelles il ne bénéficie ni de bourses, ni de subvenstions).
Vous parlez de "travestissement de données historiques". Où est la preuve?
- Vous évoquez des données sémantiques. Je vous répond que le mot Béni Hilal est né en Arabie. Ils sont connus en tant que tels, en Syrie, au Yémen, en Arabie ou au Maghreb. Si vous avez la preuve scientifique que le mot Béni Hilal vient d'ailleurs, éclairez nos lanternes, mais sans vous exciter outre mesure.
- Sur les Fatimides, je vous invite à publier un article sur la fondation de cette dynastie par les Berbères, je serais la première à vous lire et à vous citer comme référence si vous m'en donnez les arguments adéquats.
- Sur les conflits avec les Berbères, dont les Aït Atta, qui l'a contesté?
Par ailleurs, l'auteur n'exalte pas les Arabes, mais cette passionante saga humaine, considérée par l'auteur comme l'évenement "le plus bouleversant de l'histoire du Moyen-âge maghrébin". Pour cause!
- Vous l'accusez gravement de plagiat sans aucune preuve
- Vous faites dire à l'auteur ce qu'il n'a pas dit : que les Amazigh sont des imbéciles, ça ce sont vos déductions et le fruit d'un esprit en plein délire de persécution.
- Vous vous interrogez sur les raisons d'un tel article. Je ne savais pas qu'il était interdit de parler de pages de notre histoire sans votre autorisation.
- Vous parlez de théories génétiques, je conclue en vous disant que la notion de race pure est faschiste. Hitler aussi parlait de race pure, on a vue où ça a mené.
Enfin, je suis arabe et amazigh et fier de ma double appartenance que je vis dans l'harmonie et non dans la schisophrénie et dans la haine de soi.
Je veux bien continuer à débattre avec vous, pour peu que vous mettiez de côté votre passion démesurée, que vous arrêtiez de voir tous ceux qui ne sont pas d'accords avec vous de suppôts du Makhzen, pour argumenter de manière posée, digne d'un esprit objectif, apte au dialogue et au partage.
Et sans rancune!
 
Re : L histoire frelatee des banu Hillal au Maroc

Dear Arabesques stop talking that bullshit Im arab and im amazigh at the same time that is scientifacly 1000% nonsense, please keep your emotions outside the debate and use sources which can be quoted and discussed a mature way.

The batlles of the Ait Atta are mentioned in a book [written that period] ill give you the title later on, there are many sources and biografies not used for research but containing a lot of information.


I gave you a response on the HILALIENS they are not arabs but autochtone YEMENITES [non-arab]


La première insulte qui m'a poussé à intervenir c'est de lancer l'article en traitant d'emblée ce travail de:
"litterature de basse facture destinée a emberlificoter les internautes".
Vous parlez de
"bêtises de notre intello au service du Makzen (Donnez-nous la preuve qu'il est au service du Makhzen ou de quiconque! C'est trop facile d'accuser les gens sans preuve)
l'auteur pour vous est "un sois-disant intellectuel" (tant pis pour son doctorat, ses deux livres, ses dizaines d'articles publiés, ses efforts en terme de recherche historique pour lesquelles il ne bénéficie ni de bourses, ni de subvenstions).
Vous parlez de "travestissement de données historiques". Où est la preuve?
- Vous évoquez des données sémantiques. Je vous répond que le mot Béni Hilal est né en Arabie. Ils sont connus en tant que tels, en Syrie, au Yémen, en Arabie ou au Maghreb. Si vous avez la preuve scientifique que le mot Béni Hilal vient d'ailleurs, éclairez nos lanternes, mais sans vous exciter outre mesure.
- Sur les Fatimides, je vous invite à publier un article sur la fondation de cette dynastie par les Berbères, je serais la première à vous lire et à vous citer comme référence si vous m'en donnez les arguments adéquats.
- Sur les conflits avec les Berbères, dont les Aït Atta, qui l'a contesté?
Par ailleurs, l'auteur n'exalte pas les Arabes, mais cette passionante saga humaine, considérée par l'auteur comme l'évenement "le plus bouleversant de l'histoire du Moyen-âge maghrébin". Pour cause!
- Vous l'accusez gravement de plagiat sans aucune preuve
- Vous faites dire à l'auteur ce qu'il n'a pas dit : que les Amazigh sont des imbéciles, ça ce sont vos déductions et le fruit d'un esprit en plein délire de persécution.
- Vous vous interrogez sur les raisons d'un tel article. Je ne savais pas qu'il était interdit de parler de pages de notre histoire sans votre autorisation.
- Vous parlez de théories génétiques, je conclue en vous disant que la notion de race pure est faschiste. Hitler aussi parlait de race pure, on a vue où ça a mené.
Enfin, je suis arabe et amazigh et fier de ma double appartenance que je vis dans l'harmonie et non dans la schisophrénie et dans la haine de soi.
Je veux bien continuer à débattre avec vous, pour peu que vous mettiez de côté votre passion démesurée, que vous arrêtiez de voir tous ceux qui ne sont pas d'accords avec vous de suppôts du Makhzen, pour argumenter de manière posée, digne d'un esprit objectif, apte au dialogue et au partage.
Et sans rancune!
 
Re : L histoire frelatee des banu Hillal au Maroc

Idir, Et les habitants du Yémen, ils sont quoi au juste? Le Yémen n'était-il pas appelé l'Arabie heureuse, l'arabia felix? N'est-il pas un pays arabe?
Pendant le règne abasside, les Béni Hilal étaient connus en Syrie, en Irak, à Oman, comme avant ils étaient maîtres des plateaux du Nejd. Il s'agit d'un ensemble de tribus aux origines diverses et non d'une tribu, regroupées tous sous un même vocable : Béni Hilal, dont j'attends avec impatience l'étymogie de notre ami Adrar.
 
Re : L histoire frelatee des banu Hillal au Maroc

Idir, Et les habitants du Yémen, ils sont quoi au juste? Le Yémen n'était-il pas appelé l'Arabie heureuse, l'arabia felix? N'est-il pas un pays arabe?
Pendant le règne abasside, les Béni Hilal étaient connus en Syrie, en Irak, à Oman, comme avant ils étaient maîtres des plateaux du Nejd. Il s'agit d'un ensemble de tribus aux origines diverses et non d'une tribu, regroupées tous sous un même vocable : Béni Hilal, dont j'attends avec impatience l'étymogie de notre ami Adrar.


I already gave you an answer about the name given to the region of Yemen in the time of the prophet Muhammad SAW it was called 3ajami = non-arab
 
Re : L histoire frelatee des banu Hillal au Maroc

Bonjour,

Mouna Hachem? Celle qui sevit sur l'economiste!!!! Contrairement a vous, je l'aime bien. Car elle represente jusqu'a la caricature cette race de pseudo intellos au service de l'ideologie du Makhzen. Il parait qu'elle n'en est meme pas consciente, ce qui est encore plus grave. Lisez ce qu'elle a commis sur la dissolution du PDAM !

L'Économiste

Elle aurait pu intituler son papier: c'est vrai, les Amazighs sont tous racistes et mechants.

Pour ce qui est de la tribu Ilallen dont je suis originaire, je trouve que Mme divague plus que autre chose. Avant tout, il faut s interroger sur le sens du mot illalen. Pour cela, il faut faire une vraie recherche au lieu de faire des liens arbitraires entre deux mondes completement differents.




N.B sorry if there's not any accent, I have an American Keybord

Il n y a aucun lien entre Ilallen et les Hilaliens. Sait-elle au moins le sens d aylal et ila
 
Re : L histoire frelatee des banu Hillal au Maroc

waggag, dites clairement qu'elle dérange vos théories fantaisistes et fallacieuses sur l'histoire du Maroc et attaquez-la sur le fonds si vous le pouvez!
En êtres objectifs, pour peu que vous sachiez ce que l'objectivité scientifique et l'intégrité intellectuelle veulent dire, démentez ce qu'elle affirme en apportant vos preuves. Je vous mets au défi et attend des éléments concrets plutôt que des braiements.
 
Re : L histoire frelatee des banu Hillal au Maroc

Dans la foulée, je vous rajoute ceux-là aussi pour vous donner plus de matière encore:
- "Histoire gourmande" :
www.souss.com/forum/cote-cuisine/9155-petite-histoire-gourmande.html - 63k
- "Pourquoi Sebta et Mellilia ne sont pas espagnoles
Pourquoi Sebta et Mellilia ne sont pas espagnoles : Une tribune de Mouna Hachim, écrivain et chercheur marocaine - Maroc - Conflit - Histoire - Espagne - Afrique
- "Arabe, amazigh, darija, français... des langues et des hommes"
Arabe, amazigh, darija, français… Des langues et des hommes - Temoust - Survie touarègue

(A suivre)
 
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