Mythologie Amazigh

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<B><BIG>Lion présenté comme un "Lion de l'Atlas", Panthera leo leo,<B><BIG><SMALL><SMALL><SMALL></B>
</SMALL></SMALL></SMALL></BIG><BIG><SMALL><SMALL><SMALL>au Parc zoologique de Lunaret à Montpellier</SMALL></SMALL></SMALL></BIG><B><BIG><SMALL><SMALL><SMALL></B>
</SMALL></SMALL></SMALL></BIG><SMALL>Photo © Michel AYMERICH</SMALL><BIG><B><BIG></B>
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tsantsan said:
d'apres ce qui m'est arrivé a l'oreille,le lion amazighe serait blanc et petit de taille et on peut voir un exemple de son espece quelque part dans un zoo en france: rumeur donc,qui peut confitmer ou dem..

Oui il est blanc et chausse tout le temps des skis, car il ne descend jamais du sommet de l’At Bouqhal.
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:eek:ffice:eek:ffice" /><o:p></o:p>
Bon evidement comme sa maman a oublié de lui donner de l’huile de foie de morue, il n’a pas beaucoup grandi.
 
Aksel, je ne te remercierais pas suffisamment pour la production de ses documents inespérés.
Je parle pour moi bien entendu.
 
issiwane said:
Oui il est blanc et chausse tout le temps des skis, car il ne descend jamais du sommet de l’At Bouqhal.
issiwane said:
Bon avidement comme sa maman a oublié de lui donner de l’huile de foie de morue, il n’a pas beaucoup grandi.


:D no comment :D

s69.jpeg


Lion roux de l' Atlas,
tableau de Maclade, 1997​
 
issiwane said:
Oui il est blanc et chausse tout le temps des skis, car il ne descend jamais du sommet de l’At Bouqhal.
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:eek:ffice:eek:ffice" /><o:p></o:p>
Bon evidement comme sa maman a oublié de lui donner de l’huile de foie de morue, il n’a pas beaucoup grandi.

c'est peut-etre la faute a celui qui attend la descente du lion.il est lion,ne l'oublie pas.et ne s'est jamais satisfait DE l'huile DE la foie DE morue,il a besoin DES morues entiers,de plusieurs
 
tsantsan said:
c'est peut-etre la faute a celui qui attend la descente du lion.il est lion,ne l'oublie pas.et ne s'est jamais satisfait DE l'huile DE la foie DE morue,il a besoin DES morues entiers,de plusieurs


Ne te bile pas, des morues en veux tu en voilà, ce n’est pas ce qui manque pourvue que notre lion daigne montrer le bout du nez. Il y en a même qui iraient vers lui goulûment.
 
aksel said:
<BIG><BIG style="COLOR: rgb(204,102,17)">Réintroduction d'espèces</BIG></BIG>



<BIG><BIG>News: La réintroduction du Lion de l'Atlas</BIG></BIG>
Par Sylvie CARDONA, 29/12/2004

<SMALL>Source: http://www.grandspredateurs.com/html/modules.php?name=News&file=article&sid=63</SMALL>

lions_atlas_tableau.jpg


"Lions à l'affût" (1926) Tableau de Georges Frédéric RÖTIG


Folfaerie writes: "L'affaire avait déjà été évoquée en 2000 par le Ministère Marocain chargé des eaux et forêts qui souhaite créer une zone protégée, futur lieu de réintroduction de ce fauve mythique. A première vue, le projet semble intéressant et l'intention est louable. Le dernier spécimen a en effet été abattu en 1922 au Maroc [un lion a été abattu près de Taddert (versant nord de Tizi n'Tichka) en 1942 selon J. Minet. Rapporté par F. Cuzin, NDLR], trophée fort recherché et victime d'un braconnage intensif, alors qu'il s'était déjà éteint en Tunisie et en Algérie quelques années auparavant.

Nettement plus gros que son cousin africain, le lion de l'Atlas vivait principalement dans les massifs montagneux. Des spécimens ont cependant pu être sauvegardés grâce à la fauverie royale de Hassan II et on trouve actuellement une cinquantaine de lions répartis dans divers zoos, dont un peu plus de la moitié vivent dans le parc zoologique de Témara, dans la banlieue de Rabat.

Cette opération est élaborée dans le cadre d'un partenariat entre les gouvernements Marocain et Britannique, car le zoo de Témara devrait être appuyé par une ONG anglaise et des scientifiques d'Oxford.
Cette réintroduction doit a priori s'étaler sur une dizaine d'années et comportera plusieurs phases de travail. Une zone protégée d'une superficie de 10.000 hectares a été délimitée dans une région très peu peuplée, et qui devra être clôturée. Il faudra y réacclimater le gibier de prédilection du grand fauve, c'est à dire des cerfs, mouflons, sangliers, singes et gazelles. Parallèlement, les scientifiques d'Oxford auront la tâche de sélectionner les géniteurs les plus purs afin de démarrer un programme de reproduction en captivité. Enfin, un couple ou deux de lions seront relâchés dans la zone protégée, et devront faire l'objet d'un suivi par les scientifiques.

L'un des buts avoués du gouvernement marocain est de profiter des retombées économiques de ce projet. Il est fort probable en outre qu'il bénéficie de subventions européennes. En effet, le programme de réintroduction de cet animal mythique devrait susciter l'engouement des adeptes du tourisme écologique. Le gouvernement espère bien créer des emplois et booster le secteur de l'hôtellerie et de la restauration.

Cependant, plusieurs facteurs sont à prendre en compte:

D'abord la population locale ne semble guère enthousiaste vis à vis du projet, la réputation de férocité du lion de l'Atlas suscitant des inquiétudes. Il est à craindre que le braconnage ne reprenne, à moins que la réserve naturelle ne soit extrêmement bien surveillée. Par ailleurs, quel sera le système mis en place pour réguler la population des fauves, surtout s'ils sont destinés à vivre sur une surface délimitée. (10.000 hectares pour des grands fauves, c'est bien peu). Les naissances seront-elles contrôlées ou, à l'instar de certains parcs africains, le tir sélectif ou les permis de chasse feront-ils partie des solutions proposées ?
Du côté du gibier réintroduit, quelles seront les conséquences sur leur environnement ? Aucune indication n'est donnée quant au nombre de bêtes à réintroduire, et à leur impact sur l'écosystème de la réserve.

Ensuite, le Maroc ne jouit pas d'une bonne réputation en matière de protection de l'environnement. Il faut rappeler qu'en l'espace d'un siècle, plusieurs espèces animales et végétales ont disparu dans l'indifférence la plus totale. A titre d'exemple, le crocodile du Nil s'est éteint dans les années 1930 [selon J. Bons et Ph. Geniez, les derniers crocodiles ont disparu au début des années 1950, NDLR], tandis que les années 50 ont sonné le glas pour l'autruche, l'oryx et l'addax.

Actuellement, la panthère devrait être inscrite sur la liste des espèces disparues puisqu'aucune preuve tangible de sa présence n'a pu être rapportée, la hyène et le guépard sont en sursis, de même que le lynx caracal, le chat des sables, le chat ganté, le fennec et le chacal, et pour donner une idée du contexte, les écologistes marocains se battent en ce moment contre un projet de station balnéaire approuvé par le gouvernement et qui bafoue toutes les règles de protection de l'environnement.

De plus, le milieu naturel est également en péril. Le désert avance, et le bétail s'aventure dans les forêts, causant des dommages irréparables aux écosystèmes. Alors que le pays souffre régulièrement de la sécheresse, le cheptel ovin, lui, est en surnombre. (D'ailleurs, les éleveurs marocains seraient plutôt hostiles à la réintroduction de prédateurs qu'ils ont contribué à décimer).

Il est certain que la disparition du lion de l'Atlas (son extinction totale est prévue dans une vingtaine d'années si rien n'est fait) constituerait une tragédie supplémentaire pour la biodiversité et la conservation des espèces, mais les conditions de rétroduction de l'animal au Maroc ne paraissent pas idylliques. Il serait intéressant d'établir un parallèle avec nos grands carnivores, l'ours et le loup en particulier, qui suscitent la même méfiance chez les éleveurs français et rencontrent les mêmes obstacles sur le terrain.

Un programme de réintroduction doit-il nécessairement dépendre d'une rentabilité économique au plan national, et dans un tel contexte, si le programme réussit, quel sera le futur du lion de l'Atlas ? Ne risque-t-il pas de susciter un enthousiasme passager, qui finira par s'éteindre au milieu des difficultés économiques du pays ?


merci
de meme je pense que les atouts de son reintroduction sont qua-nihil vu la grande surface dont il a besoin pour survivre.l'homme et le lion disputent le territoire.
 
Ben ! Il pourrait grignoter quelques uns si ça lui chante, il aurait complètement raison.
Il est chez lui tout de même !
 
tout a fait.et ca serait plus profitable pour l'équilibre,mais cet homme d'aujourd'hui est plus sauvage que le plus sauvage des lions.
 
Ils le croient seulement, si non, il y a longtemps qu’ils n’affrontent plus les vrais lions de cette planète. Ceux qui bougent dans leurs têtes.
 
a ce niveau la,ils aiment eviter les congestions et les apoplexies car la bestiole,sangsue,utilisée traditionnellement pour soigner ce genre de malfaisantes fut rare dans le monde d'aujourd'hui.quoi de mieux que d'etre grand et gros a l'appetit proverbial comme sci driss bo3addis amaqran qui mange a lui seul une tete de veau entiere?! ne les revulse pas,mecene issiwane,des qu'ils se rendent-compte de l'existance d'un guepier,ils deguerpent,et nous,nous les voulons vivant.

Qui ne sait pas que l'afrique du nord a été le grenier de rome? que les Amazighs et les cathaginois y ont cultivé la vigne? qu'ulysse et ses compagnons ont decouvert,en largeant les cotes, le jardin des Hespérides,ses pommes d'or,ses raisins croquantes et juteux? pourquoi donc dependons-nous aujourd'hui des aides americaines?

Hesperides*:sont les filles d'Esperis,gardiennes des pommes d'or dans le jardin de yakuch,et c'est de ce nom que provient probablement le terme, ESPAGNE.
Ulysse ou odysseus*:roi de Itakha,l'astucieux leader (grec) pendant la guerre de troje

*est-ce vrai que c'est purement une mythologie greque? y aurait-il pas une contibution Amazighe?
 
Entre nous a quoi peut bien servir de fuir tout azimut, le filet est bien tendu au bout.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:eek:ffice:eek:ffice" /><o:p></o:p>
Ah ! Oui gagner du temps pour soi et laisser piégé ses petits, vraiment ces grosses bêtes ont la légendaire myopie du rhinocéros et la stratégie de l’autruche. <o:p></o:p>
 
Maymouna la Djnia des océans. (nouveau conte d'Ali Ouidani)

MAYMOUNA LA DJNIA DE LA MER

maymouna2pk.jpg


Yemaya<?XML:NAMESPACE PREFIX = O /><O:p< font O:p<>

<O:p< p>J’avais à peine 11 ans quand pour la première fois je vis la mer. C’était à Safi capitale des Abda. Etant enfant du désert qui ne connaissait que l’immensité des ergs je fus ébloui par cette étendue des eaux bleues que je voyais pour la première fois.<O:p< font O:p<>
Les déferlantes qui venaient fouetter la falaise rocheuse, éclaboussant le rivage m’avaient impressionné tant par leur force que par la régularité de leur mouvement.<O:p< font O:p<>
Depuis ce temps, tout ce qui est en rapport avec la mer m’attire et me passionne ;<O:p< font O:p<>
Je ne vais pas vous réciter le poème de Victor Hugo qui commence tristement par <O:p< font O:p<>
Oh combien de marins, combien de capitaines<O:p< font O:p<>
Qui sont partis joyeux pour des courses lointaines<O:p< font O:p<>
….etc.<O:p< font O:p<>
Je ne vais pas non plus vous parler de Yemaya, ou Ymoja qui dans les traditions afro-caraibes et particulièrement chez les Yorubas de l'Afrique occidentale représente "la Mère des Eaux". On raconte qu’à sa mort, la libération de ses eaux utérines causèrent une grande inondation qui, à son tour, a créé les océans.<O:p< font O:p<>
Je passerai sous silence. Neptune qui pour se venger de ses ennemis leur envoyait souvent des monstres marins.
Je ne dirai non plus rien d’Amphitrite déesse de la mer par sa naissance, petite-fille du titan Océan. qui séduit Neptune, mais se sauve pour ne pas l’épouser. Seul le dauphin, envoyé à sa recherche par son maître, réussit à la convaincre.
Je ne m’attarderai pas sur Lalla Aicha Al Bahriya qui d’Azemour sur la rive droite de l’embouchure de oued « M’Rab3iyen » (Oum Rabia) se renvoyait la balle avec Moulay Abdelkader Jillali installé lui à Baghdad. (Il faut dire qu’en ces temps les patriotes des GI américains n’étaient pas là pour intercepter et détruire le ballon dans le ciel de la cité Abasside)

<O:p< p O:p<>Aujourd’hui, je vais vous parler de Maymouna la Djnia des océans et des mers. Cette Djnia bienfaitrice que les femmes sollicitent au lever du jour avant que le soleil apparaisse et qui même étant ce qu’elle est, n’avait pas connu de bonheur dans sa vie amoureuse. Elle que le beau Chamharoch fils de du grand Karkoch a laissé tomber après cinq années de vie commune, lui préférant une autre Djnia moins belle qu’elle.. Elle ne s’est rendue compte que l’abandon dont elle fut victime était la conséquence d’ensorcellement et que sa rivale lui avait jeté un sort la séparant ainsi de son mari..
Depuis cette date, elle s’est jurée de consacrer une partie de sa journée à venir en aide aux femmes qui vivent ou qui ont vécu une déception amoureuse comme elle.
Et c’est ainsi que chaque matin avant le lever du soleil des femmes qui voulaient solliciter son intervention se rendaient sur la plage pour le rituel de la demande d’intervention.
Hier matin donc, je marchais pieds nus sur le sable longeant la plage allant de la marina jusqu’à l’embouchure de Oued Souss, quand à hauteur de Tikida Beach je voyais deux femmes vêtues de gandoura plonger et replonger dans les eaux encore fraîches de l’océan.
J’ai attendu qu’elles sortent de l’eau et je me suis rapproché d’elles.
Surprise, une d’elle ne m’est pas inconnue puisqu’elle exerce en tant qu’assistante commerciale dans une grande surface et porte le nom de Siham. Femme belle et émancipée qui de part sa fonction discute librement avec la gente masculine. Le fait que je ne lui sois pas inconnu l’avait rassuré, elle me présenta son accompagnatrice qui s’appelle Fatiha mais contrairement à Siham, portait un foulard qui cachait sa chevelure et parait être des « Mouhtajibates ». Après les salutations d’usage, je lui demandai si c’est pour implorer Maymouna qu’elle et son accompagnatrice étaient là ?
Elle me répondit par l’affirmatif.
Je la priai alors de m’expliquer ce qu’elles attendaient de cette démarche.
Tout d’abord me dit elle je tiens à te dire que contrairement à moi qui suis mariée et qui ai des enfants, mon amie est célibataire. Donc nos sollicitations diffèrent et leurs rituels aussi.
Pour mon cas me dit elle. Je dois m’asseoir dans l’eau avant le lever du soleil et faire de sorte que le niveau de l’eau arrive à hauteur de mon menton. Une fois bien assise, je dois me concentrer pour chasser les mauvais esprits et attendre que sept vagues viennent fouetter légèrement mon visage.
Pourquoi sept vagues lui ai-je demandé ?
La première vague efface tous les mauvais sorts qui me sont jetés par ma belle-mère.
La deuxième ceux de mes belles sœurs,
La troisième ceux des tantes de mon mari,
La quatrième ceux des cousines de mon mari qui espéraient l’épouser ;
La cinquième ceux de mes cousines qui ne sont pas encore mariées et qui me jalousent,
La sixième ceux des anciennes copines que mon mari avait connu avant notre mariage et qu’il a depuis laissé tomber.
La septième pour ceux de la secrétaire de mon époux en cas où cette dernière ait des projets secrets à réaliser avec lui.
Et tu penses que ces petites vagues sont efficaces lui demandai-je ?
Bien sur c’est comme si tu scannes tous les fichiers informatiques de ton ordinateur et tu les fais nettoyer par un anti-virus me répondit –elle.
Et pour Fatiha qui elle, n’est pas mariée, c’est aussi d’un anti-virus dont elle a besoin ?
Non. Pour Fatiha qui est toujours célibataire, c’est un formatage qu’il faut !
Pourquoi le formatage et en quoi il consiste ?
Il consiste à plonger la tête sous l’eau et rester en apnée les yeux ouverts le temps de passage des sept vagues. Ce rituel «délète » tout ce qui vous a été fait pour vous empêcher de trouver un mari. Il place un filtre protecteur autour de vous pour le reste de votre vie.
Le filtre est-il si efficace lui ai je demandé ?
Garanti cent pour cent me répondit elle.
Sur cette affirmation et sans attendre un instant, je courus et plongeai sous l’eau attendant que les sept vagues passèrent en priant Maymouna de se limiter à la mise en placer du filtre protecteur sans aller jusqu’au formatage de tout mon disque dur !

<O:p< p O:p<>Agadir le 29 juin 2006

<O:p< p>Source :
http://www.goulmima.com/







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Re : Mythologie Amazigh

Aicha qendisha a belle et bien existée ce n'est pas un mythe ou une histoire racontée.
D'apres des recherches aicha serait originaire de la region D'Eljadida epérdument amoureuse et mariée à un homme de religion qui derigeait la resistance pendant l'occupation portugaise au 15 siecle.Fait prisonnier et executé devant les yeux d'Aicha, celle ci perd la raison et erre dans un oued d'eljadida. Determinée a venger la mort de son mari elle usait de sa beauté pour attirer les soldats dans l'oued pour les tuer
 
Re : Mythologie Amazigh



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J'avais fait sur mon blog une illustration prsonnelle de Taslit n Issafen, dont je ne connais pas grand chose, sauf le nom qui me plaisait beaucoup. J'ai reçu qelques commentaires et remarques.

J'avoue ne pas connaître le sens du mot " o3bro9" ( o°broq ).
Si vous aves de plus amples renseignements sur ce mythe, merci de me les communiquer. Tanmirt s tizwart (Atanane )

[azol flak gmatnakh ark bahra n sminir kh lamslatad li yawodm ifolkin itmazirt issafen tanmert nk ] ( khalid 1 )

[azol samhak agma han or tskrat walo ord ghikana taga tslit issafen ola kiy akhalid tlit nit kh issafen or tsint mamnak tga tslit issafen akh lo ayna tanmert non] ( khalid 2 )

[azol samhak agma han or tskrat walo ord ghikana taga tslit issafen ola kiy akhalid tlit nit kh issafen or tsint mamnak tga tslit issafen akh lo ayna tanmert non]( Abdo )
 
Traduction du conte Aisha Kandisha en Catalan

Aïsha Qandisha,
de Atanan ayt Oulahyan
Première publication parue dans Asays. com, 27 octobre 2004

<TABLE cellSpacing=0 cellPadding=0 width="100%" border=0><TBODY><TR><TD vAlign=top rowSpan=2>
Actuellement encore, cette sulfureuse histoire continue de persister du Nord au Sud du Maroc et bien au delà ; les gens se la racontent parfois les longs soirs d’hiver, comme une légende pour grandes personnes, en prenant bien soin d’éviter la présence des enfants, pour ne pas les effrayer ; même les esprits les plus éclairés, les hommes les plus courageux éprouvent un certain frisson en entendant prononcer ce nom terrible : « Aïsha Kandisha » !
</TD></TR></TBODY></TABLE>

Aïsha Kandisha, una rossa perillosa



Aïsha Kandisha

Sembla que aquesta dona meitat nimfa, meitat bruixa, forma part de moltes de les llegendes del Marroc, tal com ha observat El Hassane Arabi als dos reculls d’articles que he llegit d’ell. En versió conte,en francès, la podeu trobar a un bon bloc amazic, reescrita per Atanane, una pintora i escriptora que viu a França.



Vet aquí que una vegada un jove anomenat Moh arribà ben entrada la nit a una casa on l’acolliren perquè el van veure molt trasbalsat. No va ser capaç d’articular una paraula fins després d’haver-se pres una tassa de te bullent. Vet aquí el que va explicar:

“Havia passat tot el dia treballant a les terres dels Aït Oulmil , era el moment de la collita, calia segar el blat i havíem tingut molta feina.Com que m’havia entretingut molt i ja s’acostava la posta de sol, el pare Oulmil em va demanar que em quedés a passar la nit a casa seva, però jo vaig refusar, tenia la dèria d’anar a dormir a casa, Vaig agafar la mula i vaig enfilar el camí, l’animal semblava tenir pressa per menjar-se la seva pròpia palla.

Encara que la posta de sol ja s’acabava, com que hi havia lluna plena, teníem força llum. Feia força calor i el cant de les cigales em bressava, de sobte, em vaig mig desvetllar perquè van parar de cantar.
La mula també va començar a neguitejar-se, com si sentís un soroll que l’espantava.

Un calfred em va recórrer l’espinada: estava sentint com algú em cridava. Una veu femenina em cridava pel meu nom, semblava espantada, com si algun perill l’assetgés, i el més curiós és que aquesta veu , que no acabava de reconèixer, em resultava familiar.
Tot i que la conducta de la meva mula em feia malfiar-me’n, jo em sentia encuriosit, volia saber qui era qui em cridava, descobrir què li passava.

Just en aquell va aparèixer ella, bellíssima , embolicada en un vel blanc, al costat d’una olivera. Vaig haver de saltar de la meva muntura perquè la mula ni es movia, paral.litzada i m’hi vaig adreçada. Estava segur de conèixer aquella noia des del moment en què un raig de lluna va il.luminar el seu rostre, els seus cabells d’un ros ataronjat queien per damunt les seves espatlles i sobre el seu pit com un xal de foc, i arribaven als malucs. Ella avançà el seu braç cap a mi, on tenia una mena de branca, em convidava a acostar-m’hi, somrient.

Vaig avançar unes passes i em va semblar que tenia davant Danna, una veïna meva de qui havia estat perdudament enamorat , però amb qui no havia pogut casar-me perquè una meningitis fulgurant se l’havia endut abans de les esposalles.

Els meus cabells s’eriçaren, i el meu cor començà a batre com si fos un timbal. Malgrat tot, vaig tenir un moment de lucidesa i vaig comprendre que no podia ser cap altra que Aïsha Kandisha, la malvada. Ella de seguida se’n va adonar i va canviar el posat i la mirada. Aleshores amb veu suplicant em digué: Oh Moh, el meu veí, el meu promès,.. no em reconeixes? ... no em vols ajudar? Ajuda’m sisplau, t’ho suplico.. dóna’m la mà.

Oh s’assemblava tant a ella, a Danna, desitjava tant que ho fos que vaig estar a punt de cedir, per sort, em vaig trobar pronunciant una pregària. Li demanava a Déu que m’ajudés a lluitar contra ella, contra Satan i la meva mà s’anà abaixant fins a la meva cintura, on guardava el meu punyal. La mula estava aterrada però ara rebufava i potejava sense parar. Quan ja estava a punt de tocar el punyal, ella canvià radicalment, va deixar d’arrepenjar-se en l’arbre i aleshores vaig poder veure que en comptes de peus tenia unes peülles negres, com les d’un boc i intentar tirar-se’m a sobre. Jo vaig ser encara més ràpid i vaig clavar la fulla de la meva gavineta a terra. Ella es posà a cridar com posseïda i en mig d’esbufecs em suplicava que deslliurés la meva mà del punyal, que l’estava matant.Com que jo no li feia cas , ella es va posar a oferir-me tot el que jo pogués desitjar: l’èxit, la joventut, un cofre ple de monedes d’or.

De cap de les maneres estava disposat a negociar amb una diablessa, tenia por de perdre la meva ànima i el meu seny; la riquesa i l’èxit no m’havien pas seduït mai. Amb la força del desesper vaig ser capaç d’articular algunes paraules , invocant a Déu, suplicant-li que se n’anés pel mateix lloc on havia vingut. I així va ser, vaig veure com una mena de núvol blanc fugia i desapareixia entre els arbres. Malgrat això, vaig continuar una bona estona allà, agenollat, agafat al meu punyal clavat a terra, incapaç de reaccionar.

A poc a poc vaig retrobar la calma , i quan vaig comprendre que tot s’havia acabat, em vaig aixecar, vaig contemplar el paisatge que m’envoltava i vaig buscar la meva mula: s’havia allunyat uns quants metres, era darrera d’un arbre, com si volgués amagar-se. Hi vaig pujar i ràpidament vaig fugir d’aquell lloc, d’aquella experiència terrible que acabava de viure. Volia fugir però no sabia pas on anar... tornar al lloc d’on venia? Continuar el camí fins a casa? Tant m’era, la qüestió era abandonar el bosc ombrívol i lúgubre. Vaig recordar que a prop hi havia un mas, necessitava trobar humans, llum, escalfor, vida...”

Tot i que en Moh havia acabat d’explicar la seva història, cap dels presents no el va rellevar parlant. Tothom estava silent, quiet, sense gosar dir ni fer res perquè la por els atenallava. Només un vell va reaccionar, amb veu clara i segura ens recordà les nostres obligacions: l’alba acabava de trencar-se i a la casa hi havia moltes coses a fer. Ell, però, es quedà al costat de Moh, que tenia una mirada buida, absent, el va cobrir amb una flassada i el deixà dormir a cor què vols, cor què desitges. No va ser fins ben entrat el dia que es despertà i expressà el seu desig de marxar cap a casa. Li van preparar la mula i el vell, s’oferí a acompanyar-lo, ho digué amb un to de veu que no oferia cap mena de dubte, en Moh, no s’hi podria oposar.

Passats alguns dies , en Moh encara no havia reaccionat: no sortia de casa, no treballava, gairebé no parlava, no semblava ell. Només pensava en la diablessa i de tant en tant el sentien mormolar: Danna, Danna....Semblava presoner d’ell mateix, la família, comprensiva, el deixava tranquil, però finalment el van portar al metge que no va saber guarir-lo.

Malgrat el pas del temps, en Moh no reaccionava, i els amics quan el venien a visitar sacsejaven el cap, s’adonaven que no tenia remei, que vivia en un altre món. Li va créixer la barba i va descuidar el seu vestit, es veia brut i abandonat i només sortia de casa per vagabundejar pels camins o per adreçar-se al cementiri on passava llargues hores davant d’una tomba que tenia escrit el següent epitafi:


“Tot el que és d’aquest món torna cap al no-res i només reposa en la faç de Déu”, seguit del nom de la difunta :


Danna ben Saleem, décedée le...

Etiquetes de comentaris: Contes meravellosos

enviat per Montserrat Cendra @ 05:28



http://contesdelmarroc.blogspot.com/2007/11/asha-kandisha-una-rossa-perillosa.html
 
Re : Mythologie Amazigh

Ah! ça fait plaizir!:)

Tanmirt Dda Souss d'avoir déniché cette traduction en catalan!
Et en attendant une traduction en tamazight, merci infiniment à Madame Montserrat Cendra qui m'a fait cet honneur.

Atanane
 
Re : Mythologie Amazigh

Aïcha KANDICHA


Il s'agirait d'une comtesse portugaise ( 17 ème siècle) qui est tombée follement amoureuse d'un richissime monsieur originaire de Safi. Elle est venue le chercher jusqu'à chez lui pour le supplier de se marier avec elle.

A l'époque toutes les femmes étaient voilées, mais la comtesse se baladait sans aucun voile, juste une belle robe blanche. Les hommes qui la croisaient en devenaient fous ! Dans le sens ou tous les hommes de Safi ne parlaient(Toujours le tberguig) que de la comtesse,ça a donné Kandicha=comtesse; Epilogue : La comtesse à la robe blanche se maria avec l'homme de Safi et en se convertissant à l'Islam elle prit le prénom de Aicha!!

Alors mythe ou réalité???

A-t-on transformer une histoire réelle en légende pour faire peur (surtout) aux enfants ?

A ce qui paraît il ne faut pas prononcer son nom au abord de l'oued la nuit!!!! bouhhhh!!!! ;-)
 
Re : Mythologie Amazigh

[/FONT][/COLOR]_____________________________GURZIL




cette image me rappel les histoires des lègendes grecques que je lisais, et surtout à l'histoire du minotaure....


il n'est pas étonnant de dire que le maroc est le bout du monde grecque



d'ailleurs on lisant l'histoire si un jour tamazgha decide de rentrer dans l'union européenne, répondre non c'est nié l'histoire.



mais ceci est une autre histoire
 
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