Mythologie Amazigh
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issiwane
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Anzar
D’ANZAR en Aubade à Tislit
Issiwane.
__________________
Aubade à Tislit<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com
fficeffice" /><o></o>
<o></o>
Atanan<o></o>
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D’ANZAR en Aubade à Tislit
Issiwane.
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Aubade à Tislit<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com
fficeffice" /><o></o>Je suis Anzar le ténébreux, le dieu fécond<o></o>
Et sur la terre je sème mes faveurs et mes dons!<o></o>
Je brandis avec fureur mon sceptre d'éclairs<o></o>
Quand je fais rugir les tambours de ma colère!<o></o>
<o></o>
Je suis le maître du feu, le dieu des trombes<o></o>
Et sans ma grâce le monde serait une tombe.<o></o>
J'ordonne les saisons, j'annonce les moissons<o></o>
Je donne la rosée pure, je déchaîne la mousson!<o></o>
<o></o>
Les plaines sont mon jardin que je pare de beauté<o></o>
Et aux champs des Hommes j'accorde mes bontés.<o></o>
Toute vie sur terre m'exalte de gratitude<o></o>
Languit de mon absence, réclame ma promptitude!<o></o>
<o></o>
Les rivières chantent de joie quand je les inonde<o></o>
Les montagnes tremblent d'émoi lorsque je gronde<o></o>
Toutes les créatures me craignent et me vénèrent<o></o>
Mais sans toi... Ô Tislit! Comme je désespère!<o></o>
<o></o>
Que serait ma force sans ta délicatesse?<o></o>
Vaine sont mes nuées sans ta douce promesse<o></o>
Tu réjouis les vivants et tu les rassures<o></o>
Par tes courbes gracieuses tu apaises la nature!<o></o>
<o></o>
Tislit! Sans ta grâce je ne serai qu'un tyran:<o></o>
Un dieu sans coeur, sans génie ni rêves charmants!<o></o>
Je traînerais mes nuages dans le firmament<o></o>
Pour toujours condamné à rugir mon tourment.<o></o>
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( … )<o></o>
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></o>Et sur la terre je sème mes faveurs et mes dons!<o
></o>Je brandis avec fureur mon sceptre d'éclairs<o
></o>Quand je fais rugir les tambours de ma colère!<o
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></o>Je suis le maître du feu, le dieu des trombes<o
></o>Et sans ma grâce le monde serait une tombe.<o
></o>J'ordonne les saisons, j'annonce les moissons<o
></o>Je donne la rosée pure, je déchaîne la mousson!<o
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></o>Les plaines sont mon jardin que je pare de beauté<o
></o>Et aux champs des Hommes j'accorde mes bontés.<o
></o>Toute vie sur terre m'exalte de gratitude<o
></o>Languit de mon absence, réclame ma promptitude!<o
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></o>Les rivières chantent de joie quand je les inonde<o
></o>Les montagnes tremblent d'émoi lorsque je gronde<o
></o>Toutes les créatures me craignent et me vénèrent<o
></o>Mais sans toi... Ô Tislit! Comme je désespère!<o
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></o>Que serait ma force sans ta délicatesse?<o
></o>Vaine sont mes nuées sans ta douce promesse<o
></o>Tu réjouis les vivants et tu les rassures<o
></o>Par tes courbes gracieuses tu apaises la nature!<o
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></o>Tislit! Sans ta grâce je ne serai qu'un tyran:<o
></o>Un dieu sans coeur, sans génie ni rêves charmants!<o
></o>Je traînerais mes nuages dans le firmament<o
></o>Pour toujours condamné à rugir mon tourment.<o
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></o>( … )<o
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></o>Atanan<o
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issiwane
New Member
L'ennui serait mon royaume de glace et de pluies<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com
fficeffice" /><o></o>Un enfer morne et froid, sans désirs exquis!<o
></o>Tu rehausses ma pâleur de ton splendide éclat<o
></o>Tu charmes mes fureurs par ton rire délicat.<o
></o><o
></o>Tu enchantes mon front grave de tes rubans dorés<o
></o>Ta robe de perles et de rosée quand tu paraît<o
></o>Légère et frivole, toute épanouie de bonheur<o
></o>Chassant mes langueurs et éveillant ma ferveur!<o
></o><o
></o>Bénie sois- tu, Tislit, mon unique bien aimée<o
></o>Mon amour, je te suis fidèle à tout jamais.<o
></o>Qu'importe si les tiens oublient notre serment?<o
></o>Pour toi je bénis ton pays éternellement.<o
></o><o
></o>Qu'importe s'ils se tournent vers d'autres dieux,<o
></o>Qu'ils oublient leur innocence, leurs jours heureux?<o
></o>Qu'importe si leurs âmes deviennent stériles et arides<o
></o>Qu'ils trahissent leurs aïeux pour des maîtres perfides?<o
></o><o
></o>Seuls tes enfants fervents chanteront ta gloire<o
></o>Célébrant ton nom ils garderont la Mémoire<o
></o>De leur terre qui fut belle et prospère autrefois,<o
></o>De leur liberté native de peuple- roi !<o
></o><o
></o>Aimons- nous, Tislit, tant que dure notre amour<o
></o><o
></o>Oublions ce peuple moribond, pour toujours,<o
></o><o
></o>Malheur aux races sans légendes, promises à l’oubli<o
></o><o
></o>Le Néant les engloutit dans la fosse des maudits !<o
></o><o
></o>
<o
></o><o
></o>Poème d’Atanan Aït oulahyane.<o
></o><o
></o><o
></o><o
></o><o
></o><o
></o><o
></o>Je remercie donc infiniment notre ami Aksel pour sa précieuse collaboration, en me consentant la contribution de ce merveilleux poème inédit qu’il a exceptionnellement composé pour l’occasion.<o
></o><o
></o>.<o
></o>Superbe superbe composition Issiwane!!!! le genie Salvatore Dali est en toi.....C'est du 3D max??
encore une fois, l'effet des mots de Aksel est comme l'effet de la camomille (tisane)...tellement apaisants....
Merci a vous tous...
Vous voyez un peu l'effet benefique des collaborations? Alors, Continuons!!!!
encore une fois, l'effet des mots de Aksel est comme l'effet de la camomille (tisane)...tellement apaisants....
Merci a vous tous...
Vous voyez un peu l'effet benefique des collaborations? Alors, Continuons!!!!
issiwane
New Member
Amsernat said:
<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com
fficeffice" /><o></o>Non, au fait j’ai déjà essayé de créer des personnages sur 3D Max, mais je n’affectionne pas le factice de l’aspect final de ce genre d’humanoïdes, qui restent loin d’être ressemblant.
D’autant plus que pour un dessinateur artistique ou peintre, il ira cent fois plus vite à la main qu’a l’aide d’un programme.
Les courbes du corps et du visage sont si ardus nombreuses et estampé (arcades sourcilières, pommettes, pourtour du nez, le nez lui-même, les lèvres, lobes des oreilles, mains, pieds, doigts orteils, etc…) qu’il est excessivement pénible de les reproduire en splines entrelacés avant de les habiller de texture. Tout cela pour un résultat qui manquerait de souplesse.
<o
></o>D’où je n’utilise Max que pour le design d’objets, meubles, structures ou architectures.
Bien entendu si j’avais à créer de l’animation, mes personnages seraient fait sur Max.
(Si tu fais un tour à mon blog en signature en bas, tu y verras à la rubrique design ce que je réalise en 3D).
<o
></o>Là, le dessin est une vraie peinture dont le visage, le haut du corps, les mains et les pied sont fait main numérisé, puis retravaillé à haute résolution, 700ppp, sur Corel photo aux pinceaux de divers tailles et pourcentage de transparence.
C’est donc toujours de la peinture mais un peu assisté par ordinateur, sauf que là, l’effet est magiquement ressemblant et surtout, naturel.
<o
></o>L’image manuelle à encore de beaux jours devant elle.
<o
></o>Merci amsernat, tu te défends pas mal toi aussi.
C'estun chef d'oeuvre, Issiwan! Merci pour cette réalisation grandiose, du grand art, comme d'habitude! Je ne me connais pas du tout en peinture assistée par ordi, mais l'effet est saisissant!
Merci de réactuliser les mythes amazighs fondateurs, il faut bien- sûr poursuivre dans cette voie!
Merci de réactuliser les mythes amazighs fondateurs, il faut bien- sûr poursuivre dans cette voie!
issiwane said:
aaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhh..
C'est vrai tiens! Issiwane: pour ce visage, tu t'es inspire de quelqu'un que tu connais?
meme jesus, les europeens le dessinent en europeen, alors que comme on le sait tous, il est brun basane frize, sarazin.. comme un arabe.....aaaahhhhhh
issiwane said:
ah oui je me rappelle, tu utilises beaucoup Corel. Et pour les paysages? tu utilises quoi? Bryce?
Ton website, je l'ai finalement visite: oh wow!!! Maintenant je comprends ce que tu fais. Bravo l'artiste!!!! je me sens tout petit devant tout ca...........
Tu exposes? ou?
issiwane said:
Mutgh s tadsa! en effet, il n y avait pas de club Med à l'époque. Et puis Anzar et le Soleil sont incompatibles, non?
Ce qui serait intéressant ici c'est de relever des témoignages concernant les rites dédiés à Anzar, si sa mémoire et les traditions liées à son nom sont encore vivaces ou en voie de disparition... J'ai recherché sur le net et c'est toujours les mêmes pages, les mêmes récits copier/collés qui reviennent... Je vous invite donc à visiter le site de Mondeberbere.com qui présente une page assez complète, d'une étude ethnographique réalisée en 1970, en Kabylie. Une autre étude similaire est présentée dans le site Tamurth.net
Personnellement, je me rappelle à Agadir, quand j'étais gosse, des " maârouf" que les femmes du quartier réalisaient, pour préparer un repas en commun, à l'occasion de cette célébration dédiée à Anzar; tout le monde participait en donnant qui des légumes, qui de la viande, etc... Les fillettes réalisaient des poupées à l'aide de deux bouts de roseaux liés en croix, qu'elles attifaient de tissus, en imaginant que c'était la fiancée d'Anzar et chantaient... Cette pratique sociale n'existe plus, hélas!
Isssiwane:
donc en regardant de pres ton dessin, on peut y deceler une metaphore sexelle grande nature. Comme on le sait tous, La pluie feconde la terre. Sur ton dessin, le dieu anzar a comme de la gelee fecondante sur ses jambes, et devant lui, une belle femme ronde voluptueuse representant la terre....ah tout ca est super...super super....
donc en regardant de pres ton dessin, on peut y deceler une metaphore sexelle grande nature. Comme on le sait tous, La pluie feconde la terre. Sur ton dessin, le dieu anzar a comme de la gelee fecondante sur ses jambes, et devant lui, une belle femme ronde voluptueuse representant la terre....ah tout ca est super...super super....
issiwane
New Member
Amsernat said:
Anzar habite les hauts sommets de l’Atlas en continuité et de ce fait il ne peut être ni basané ni frisé.
C'est un visage imaginaire plein de graces, de bonté et d'amour, voilà tout.
Autre chose, nous avons des canons de beauté Amazigh qui surpassent les occidentaux.
Un de ces quatre j'ouvrirais une discution specialement à ce sujet. Si quelqu'un d'autre ne le fasse avant moi. <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com
fficeffice" /><o></o>
Très beau document représentant le Dieu Anzar grandeur nature ( 3 m de haut. ): ces gravures rupestres ( Ahaggar, Algérie ) agrandies et détails précisés par Issiwane ( cf: Art et peinture ) afin de relever le culte rendu à Anzar et sa célébration par des musiciens ( flûtiste, tambourin ), les flots du liquide regénérateur découlant du dieu, comme l'a remarqué Amsernat auquel n'échappe pas ce genre de détail, le fluide vital se répand des parties génitales de la divinité, cachées par les nuages et par le cercle du tambourin ( déjà pudiques les artistes à cette époque? )
A propos du taureau portant le monde sur ses cornes et de dieu anzar, je voudrai dire que les femmes qui expliquaient les phenomenes physiques par ces legendes ne le faisaient pas toujours de maniere metaphoriques mais pour beaucoup c'etait l'explication vraie, c'etait ainsi...l'ancienne religion amazighe est donc en quelque sorte restée toujours vivante dans le monde feminin...Il y'a quelques années je me suis aperçu que mon arriere grant mere ne connaissait pas un verset de coran, il n'y avait chez nous aucune education theologique musulmane pour les femmes (celles qui en connaissait le plus maitraisaient à peine "lhmdu":la fatiha), seuls les hommes avait cette education religieuse...le monde feminin etait donc plus chamanique que musulman jusqu'à trés recemment
Dédicace du 17 avril
( Le repos d'Anzar, aquarelle de Atanane )
Amarg n Tayri
Complainte
d’Anzar pour Tislit
Asunfu n Anzar
( Le repos d'Anzar, aquarelle de Atanane )
Amarg n Tayri
Complainte
d’Anzar pour Tislit
<O</O
Viens à moi, belle Tislit, j'ai soif de ta jeunesse!
Par ta grâce, ta beauté, viens guérir ma détresse!
Donne- moi, Tislit, ta pureté et ta fraîcheur
Pour ériger un royaume de clarté dans mon cœur !
La Nature t’a faite si belle, reine enchanteresse,
Que tu es digne d’être l’élue du ciel, mon altesse !
Ton front est limpide comme une voûte d’azur qui pense
Le mien tant chargé de rides que lacère l’absence !
<O
Depuis que je t’ai surprise au creux de ce bois
Baignant ton corps pur dans l’onde, je fus ta proie
Je voudrai rouler mes doigts sur tes hanches d’opale
Parfumer tes seins d’une brise de musc et de santal !
<O
Ne t’effraie point, Tislit, de ma voix qui gronde,
N’aie crainte de mes plaintes de solitude profonde,
Je suis un jeune vieillard qui se meurt de t’aimer
Et ton charme est l’unique baume de mon âme abîmée!
De mon cœur écrasé tant de plaintes débordent
Mes désirs et ma fureur dans tes rires s’accordent
Ta vue seule apaise la soif de mon cœur
Qui me fait inonder le monde de mes pleurs!
<O
Je dépose à tes pieds toutes mes nuées de pluie,
Mon sceptre de foudre, mes tonnerres de folie
De mes torrents d’ennui, fais un chant de rosée
Et sur mes averses brûlantes, dépose un baiser !
<O
Je me ferai pour toi plus tendre que Azouou
Couvrant tes cheveux de mes parfums les plus doux
J’élèverai pour toi l’aurore de mes abîmes
Parée de lumière et de rayons d’or sublimes
<O
L’infini, je te le dédie en un poème
Un arc aux couleurs d’amour, ton gracieux diadème !
Si seulement tu m’aimais, noble fille de l’Atlas
Je bénirai toujours les enfants de ta race !
</OViens à moi, belle Tislit, j'ai soif de ta jeunesse!
Par ta grâce, ta beauté, viens guérir ma détresse!
Donne- moi, Tislit, ta pureté et ta fraîcheur
Pour ériger un royaume de clarté dans mon cœur !
La Nature t’a faite si belle, reine enchanteresse,
Que tu es digne d’être l’élue du ciel, mon altesse !
Ton front est limpide comme une voûte d’azur qui pense
Le mien tant chargé de rides que lacère l’absence !
<O
Depuis que je t’ai surprise au creux de ce bois
Baignant ton corps pur dans l’onde, je fus ta proie
Je voudrai rouler mes doigts sur tes hanches d’opale
Parfumer tes seins d’une brise de musc et de santal !
<O
Ne t’effraie point, Tislit, de ma voix qui gronde,
N’aie crainte de mes plaintes de solitude profonde,
Je suis un jeune vieillard qui se meurt de t’aimer
Et ton charme est l’unique baume de mon âme abîmée!
De mon cœur écrasé tant de plaintes débordent
Mes désirs et ma fureur dans tes rires s’accordent
Ta vue seule apaise la soif de mon cœur
Qui me fait inonder le monde de mes pleurs!
<O
Je dépose à tes pieds toutes mes nuées de pluie,
Mon sceptre de foudre, mes tonnerres de folie
De mes torrents d’ennui, fais un chant de rosée
Et sur mes averses brûlantes, dépose un baiser !
<O
Je me ferai pour toi plus tendre que Azouou
Couvrant tes cheveux de mes parfums les plus doux
J’élèverai pour toi l’aurore de mes abîmes
Parée de lumière et de rayons d’or sublimes
<O
L’infini, je te le dédie en un poème
Un arc aux couleurs d’amour, ton gracieux diadème !
Si seulement tu m’aimais, noble fille de l’Atlas
Je bénirai toujours les enfants de ta race !
( Atanane 2006 )
issiwane
New Member
Oui justement, pourquoi Anzar ne serait il pas entouré par toutes ces jolies femmes ?<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-comfficeffice" /><o></o>
Aksel, en ce se dernier poème Anzar exprime toute la sensualité et l'amour qui l'attachent à sa terre.<o></o>
<o></o>
La légende d’anzar ne disparaîtra jamais, puisque son nom et intimement lié à la pluie en tamazight, d’autant plus que l’histoire de Taghenja et tislit sont présentes jusqu'à nos jours dans les traditions.
C’est avec une immense joie que j’ai le plaisir de réactualiser l’image de ces illustres figures de notre mythologie plus que fondatrice de notre culture.
Grâce à ces retrouvailles, je suis en fin apaisé de replonger mes racines aussi loin dans la nuit du temps.
On leurs redonne présence avec la profonde conviction qu’elles seront toutes réhabilitées par notre littérature moderne et récupérées par la société pour faire resurgir des festivals saisonniers qui enrichiraient notre folklore actuellement amputé de ses légendes.
fficeffice" /><o></o>Aksel, en ce se dernier poème Anzar exprime toute la sensualité et l'amour qui l'attachent à sa terre.<o
></o><o
></o>La légende d’anzar ne disparaîtra jamais, puisque son nom et intimement lié à la pluie en tamazight, d’autant plus que l’histoire de Taghenja et tislit sont présentes jusqu'à nos jours dans les traditions.
C’est avec une immense joie que j’ai le plaisir de réactualiser l’image de ces illustres figures de notre mythologie plus que fondatrice de notre culture.
Grâce à ces retrouvailles, je suis en fin apaisé de replonger mes racines aussi loin dans la nuit du temps.
On leurs redonne présence avec la profonde conviction qu’elles seront toutes réhabilitées par notre littérature moderne et récupérées par la société pour faire resurgir des festivals saisonniers qui enrichiraient notre folklore actuellement amputé de ses légendes.